Société

Publié par Deck'son Assani Kamango, le 17 janvier 2024

Après ses multiples sorties médiatiques avant, pendant et après les élections générales du 20 décembre 2023; Me Saleh Mushabaha, Coordonnateur de la Commission Diocésaine Justice et Paix en sigle CDJP, diocèse catholique de Kindu serait en ce jour en danger de mort. Alerte émise par l'Abbé Stanislas ABELI Milabyo, Coordonnateur de la Caritas développement Kindu ce mercredi 17 janvier 2024 dans une interview exclusive accordée à notre rédaction.

Selon le patron de la Caritas développement Kindu, Me Saleh Mushabaha constate depuis sa dernière sortie médiatique dénonçant les irrégularités constatées pendant les élections, des mouvements d'hommes armés et certains membres des services de sécurité aux alentours de sa résidence. Ce dernier reçoit aussi des appels téléphoniques lui menaçant de mort.

"C'est après la publication de ce rapport des missions d'observation électorale, du communiqué de presse et de sa déclaration médiatique que le Coordonnateur de la Commission Diocésaine Justice et Paix du diocèse de Kindu, en sa qualité de défenseur des droits humains reçoit des menaces même de mort au téléphone, aux réseaux sociaux, appels anonymes, des visites indésirables des hommes à mains armées en tenues militaires qui ont entouré sa résidence le 9 janvier 2024. Ces menaces persistent jusqu'aujourd'hui. Ces mêmes malfrats montent un complot diabolique pour éliminer physiquement Me Baudouin Saleh et pour salir l'Évêque du diocèse de Kindu par des montages dont ils détiennent eux-mêmes les secrets accusant ce dernier de soutenir le travail de la commission diocésaine justice et Paix" a expliqué Mr l'Abbé Stanislas ABELI Milabyo. 

Tout en confirmant que tout ce que fait Me Saleh Mushabaha rentre dans le cadre des missions lui confiées par l'église catholique, la Caritas développement Kindu indique que Me Saleh Mushabaha n'agit pas en son propre nom. Ainsi, elle dénonce ce plan contre le Coordonnateur de la CDJP. 

"La Caritas développement Kindu dénonce avec la dernière énergie ce plan macabre des ennemis de la démocratie dans notre province du Maniema. Elle ne se laissera jamais intimidée ni muselée. Elle met en garde tous ces malfrats qu'elle détient déjà quelques indices de preuve contre ces malfrats et elle se réserve de droit de porter plainte contre ces auteurs des menaces nonobstant leurs statuts ou soutiens politiques car dit-on nul n'est au-dessus de la loi". 

La Caritas développement Kindu conclut en demandant aux services de sécurité de protéger Me Saleh Mushabaha en y menant des enquêtes sur cette situation afin de traquer les coupables.

Contacts Rédaction :

+243 81 47 25 555

           97 52 04 008

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Publié par Deck'son Assani Kamango , le 17 janvier 2024

Après ses multiples sorties médiatiques avant, pendant et après les élections générales du 20 décembre 2023; Me Saleh Mushabaha, Coordonnateur de la Commission Diocésaine Justice et Paix en sigle CDJP, diocèse catholique de Kindu serait en ce jour en danger de mort. Alerte émise par l'Abbé Stanislas ABELI Milabyo, Coordonnateur de la Caritas développement Kindu ce mercredi 17 janvier 2024 dans une interview exclusive accordée à notre rédaction.

Selon le patron de la Caritas développement Kindu, Me Saleh Mushabaha constate depuis sa dernière sortie médiatique dénonçant les irrégularités constatées pendant les élections, des mouvements d'hommes armés et certains membres des services de sécurité aux alentours de sa résidence. Ce dernier reçoit aussi des appels téléphoniques lui menaçant de mort.

"C'est après la publication de ce rapport des missions d'observation électorale, du communiqué de presse et de sa déclaration médiatique que le Coordonnateur de la Commission Diocésaine Justice et Paix du diocèse de Kindu, en sa qualité de défenseur des droits humains reçoit des menaces même de mort au téléphone, aux réseaux sociaux, appels anonymes, des visites indésirables des hommes à mains armées en tenues militaires qui ont entouré sa résidence le 9 janvier 2024. Ces menaces persistent jusqu'aujourd'hui. Ces mêmes malfrats montent un complot diabolique pour éliminer physiquement Me Baudouin Saleh et pour salir l'Évêque du diocèse de Kindu par des montages dont ils détiennent eux-mêmes les secrets accusant ce dernier de soutenir le travail de la commission diocésaine justice et Paix" a expliqué Mr l'Abbé Stanislas ABELI Milabyo. 

Tout en confirmant que tout ce que fait Me Saleh Mushabaha rentre dans le cadre des missions lui confiées par l'église catholique, la Caritas développement Kindu indique que Me Saleh Mushabaha n'agit pas en son propre nom. Ainsi, elle dénonce ce plan contre le Coordonnateur de la CDJP. 

"La Caritas développement Kindu dénonce avec la dernière énergie ce plan macabre des ennemis de la démocratie dans notre province du Maniema. Elle ne se laissera jamais intimidée ni muselée. Elle met en garde tous ces malfrats qu'elle détient déjà quelques indices de preuve contre ces malfrats et elle se réserve de droit de porter plainte contre ces auteurs des menaces nonobstant leurs statuts ou soutiens politiques car dit-on nul n'est au-dessus de la loi". 

La Caritas développement Kindu conclut en demandant aux services de sécurité de protéger Me Saleh Mushabaha en y menant des enquêtes sur cette situation afin de traquer les coupables.

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Publié par Deck'son Assani Kamango , le 5 janvier 2024

La borne fontaine N°13 construite dans le cadre de la Coopération RDC-Belgique (Asurep) et qui se trouve sur le boulevard Joseph Kabila vers l’aéroport national de Kindu à côté du centre des soins oculaires Kitumaini cours des grands risques de ne plus servir les milliers d’habitants qu’elle a toujours servi. Ceci, suite à la construction de la clôture parcellaire causant ainsi son enfermement dans la parcelle où cette borne avait été construite. Pour le Bureau des Inspecteurs des Droits de l’Homme en sigle BIDH, cet acte est inacceptable.

Dans une interview nous accordée, le Coordonnateur de cette structure citoyenne indique que cette borne sert plus de dix milles habitants de différents quartiers dont RVA, 3Z et une partie de la ville. Très en colère, le numéro 1 du BIDH parle du sabotage des projets de l’Etat par des hommes qui se croient au dessus de la loi.

"Nous sommes en train de regretter de voir comment est-ce que les projets de l’Etat sont sabotés par des gens qui se croient être au dessus de la loi parce qu’ils sont beaucoup des moyens. C’est une borne qui alimente plus de dix milles personnes par jour en eau potable mais le Monsieur qui est en train de construire, il a acheté la parcelle, il a trouvé que l’Etat a érigé une borne fontaine pour la population mais il commence à construire une clôture tout en enferment la borne fontaine, il n’ y aura plus l’accès et ce Monsieur ne veut pas écouter" a dit Chrispin Muyololo Ndariloko.

Le patron du BIDH appelle à cet effet à une implication du Conservateur des titres immobiliers, du chef de l’urbanisme et habitat dans la ville, du Maire de la Ville, Ministre des affaires foncières, du Procureur Général pour les actes de destruction méchante mais aussi l’implication du Gouverneur ad intérim.

"Pour nous ça nous énerve et nous demandons l’implication de toutes les autorités. Le conservateur, le Ministre des affaires foncières, le responsable de l’urbanisme, du cadastre et au Maire de la Ville sans oublier le Gouverneur de province. Parce qu’avant d’arriver au gouvernorat, il passe par là. Ils doivent descendre et voir la manière dont le Monsieur est en train de saboter le projet de l’Etat et il y a même des tuyaux qui ont été coupés et cela s’appelle destruction méchante, je crois le Procureur Général est là, il doit se saisir en tant que ministère public" a conclu Chrispin Muyololo Ndariloko.

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Publié par Deck'son Assani Kamango , le 28 décembre 2023

L’année 2023 se clôture dans pratiquement deux matins. L’agenda de l’église Réhoboth de Kindu est déjà bien planifié. Plusieurs activités sont prévues. C’est notamment le dimanche 31 décembre, où un culte miracle est prévu de quinze heures à vingt heures locales afin de permettre aux fidèles de rentrer à leurs domiciles suivre la publication provisoire des élections qui sera faite par la CENI. Des informations nous livrées par l’Apôtre Joseph Kimbalanga. Il signale qu’à part le culte du 31 décembre 2023, un autre sera tenu le 4 janvier 2024 dénommé One day pour demander à Dieu d’exaucer les projets de tout le monde.

"A l’église, souvent les gens viennent pour demander que l’Eternel fasse un miracle pour eux, un exaucement surtout. Il y a des gens qui commencent l’année avec une requête d’autres avec beaucoup des requêtes. Et cette année 2024, nous souhaitons que ça soit une année d’exaucement de nos rêves. Maintenant c’est le temps où nous devons faire travailler l’esprit, l’âme et le corps, la tripartite là doit fonctionner ensemble pour que nous ayons un résultat escompté" a dit l’Apôtre Joseph Kimbalanga.

Et à lui d’ajouter "Si tu avais un projet d’ouvrir un restaurant, un magasin, de faire un voyage, de commencer votre entreprise, soit du bois, nous allons soumettre ça entre les mains du Seigneur et l’Eternel va accomplir cela. Et je vais demander à tous ceux-là qui sont dans l’église à commencer par les mamans maraichères, les gens qui vendent au marché,…nous voulons que le Seigneur opère des miracles avec nous. Que tout le monde vienne ce jour-là le 31, nous allons prier pour les gens afin de soumettre leurs projets entre les mains du Seigneur".

Quant aux élections combinées tenues le mercredi 20 décembre 2023 dernier dans le pays, le numéro un de l’église Réhoboth de garder le calme lors de la publication des résultats provisoires. 

"Nous demandons à la population surtout la jeunesse de ne pas se mêler dans les actes de vandalisme ou verser le sang parce que ça ne sert à rien. Nous avons une seule province pour nous, un seul pays et nous devons le garder très bien parce que la paix de cette province c’est notre paix également et Dieu n’aime pas le désordre" a conclu l’Apôtre Joseph Kimbalanga.  

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Publié par Deck'son Assani Kamango , le 23 déc 2023

La Caritas Développement Kindu vient à la rescoursse des locataires de la prison centrale de Kindu. Cette structure de l'église catholique, leur a apporté un lot important des vivres ce samedi 23 décembre 2023 pour leur permettre de passer une bonne fête de Noël. Pour l'Abbé Christian Kungwa, Coordonnateur de la Caritas développement Kindu, ce lot de vivre est composé de l'huile de palme, de farine de manioc et de mais, du riz, du haricot ainsi que de sacs de braise.

"Cette assistance signifie que la Caritas développement Kindu veut communier avec les prisonniers. La Caritas développement Kindu a sensibilisé, mobilisé les chrétiens catholiques, les non-chrétiens catholiques, les différentes structures de la Ville de Kindu et d'ailleurs et les personnes de bonne volonté. Ayant reçu ces biens, nous avons pensé d'abord ce que nous avons reçu comme nourriture nous avons amené à la prison centrale de Kindu. Aujourd'hui, nous venons d'assister les prisonniers avec un sac de haricots de 100 kilogrammes, 80 kilos de farine de mais, 160 kilos de farine de manioc, 25 litres d'huile de palme, 200 kilos de riz mais également avec 4 sacs de braise".

De son côté, l'Abbé Aumônier diocésain croit en la bonne gestion de cette assistance par le personnel pénitentiaire.

"On a toujours collaboré avec le personnel pénitentiaire, c'est vraiement un personnel qui est conscientieux, je ne crois pas qu'il y a à craindre. Ils vont gérer ça convenablement pour le bien des prisonniers" a dit l'Abbé Mathieu Morisho Kalume.

Et pour sa part, le Directeur de cette maison carcérale, cette assistance tombe à point nommé. Il invite par ailleurs d'autres partenaires à imiter ce pas de la Caritas développement Kindu pour aider à améliorer tant soit peu les conditions de vie des prisonniers.

"Nous disons merci grandement à la Caritas pour ce geste et ceux-là qui ont contribué que l'Eternel Tout Puissant puisse le retourner au centuple. Nous profitons de l'occasion aux autres, quand bien-même le gouvernement congolais nourrit déjà les prisonniers mais nous avons aussi besoin de la contribution des autres partenaires" a fait savoir Victor Kankolongo Chiswaka.

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Publié par Deck'son Assani Kamango, le 16 décembre 2023

La campagne dénommée Action des Citoyens pour les élections transparentes en sigle ACTE 2023 poursuit son bonhomme de chemin. Une énième facette de ladite campagne est intitulée "Ma Voix n'est pas à vendre". Celle-ci a été lancée ce vendredi 15 décembre 2023 à Kindu dans la salle polyvalente le Petit Fils de la Commune de Kasuku par le mouvement citoyen Lutte pour le Changement en sigle "LUCHA". 

Selon un membre de la LUCHA, cette campagne vise à montrer à la population que les biens matériels ou financiers que distribuent les candidats ne doivent aucunement influencer leurs votes dans les isoloirs. Me Athanase Kandolo, la distribution de ces biens n'est autre que l'achat des consciences des électeurs. 

"Pendant cette période de la campagne, il s'observe un petit souci au regard des candidats qui viennent battre leur campagne auprès des électeurs. Ils sont en train de présenter des cadeaux, des pagnes, t-shirts ainsi de suite. Nous sommes en train de voir que c'est comme s'ils sont en train d'acheter les consciences des électeurs pour qu'ils leur fassent confiance pour qu'ils soient élus". 

Ladite campagne, indique Me Athanase Kandolo, se fera dans les grandes artères de la ville afin d'échanger avec la population et montrer l'importance des élections qui se font sur base de la méritocratie. Ce dernier invite les candidats à présenter des bons programmes pour permettre aux électeurs de leur donner la confiance et non des promesses vaines. 

"Voilà pourquoi nous devons faire bloc à ce genre des candidats afin que la population ne puisse pas leur donner la confiance. Nous voulons inculquer la notion de culture électorale dans les jeunes" a-t-il ajouté. 

De leur côté, les jeunes sensibilisés dans le cadre de cette campagne, cette campagne tombe à pic car le pays et la province doivent avoir des élus capables de chercher des solutions aux problèmes de la population et non ceux ne rendront jamais compte à leurs électeurs parce qu'estiment-ils n'avoir plus de dette auprès de la population.

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Publié par Deck'son Assani Kamango, le 15 déc 2023

Plus de deux cents jeunes désœuvrés des Communes de Kasuku et Mikelenge de la Ville de Kindu viennent d'être outillés sur le vote utile et le profil d'un bon candidat. Ces assises ont eu lieu dans la grande du bâtiment du foyer social situé dans la Commune de Mikelenge. Elles ont été organisées par le mouvement citoyen Congolais Debout en collaboration avec le mouvement citoyen Lutte pour le Changement "LUCHA", ENADES, EBUTELI et CEPAS. 

Pour le Coordonnateur Provincial du mouvement citoyen Congolais Debout, ce renforcement des capacités s'inscrit dans le cadre de la campagne dénommée Action des Citoyens pour les élections transparentes en sigle ACTE 2023 initiée par le Centre d'études pour l'action sociale "CEPAS" en vue d'une élection apaisée. 

"Nous avons ciblé les jeunes désœuvrés et intellectuels, question pour nous de donner de l'éducation civique et morale. Pour aujourd'hui, nous avons parlé sur le profil d'un bon candidat pour que les jeunes ne soient plus manipulés et objets de marchandage parce qu'il y a des candidats qui préfèrent manipuler les jeunes aujourd'hui pour leurs causes" a expliqué Camille Pombo Owano. 

Ce dernier reste confiant que ces séances de sensibilisation produiront des résultats pour sauver le pays et la province. 

"Ce n'est qu'un début, nous allons continuer parce que nous savons que la jeunesse est une force et la sensibilisation ne fait que commencer. Nous croyons en ça et dans les jours à venir on aboutira à des résultats satisfaisants" a-t-il ajouté. 

Tout en précisant que ces séances de formation toucheront aussi dans le prochain jour les femmes, Camille Pombo Owano retrace un mauvais constat du traitement des électeurs par les candidats. 

"C'est inconcevable que les gens viennent avec des pagnes, c'est une humiliation. Ils n'ont aucun respect avec ces mamans là, durant les cinq ans, on a jamais vu un Député venir aider les gens mais ce n'est qu'à la veille des élections, c'est de la manipulation ça, de la corruption" a conclu Camille Pombo Owano avant d'appeler la population à ne pas vendre leurs voix.

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Publié par Deck'son Assani Kamango ​​​​​​, le 12 déc 2023

Le Centre d'études pour l'action sociale en sigle "CEPAS" a lancé le lundi 11 décembre 2023 à Kindu, Chef-lieu de la province du Maniema sa campagne dénommée Action des Citoyens pour la transparence des élections en sigle "ACTE 2023". Plusieurs jeunes leaders de la ville ont pris part à une conférence de presse qui a marqué le lancement de ladite campagne. 

Selon le Point focal de la campagne ACTE 2023 au Maniema, l'objectif général de cette campagne est de renforcer la culture citoyenne par la consolidation civique pour une élection responsable et apaisée. Pour Me John Kakandu, il s'agit là d'un éveil de conscience pour aider la population à opérer un bon choix et éviter les dégâts pendant et après cette période électorale.

"Dans ce programme, il est question de bien pouvoir continuer avec notre campagne d'éveil de conscience qu'on a toujours mené étant donné que la période est très grave et que nous ne pouvons pas baisser les bras et nous ne pouvons pas rester en train de dormir dans nos oreillers sans faire quelque chose. Nous commençons déjà à constater des morts d'hommes, il y a perte des biens, il y a beaucoup des dégâts et que nous devons à tout prix commencer déjà à sensibiliser la population sur l'éducation civique et électorale" a expliqué Me John Kakandu. 

Le numéro 1 de ACTE 2023 précise que plusieurs activités seront organisées dans l'ensemble du pays mais aussi dans la province du Maniema. Ainsi, il indique que cette campagne attend atteindre un processus inclusif, apaisé et transparent. À la question du retard connu par cette campagne qui s'ouvre à une semaine des élections, Me John Kakandu précise que rien n'est tard pour mieux faire et recommande l'implication de tous et annonce que ladite campagne se fera aussi de porte à porte. 

De leur côté, les jeunes leaders qui ont pris part à ce lancement se disent émus de joie de voir venir ACTE 2023. Ces derniers promettent à cet effet leur implication pour sa réussite. 

"[...] Ce qui m'a beaucoup plus intéresser c'est l'éveil de conscience surtout pendant le moment électoral où vraiment les gens sont manipulés, ils sont en train de vendre leurs voix à cause de l'argent, de pagne [...] Nous sommes obligés d'avoir une culture électorale de pouvoir choisir les candidats qui méritent nous représenter. En tant que leader communautaire, l'engagement que je prends est de pouvoir sensibiliser dans mon coin respectif notamment dans notre quartier, avenues et les faire comprendre qu'après les élections, nos affinités doivent continuer" se sont-ils exprimés. 

Pour rappel, cette campagne de CEPAS est appuyée par d'autres organisations dont ENADES et EBUTELI sous l'appui financier de l'Union Européenne.

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Publié par Deck'son Assani Kamango, le 30 Novembre 2023

Quarante-huit heures après l'assassinat crapuleux de Me Dido Kakisingi, Coordonnateur Provincial des jeunes au sein du parti politique Ensemble pour la République le mardi 28 novembre dernier lors de l'arrivée à Kindu de Moïse Katumbi Chapwe, candidat à l'élection présidentielle; des réactions ne cessent de pleuvoir. La dernière en date est celle du jeune leader de Kindu Mathieu Assumani, Directeur Général de Umoja wa Mashariki. 

Dans une interview accordée à notre rédaction depuis l'extérieur du pays où séjourne ce jeune soucieux du développement de sa province et où il avait appris cette nouvelle tragique, ce dernier condamne l'acte et dit n'est pas être d'accord avec cette situation. Il reste par ailleurs inconsable. 

"Je condamne fermement cet acte là. Personne ne peut accepter que cela puisse arriver dans sa famille. Nous sommes tous jeunes du Maniema, quand ça arrive à Me Dido Kakisingi, demain ça sera Mathieu et le lendemain chez un autre. Nous ne sommes pas d'accord qu'on continue à vivre ce genre de scénarios chez nous au Maniema. Je voudrais ici présenter mes condoléances les plus attristées à la famille de Me Dido. Je suis très touché, je suis vraiment choqué" a expliqué Mathieu Assumani. 

Ce jeune leader de Kindu demande à cette occasion aux jeunes du Maniema d'éviter d'approcher et appuyer les idées qui risquent d'influencer la séparation, la division et la haine entre eux. Pour lui, l'hospitalité et la cohésion sociale qui caractérisent les enfants de Kindu doivent impérativement continuer.

"Aujourd'hui si la politique vient nous séparer et mettre dans nos têtes l'esprit de la rébellion, de nous éliminer nous-mêmes, nous risquerons d'avoir un Maniema très faible et très reculé" a-t-il renchérit. 

Mathieu Assumani conclut en interpellant les hommes politiques de la province et les candidats dans la circonscription électorale Ville de Kindu au calme et ne pas chercher à récupérer la situation. 

"Aux politiciens de Kindu surtout aux candidats, je les invite à rester tous calmes et ne pas chercher à se rendre plus célèbre car c'est un jeune du Maniema qui est parti à cause de votre façon de faire la politique. On vous considère tous comme des tueurs, des ennemis de notre province. Laissez-nous enterrer notre frère Dido et crier à la face du monde la disparition de notre frère". 

Ce dernier invite à cet effet la justice ainsi que le Gouverneur ad intérim à jouer pleinement leurs rôles afin de dénicher les commanditaires de cet acte qu'il qualifie d'ignoble.

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Publié par Deck'son Assani Kamango, le 29 Nov 2024

Le cortège de Moïse Katumbi a été attaqué ce mardi 28 novembre 2023 à Kindu lors de sa descente dans le chef-lieu de la province du Maniema pour sa tournée électorale. Bilan, un mort et une dizaine des blessés. Plusieurs sources concordantes pointent du doigt accusateur des jeunes porteurs des t-shirts du parti politique Union pour la Démocratie et le Progrès Social UDPS.

Cette situation met en colère le Parlement des Jeunes du Maniema qui veut que la justice fasse son travail afin de dénicher les commanditaires. Dans un communiqué signé par son Président ce mardi 28 novembre même, cette structure des jeunes dit avoir appris avec consternation le décès de Me Dido Kankisingi, Coordonnateur de la ligue provinciale des jeunes du parti politique Ensemble pour la République lâchement assassiné par des hommes sans cœur. Elle a par ailleurs présenté ses condoléances les plus émues à la famille du défunt, au corps des défenseurs judiciaires ainsi qu’à son parti politique.

Tout en exprimant sa solidarité, le Parlement des Jeunes parle d’un acte ignoble et qui viole les droits de l’homme en ce que ce dernier est privatif des droits à la vie, à l’opposition républicaine et au droit de battre campagne. Le parlement des jeunes du Maniema regrette par la suite de cet acte qu’il se soit passé dans un pays qui se veut un Etat de droit. Par l’occasion, il appelle tous les jeunes au calme, à la non-violence et les invite aussi à privilégier les démarches démocratiques.

Enfin, le Parlement des Jeunes du Maniema appelle à l’implication de vive-voix du Gouverneur ad intérim afin de consolider les acquis de normes démocratiques et de respecter et faire respecter le processus électoral en cours. La structure des jeunes du Maniema a émis le vœu de voir une enquête sérieuse être déclenchée pour identifier les auteurs et que ces derniers répondent de leurs actes et prévenir ainsi l’Etat de droit.     

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Publié par Deck'son Assani Kamango, le 23 Nov 2023

La Société Nationale d’Assurance "SONAS" célèbre ses 57ans d’existence en République Démocratique du Congo. Créée en 1966 en RDC, la SONAS est dans la province du Maniema depuis 1980 avec d’énormes réalisations inscrites dans le cadre de ses missions régaliennes. 

A l’occasion, nos reporters se sont rendus à l’agence de la SONAS Maniema pour une interview exclusive avec la Cheffe d’agence. Viviane Bendera Notia indique que beaucoup de choses ont été faites durant ses cinq années passées à la tête de la SONAS/Maniema. 

"Les chefs se sont succédés et chacun avait sa façon de faire. Je suis là depuis 2018, sans me jeter des fleurs mais les gens honnêtes et de bonne foi savent actuellement qu’est-ce que la SONAS Maniema est en train de faire mais je sais en âme et conscience que nous avons apporté vraiment un plus depuis que nous dirigeons cette agence. Moi-même je peux me donner 8 sur 10. Pourquoi 8 sur10 pour ne pas dire 10 sur 10 ? Parce que la gestion dans l’ensemble n’a jamais été saine, il ne manque pas des ratés et des petites choses qui peuvent vous échapper" s’est-elle évaluée.

Par contre, Viviane Bendera Notia reconnait que des défis restent encore énormes. Elle indique que certaines difficultés existent et pour lesquelles des efforts sont consentis afin de réussir dans la totalité les missions de cette société étatique.

"La culture fiscale pose problème de manière générale et de fois aussi un peu de politisation. Même là où il ne faut pas, il y a des gens qui racontent n’importe quoi. Et puis autre chose, il y a aussi de m’as-tu vu. Des gens qui ne maitrisent pas comment ça se passe dans les sociétés de l’Etat notamment la SONAS, des gens qui veulent se faire valoir, se faire savoir sans pour autant connaitre quels sont les rouages de la SONAS. Autre chose, pendant la libéralisation, il y a trop de confusions" a indiqué Viviane Bendera Notia.

A la même occasion, la Cheffe d’agence de la SONAS/Maniema s’est dit émue de joie de voir cet anniversaire coïncidé avec l’arrivée du Chef de l’Etat à Kindu, chef-lieu du Maniema. Elle a tenu à lui souhaiter un bon séjour dans cette ville et ce, au nom de sa direction générale.  

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Publié par Deck'son Assani Kamango, le 21 Nov 2023

Le monde entier célèbre le 20 novembre de chaque année, la journée internationale de la convention relative aux droits de l'enfant promulguée le 20 Novembre 1989 et pour laquelle la République Démocratique du Congo a ratifié en 1990. Au Maniema, ladite journée est passée inaperçue et sans activités malgré la volonté de la Division Provinciale du genre, femme, famille et enfant. 

Mais à l'occasion, la Cheffe de Division n'a pas manqué d'interpeller les parents sur leurs responsabilités à veiller sur les droits des enfants durant cette période électorale et où la campagne électorale a été lancée. Selon Régine Kapunga Sifayao, l'enfant mineur de son état est un être cher qui doit bénéficier d'une affection et d'un regard exceptionnel. Mais elle regrette que l'enfant soit aujourd'hui sujet d'un mauvais traitement, de discrimination, d'exclusion sociale, de l'exploitation économique, sexuelle et associé aux forces et groupes armés. 

"Cette contradiction ne se justifie pas d'autant plus que l'enfant constitue en soi un avenir de demain pour la famille et pourquoi pas pour le pays" a-t-elle dit avant de condamner de vive voix l'abandon des enfants à la merci de la rue, l'utilisation des enfants dans les travaux des mines, les mariages précoces, les grossesses non désirées de jeunes filles, les pratiques de stupéfiants et la consommation des boissons alcoolisées. 

Et de demander aux parents et autres éducateurs "d'inculquer à l'enfant à cultiver les valeurs de solidarité, de paix, de tolérance et de respect ; de cultiver l'esprit de travail, de l'initiative et l'effort personnel ; de garantir son épanouissement intégral sur le plan social, intellectuel et moral et de le préparer aux responsabilités citoyennes; de l'entourer des différentes mesures à caractère administratif, social, juridique, éducatif, sanitaire visant à le protéger contre toute violation de ses droits" a insisté Régine Kapunga Sifayao. 

La patronne de la Division Provinciale de genre, femme, famille et enfant pense qu'à travers ces élections, les enfants pourraient être utilisés abusivement lors de la campagne électorale, l'urgence s'impose à tous les parents et éducateurs à les protéger et à faire respecter scrupuleusement leurs droits. À cet effet, elle exhorte les candidats à veiller avec vigilance sur la protection des enfants soit aucun enfant dans les directoires de leur campagne. Rappelons que le thème de cette année était "pour chaque enfant, tous ses droits".

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Publié par Deck'son Assani Kamango, le 15 Nov 2023

La Fondation Docteur Jérôme MUNYANGI "FOMU" existe désormais à N’Kenye, chef-lieu du groupement JUA, secteur des BEIA dans le Territoire de Pangi. La cérémonie de l’installation de la cellule de cette entité a eu lieu ce mardi 14 novembre 2023 par la Coordination Territoriale de Pangi. Au total, Vingt-deux (22) personnes constituent le comité dirigeant de cette cellule qui sera chapeauté par KANGELA NGUMBI. Celui-ci promet de continuer à sensibiliser d’autres membres afin d’accompagner l’initiateur de la FOMU.

"J’ai reçu une délégation de la Fondation Dr Munyangi qui est venue nous sensibiliser sur les élections qui s’approchent, elle nous a annoncé aussi que Dr Munyangi est candidat à ces élections prévues en décembre 2023. On a discuté et échangé avec la délégation et je viens de la promettre de réunir d’autres membres afin de les sensibiliser. Nous allons nous rencontrer dimanche et de là on discutera d’autres choses pour que nous allions de l’avant. Nous souhaitons juste que Dr Munyangi Nkola Agro nous assiste et nous allons nous aligner derrière lui, qu’il nous soutienne comme ça on va sensibiliser pour lui" a dit KANGELA NGUMBI.

Le Coordonnateur Territorial de la Fondation Dr Jérôme MUNYANGI de son côté se dit ému de joie pour avoir réussi sa mission et promet de continuer dans tous les villages du territoire de Pangi. Le Chef de Travaux Milabyo Lukusa Charles-Bronson félicite à l’occasion l’accueil réservé à la délégation conduite par lui.

"Notre accueil dans le village N’kenye, vraiment mes impressions sont bonnes. Nous avons été bien accueilli par le comité qui était déjà bien préparé avant notre arrivée à N’Kenye. Ils nous précisent qu’ils vont travailler durement pour que les comités de soutien à Dr Munyangi soient installés partout sur la route Kindu – Kalima. Le comité directeur est constitué de 22 personnes, les populations de N’Kenye sont tellement engagées pour soutenir Dr Jérôme Munyangi et elles vont fournir un effort pour que soient sensibilisés le maximum de gens" a expliqué le CT Charles-Bronson.

Rappelons que le village N’Kenye se situe à 77 kilomètres de la Ville de Kindu et à 24 kilomètres de la Commune rurale de Kalima sur la route Kindu – Kalima. 

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Dans une interview exclusive de son Président Me Stéphane Kamundala, la Société Civile du Maniema sort de son silence et dénonce pour la unième fois le silence des autorités du pays et celles militaires face à la présence des militaires dans les sites miniers décriée par elle depuis plusieurs mois maintenant. Le Président de cette structure citoyenne parle des sites miniers basés dans le Territoire de Lubutu au village Kabakaba.

"La Société Civile Forces vives du Maniema vient pour la unième fois adresser son mécontentement à l’égard des différentes autorités de la République Démocratique du Congo qui font la sourde face aux déclarations et dénonciations de cette dernière par rapport à la présence inégale, indésirable et nuisible des militaires de la troisième zone de défense dans les sites miniers généralement situés dans le Territoire de Lubutu et tout particulièrement dans le village Kabakaba et c’est depuis le mois d’Août" a expliqué Me Stéphane Kamundala.

Pour la Société Civile Forces Vives du Maniema, cette situation crée d’énormes conséquences notamment la non scolarisation des enfants. Tout en signalant l’absence des affrontements à Kabakaba pouvant justifier cette présence militaire, la SOCIMA pense que c’est à tort que les autorités militaires de Kisangani avaient déployé des militaires dans cette partie du Maniema. Pour ce faire, la structure citoyenne du Maniema recommande au Chef d’Etat-Major des forces loyalistes de suivre cette situation.

"Recommande au Chef d’Etat-major des FARDC, le Général d’armée Christian Tshiwewe de suivre et de veiller de plus près au respect strict et scrupuleux l’ordre qu’il avait donné au Général Mutupeke et retirer sans conditions tous les militaires qu’il avait déployé dans le Territoire de Lubutu particulièrement dans le site minier exploité par la SOMIL et dans le village de Kabakaba. Elle réclame et recommande au Président de la République de faire mieux pour que la population rentre avant que les élections n’aient lieu, il faut éviter la politique de deux poids deux mesures" a conclut Me Stéphane Kamundala.

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Le Chef de l'État a signé depuis le 16 Octobre 2023 une série d'ordonnances dans l'armée mais aussi pour l'équipe du Programme de Désarmement, Démobilisation, Relèvement Communautaire et la Stabilité en sigle P-DDRCS. Ainsi, l'Abbé Jean-Bosco Bahala a été désigné par Félix-Antoine Tshisekedi pour diriger ce service important en République Démocratique du Congo en remplacement de Mr Tomy Tambwe.

La Société Civile du Sud-Kivu, du Nord-Kivu et du Maniema qui voient en ce changement des dirigeants la chance pour le P-DDRCS dans sa mise en œuvre effective. Dans un communiqué conjoint signé par ces trois structures citoyennes et lu devant la presse par Me Stéphane Kamundala, Président de la Société Civile du Maniema, ces structures remercient le Chef de l'État pour avoir opéré ce changement sur leur demande et la demande des populations de l'est affectées par les violences armées. 

Ces structures qui n'ont cessé de rappeler au Chef de l'État que la réussite du P-DDRCS dépendait de l'acceptation de son animateur principal par toutes les parties prenantes. Tout en saluant les forces vives ainsi que les personnalités qui ont contribué à cette lutte, la Société Civile du Grand-Kivu pense que ce changement est un salut mais aussi une opportunité pour sa véritable mise en œuvre.

Ces structures qui se disent prêtes à accompagner le nouveau dirigeant du P-DDRCS recommande au Chef de l'État d'ordonner au premier Ministre de procéder à l'allocation des moyens nécessaires pouvant permettre la mise en œuvre des activités prévues dans le plan d'action dudit programme. Mais aussi à Mr l'Abbé Jean-Bosco Bahala, nouveau coordonnateur national du P-DDRCS d'être rassembleur. 

"Au nouveau Coordonnateur national du P-DDRCS Mr l'Abbé Jean-Bosco Bahala Okwibale Lusheke d'être rassembleur et de rester à l'écoute des acteurs et de tous les bénéficiaires du P-DDRCS. De revoir tous les plans stratégiques et plans d'actions avec les acteurs clés des provinces concernées par le P-DDRCS en vue de les adapter aux vraies réalités des entités" a indiqué le communiqué. 

Enfin, la Société Civile du Sud-Kivu, du Nord-Kivu et du Maniema invitent tous les partenaires bi et multi latéraux à une mobilisation en vue d'apporter leurs appuis nécessaires afin de propulser la paix et le développement des zones concernées par le P-DDRCS.

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Une pluie diluvienne accompagnée d'un vent violent a laissé de mauvaises traces dans la Commune rurale de Salamabila dans le Territoire de Kabambare au Sud du Maniema. Des murs écroulés, toitures emportées, des biens ménagers emportés par l'eau des pluies et des inondations dans plusieurs quartiers de cette municipalité, voilà le tableau sombre à dresser après le passage de cette pluie qui s'est abattue sur cette commune il y a 48heures soit le jeudi 22 septembre dernier. 

Des sources concordantes indiquent que plusieurs familles sont sans abris et passent nuit sous la belle étoile, d'autres dans les églises, dans les écoles ou encore dans les maisons d'accueil. Plusieurs messages appelant à la rescousse des sinistrés sont alors lancés auprès du gouvernement tant provincial que national, aux ONG humanitaires et aux bonnes volontés par la notabilité ainsi que les leaders du coin. Tél est le cas de Kaponda Médard Théophile, jeune leader de Kabambare. 

"Au moins plus de 800 maisons ont été écroulées et plusieurs biens de valeur ont été emportés par les eaux de cette pluie. Selon la société civile que nous avons contacté sur place, elle nous confirme que les quartiers les plus touchés sont le quartier Maniema, quartier Kindu et quartier Kama où on a compté plus de 851 maisons comme bilan provisoire avec le risque d'enregistrer plus de mille maisons car celles qui sont restées avec des fissures continuent à s'écrouler" explique Kaponda Médard Théophile. 

A lui d'ajouter "tout en compatissant avec les victimes de cette catastrophe, moi en tant que notable du coin et fils maisons et jeune leader, je lance un appel d'urgence au gouvernement provincial, central et aux personnes de bonne volonté mais aussi aux humanitaires de venir en toute urgence en aide cette paisible population qui passe déjà la nuit à la belle étoile tout en espérant que cette demande va arriver tout droit aux personnes que nous venons de citer, nous continuons à compatir avec les victimes" a dit Kaponda Médard Théophile. 

Selon le bilan fourni par le service des actions humanitaires sur cette catastrophe est d'un bébé décédé, cinq écoles et 841 maisons détruites et submergées dans l'eau et des pertes des biens de valeur.

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Le monde entier célèbre le 21 septembre de chaque année, la journée internationale de la Paix. Elle consiste à la promotion de la paix et l’accentuation des efforts pour mettre fin aux conflits. A Kindu, chef-lieu de la province du Maniema, le Mouvement International des Etudiants Catholiques Pax Romana en sigle "MIEC" n’a pas laissé inaperçue la journée. Il a à cet effet organisé une marche de santé le matin de ce jeudi 21 septembre dans les grandes artères de la ville. 

Pour Tony Kasongo, Président du MIEC/Maniema, la paix n’est pas seulement l’absence de conflit armé. Celle-ci englobe la coexistence pacifique entre les peuples, la justice sociale, la réduction de la pauvreté, la protection de l’environnement et le respect des droits humains. Celui-ci indique que la paix est mise à rude épreuve en République Démocratique du Congo suite aux tensions géopolitiques intensifiées et l’accroissement de la limitation des ressources et les inégalités sociales. Tout en rappelant ce qui se passe à l’est du pays et récemment le carnage des membres du mouvement mystico-religieux Wazalendo à Goma, Tony Kasongo explique aux Maniemiens que la paix est une responsabilité collective et que les tendances et intérêts ne doivent pas prendre le dessus sur les engagements et objectifs. 

"Les messages de haine, inondés du tribalisme, de conjuration allant dans le sens de vous salir mutuellement ont atteint des limites extrêmes de tolérance" a dit Tony Kasongo.

Et pour matérialiser cette paix qui caractérise la Province du Maniema, le MIEC/Maniema a proposé au Gouverneur ai de la province que soit érigé un monument de Paix dans le centre-ville de Kindu. Celui-ci représentera tous les sept Territoires qui composent la province et les trois Communes qui constituent la ville de Kindu, Chef-lieu de la province et qui aura une Colombe de paix qui s’envole au milieu. Pour le Président du MIEC/Maniema, cet endroit sera un lieu touristique sur lequel les informations sur la province du Maniema seront écrites et fera preuve de la paix et un rappel à l’unisson et un acte de paix entre les fils et filles de cette province. Doléance entendue par le Chef de l’exécutif provincial qui n’a pas tardé d’y répondre. 

Pour rappel, plusieurs initiatives de l’instauration de la paix ont déjà eu lieu dans la province. C’est notamment le forum pour la paix organisé en février 2023 par les confessions religieuses et les chefs coutumiers de sept Territoires, la caravane de la paix initiée par le gouvernement provincial pour pousser les groupes armés à déposer les armes et autres.

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Après un long séjour en dehors de la Province du Maniema, le Chef coutumier Sa Majesté Jean-Paul Mukota vient de fouler ce mercredi 20 septembre 2023 le sol de la ville de Kindu. Avec plusieurs messages d'espoir, Mwami Jean-Paul Mukota a, au pied d'avion, après sa descente, indiqué qu'il est temps que le Musongola recouvre sa gloire. 

"Tout ce que nous avons déjà gagné comme gain de cause en ce qui concerne les droits coutumiers, la lutta continua. Nous sommes partis à Kinshasa, après quatre mois, nous sommes rentrés et nous espérons que nous ne sommes pas partis jouer à la dame mais nous sommes partis avec le concours de tous les notables de Basongola, Musongola doit espérer sa gloire, le peuple autochtone est un peuple respectueux" a expliqué Sa Majesté Jean-Paul Mukota. 

Et au sujet d'une prétendue division de sa communauté, Mwami Jean-Paul Mukota rejette cette hypothèse. Selon lui, le peuple Musongola reste indivisible. 

"Il n'y a pas de cacophonie. Musongola reste un et indivisible. C'est pour autant dire que s'il y a eu des brouhahas c'est peut-être les hommes politiques qui ont voulu faire quelque chose en dehors de ce que Musongola est en train de faire. Malheur à ceux-là qui ont pensé que pêcher dans une eau trouble peut les amener quelque chose d'important mais nous disons si et seulement si nous sommes en face des Basongola qui se respectent, tout ce que nous avons déjà fait pour les Basongola, Musongola a intérêt de vivre ensemble" a martelé Jean-Paul Mukota. 

En terme d'attente, le Chef coutumier Jean-Paul Mukota annonce déjà la tenue d'une assemblée générale dans les prochains jours durant laquelle les matières importantes concernant la communauté seront traitées.

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Alors que plusieurs initiatives de collecte de fonds avaient été initiées par les jeunes de Kindu pour venir en aide un de leurs en la personne de Fabrice Pinganayi, Coordonnateur national de la Ligue des Jeunes pour la Défense des Droits de l'Homme "LJDH", tombé gravement malade et interné à centre hospitalier, Clinique Mapon. 

Plusieurs listes ont circulé dans les réseaux sociaux notamment sur WhatsApp. Sur ces listes avaient souscrit plusieurs jeunes et personnalités de la province. Mais curieusement de toutes les collectes faites, seules celles de deux personnes ont atteint la destination. Révélations faites à notre rédaction par la famille de Fabrice Pinganayi. 

"Jusqu'à ce jour, nous vous signalons Mr le journaliste, seules les assistances de l'Honorable Matata Ponyo et de l'Excellence Omana Bitika sont arrivées entre nos mains. Tout en leur disant MERCI, nous implorons la main de l'Éternel de DIEU sur eux" a expliqué un membre de la famille Fabrice Pinganayi. 

Ainsi, la famille Fabrice Pinganayi s'inquiète par la même occasion du fait que plusieurs collectes ont été organisées mais toutes ces contributions restent sans trace. Elle en a aussi appris l'assistance du Gouverneur ad intérim équivalent à une somme de mille dollars mais qui restent aussi sans trace.

"Pendant que nous avons appris qu'il y avait plusieurs listes qui circulaient mais nous n'avons encore rien reçu. Nous avons tout de même appris que le Gouverneur aurait débloqué un montant équivalent à 1000$ mais que nous n'avons jamais reçu. Cette situation risque de ternir l'image de notre famille. " a renchérit ce membre de la famille Fabrice Pinganayi qui a préféré garder l'anonymat. 

Pour rappel, Fabrice Pinganayi a été transféré au Burundi où il poursuit avec les soins. Et ce, sur base des assistances de ces deux personnes citées. Le Sénateur Augustin Matata Ponyo a pris en charge la facture totale des soins médicaux reçus à Kindu et l'assistance du Vice-ministre OMANA BITIKA Pascal aurait servi à l'évacuation du couple Fabrice Pinganayi de Kindu vers Goma jusqu'au Burundi.

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Les élections générales approchent en République Démocratique du Congo. Plusieurs structures, églises et organisations citoyennes s'apprêtent à affronter cette période teintée des secousses et violations des droits de l'homme. C'est le cas de la Commission Diocésaine Justice et Paix "CDJP" du diocèse catholique de Kindu. Son Coordonnateur a réuni ce samedi 09 septembre 2023 toutes les commissions paroissiales justice et paix "CPJP" d'au-moins sept paroisses de la ville de Kindu. La rencontre a eu lieu dans la salle des réunions de la Caritas Kindu. 

Occasion pour Me Saleh Mushabaha d'établir un contact avec les membres des CPJP et de les appeler à descendre sur terrain afin de sensibiliser toutes les couches vives du milieu sur la lutte contre les violations des droits de l'homme. 

"Nous avons profité de l'occasion pour un renforcement des capacités en ce qui concerne le monitoring de violation des droits de l'homme. Nous avons aussi décidé qu'en ce moment des élections ils doivent faire beaucoup des sensibilisations surtout des actions sur la non violence et inviter toute la population de la ville de Kindu à se comporter bien en ce moment ici des élections. Si on est pas bien préparé, il y a risque de nous amener des troubles dans la ville" a expliqué Me Saleh Mushabaha. 

Et d'ajouter "Nous les avons demandé de documenter toutes les actions qui ont trait avec les différentes violations des droits de l'homme. De passer à tout moment dans les cachots et amigos qui sont dans leurs entités paroissiales. Nous nous sommes dit qu'il fallait d'abord une réunion de prise de contact, savoir ce que nous pouvons mener ensemble comme actions en plus, redynamiser ces comités paroissiaux justice et paix" 

Interrogés, les participants disent qu'ils sont déterminés à bien mener cette mission en vue d'éviter des dégâts énormes dans la ville pendant ou après les élections. Leurs cibles seront plus les jeunes et les femmes. 

"Nous venons d'apprendre beaucoup de choses. Notamment comment faire des séances d'éducation de masse. Et comment les élections approchent, nous devons sensibiliser les jeunes, les femmes et toutes les autres couches du milieu. Nous devons leur sensibiliser pour éviter les violations des droits de l'homme et l'immortalité des femmes. Ces derniers doivent aussi être prêts à accepter les résultats des urnes et non créer des troubles post-électoraux" ont dit certains d'entre eux tout en rassurant sur leur disponibilité à réaliser cette tâche. 

Pour rappel, ces séances de sensibilisation seront lancées en ce même mois de septembre en cours et se poursuivra jusqu'à la fin de la période du processus électoral.

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Debout Grand Lac, cette ONG régionale s’installe désormais dans la province du Maniema. Elle sera dirigée dans cette province par un comité composé de cinq personnes sous la Coordination de Serge Kingi Matenda Wakwizombo. La cérémonie de son installation est intervenue ce jeudi 7 septembre 2023 à Kindu au siège de cette nouvelle organisation basé non loin du snack bar Mulunge 1. Le Président régional qui a procédé à cette installation précise que sa structure est là pour quatre objectifs parmis lesquels la formation professionnelle et l’entrepreneuriat des jeunes. 

"Nous sommes dans plusieurs secteurs. Ici au Maniema il y a quatre objectifs que nous sommes obligés d’atteindre. Premier objectif, on va implanter notre centre de formation professionnelle et de métiers et on sera aussi dans le secteur agricole et élevage. On sera aussi dans le secteur d’encadrement des jeunes entrepreneurs. Et comme le jeune n’a pas une plateforme qui peut le permettre de l’encadrer c’est comme ça que DGL vient s’installer ici à Kindu pour encadrer les jeunes dans le domaine d’entrepreneuriat" a laissé entendre Me Matenda Salumu Boniface. 

Selon le patron de Debout Grand Lac, jamais la politique ne peut développer un pays. Fort malheureusement, ajoute Matenda Salumu Boniface, plus de quatre-vingt-dix pourcents des jeunes s’occupent de la politique. Par ailleurs, le Coordonnateur provincial de DGL Maniema promet de faire du mieux possible pour atteindre les résultats attendus sur les objectifs assignés à son comité. 

"Ce sont les sentiments de satisfaction que nous avons. Ce sont des responsabilités lourdes qu’on vient de nous confier. Le Président régional Boniface Matenda c’est un fils du Territoire, vis-à-vis des contacts qu’il avait avec les autorités de la province, c’était utile qu’il vienne implanter cette ONG ici dans la province. Une ONG qui vient promouvoir la paix et la résolution des conflits mais aussi lutter contre le chômage et la création de l’emploi envers les jeunes" a expliqué Serge Kingi Matenda Wakwizombo. 

A lui d’ajouter "je suis donc à mesure à appeler les jeunes de la province en général et particulièrement ceux de la Ville de Kindu à s’adonner beaucoup plus dans l’entrepreneuriat parce que Debout Grand Lac va les accompagner, les former, les financer aussi pour faire en sorte que dans les domaines d’intervention où nous allons œuvrer ou soit les formations que nous allons organiser, qu’ils puissent s’en sortir et se prendre en charge. Nous aurons aussi à intervenir dans le domaine agropastoral" a-t-il conclu.

Signalons que le comité de coordination de la province du Maniema installé à ce jour est composé de cinq personnes dont un coordonnateur, deux coordonnateurs adjoints, un expert et un informaticien qui se chargera aussi du marketing.

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Les artistes musiciens et comédiens du Maniema sont en deuil. Ils viennent de perdre l'un des leurs en la personne de l'artiste comédien KASOKOTA qui évoluait dans le groupe de l'artiste comédien Chiruza Mansamba. 

KASOKOTA d'heureuses mémoires est décédé ce mercredi 30 Août 2023 et son inhumation aura lieu ce jeudi 31 Août 2023 à Kindu. Pendant plusieurs années, l'illustre disparu a œuvré aux côtés de son président et a été à la hauteur pour donner du sourire même aux morts. 

Très consterné par cette perte, Chiruza Mansamba dit Tate Baba dit avoir perdu un grand compagnon de lutte, un conseiller et un grand acteur. 

"Il était plus qu'un Papa pour moi. Il était là à chaque fois qu'on avait besoin de lui. Que ça soit sur scène tout comme pendant les répétitions. Nous sommes encore jeunes et étant tels, on a toujours besoin d'une sagesse à nos côtés pour qu'on suive le chemin qu'il faut afin de réussir notre carrière" a indiqué Chiruza Mansamba en faisant couler les larmes. 

KASOKOTA sera inhumé ce jeudi 31 Août 2023 selon les précisions apportées par Chiruza Mansamba. Mais bien avant cela, le Comité des Artistes Musiciens et Comédiens du Maniema en sigle "CAMCM" lui rendra les derniers hommages à la résidence familiale de l'illustre disparu. 

Comme disent les Africains, la rédaction d'Actualités Maniema tient à présenter ses condoléances à la famille éprouvée et souhaite un repos éternel à l'illustre disparu.

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Dans le but de contribuer à la promotion et l’encadrement des jeunes par des actions de qualité et inclusives au processus du développement durable de la République Démocratique du Congo, le Conseil National de la Jeunesse "CNJ/RDC" a dévoilé ce mercredi 30 août 2023 son plan d’actions opérationnel qui va du mois d’août 2023 au mois d’août 2024 soit une année. La cérémonie du dévoilement de ce plan qui contient dix grands axes a eu lieu dans le salon rouge de l’immeuble intelligent dans la commune de la Gombe.

Le lancement dudit plan avec toutes les parties prenantes à travers un café de présentation officielle étant déjà le premier axe, le deuxième consistera à constituer les groupes thématiques des organisations membres du CNJ à travers un atelier de constitution. Le CNJ/RDC, dans le troisième axe de son PAO veut cartographier les problèmes socioéconomiques et les axes prioritaires d’intervention par province à l’attention du gouvernement en vue d’une meilleure implémentation des actions sur terrain. 

Le CNJ/RDC, structure des jeunes, veut aussi renforcer le système de gouvernance des organisations des jeunes notamment elle-même, les conseils provinciaux de la jeunesse, les asbl, les mouvements des jeunes, les ONG des jeunes pour un travail axé sur le résultat. Ceci à travers des ateliers, renouvellement des équipes dirigeantes des CPJ, le contrôle de fiabilité et autres. L’axe 5 du plan du CNJ/RDC compte par ailleurs mettre en place un mécanisme de concertation entre les institutions de la République et les organisations des jeunes et ce, grâce aux dialogues, tables rondes et la mise en place des points focaux.

Le plan d’action opérationnel du CNJ/RDC prévoit aussi pendant cette année renforcer la participation efficace des jeunes au processus électoral, de paix, de sécurité, de cohésion nationale et de gestion de conflits. A ce niveau, des rencontres, des campagnes et formations seront tenues. En septième axe, le CNJ/RDC va accompagner les jeunes dans l’écosystème entrepreneurial pour l’employabilité et le développement économique ceci grâce aux plaidoyers d’insertion dans tous les programmes entrepreneuriaux des jeunes au pays. 

L’élaboration de la politique genre, la lutte contre les violences basées sur le genre en milieux des organisations des jeunes et scolaires ainsi que la promotion de la santé universelle constitue le huitième axe du PAO du CNJ/RDC. Pendant que le neuvième axe se chargera de la promotion de la résilience agricole et la protection de l’environnement. Elles se feront grâce à la mise en place des centres de formation sur la résilience agricole et l’insécurité alimentaire et des campagnes de sensibilisation. Et enfin, le dixième axe consistera au plaidoyer, monitoring et la publication des situations des jeunes sur toute l’étendue du Territoire national selon les secteurs.

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La synergie des organisations de la société civile ne lâche pas le dossier des tortures cruelles, inhumaines et dégradantes que subissent les détenus dans la prison centrale de Kindu et pour lesquelles le Lieutenant-Colonel Tchelu Ntambwe Vicky qui contrôle le pavillon militaire de cette maison carcérale.

Après leur point de presse conjoint animé le 29 août dernier, les organisations de la société civile s’y sont rendues ce mercredi 30 août 2023 auprès du Gouverneur ad intérim de la province du Maniema pour un tête-à-tête. Selon Me Stéphane Kamundala, Président de la coordination de la Société Civile Forces Vives, cette rencontre entre dans la série des actions prévues par la synergie afin de mettre fin à ces actes de violation des droits de l’homme dans la prison centrale de Kindu.

"Nous avons dit qu’on a plusieurs actions à mener, aujourd’hui on a promis de voir le Gouverneur, il vient de nous recevoir, on vient de passer plus de deux heures avec lui pour lui donner des détails de nos revendications, des actions qu’on mène au profit des détenus ou des pensionnaires de la prison centrale de Kindu et le Gouverneur a pris acte" a expliqué Me Stéphane Kamundala.

La synergie de la Société civile indique qu’elle cherche à cette occasion l’implication du Gouverneur afin que l’officier doigté réponde de ses actes et que tous les condamnés soient déférés dans une autre prison.

"Nous avons demandé qu’il s’implique pour le départ du Colonel Vicky, qu’il s’implique aussi pour qu’il réponde de ses actes au niveau de la justice. Et qu’il se mette à prendre des mesures pour prendre tous les condamnés dont les décisions ont déjà été coulées en force de chose jugée et les déplacer de la prison centrale de Kindu et les transférés dans d’autres prisons de la RDC" ajoute Mr Stéphane Kamundala.

Répondant à la synergie des organisations de la société civile, le Gouverneur intérimaire a demandé à ses hôtes un moratoire pour qu’il réunisse les membres du Conseil provincial de sécurité pour prendre des mesures idoines. Pour rappel, les tortures du colonel Vicky ont déjà créé 25 décès depuis Décembre 2022 selon les statistiques de la société civile du Maniema.

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C’est parti avec le programme "Je suis Cap" dans la province du Maniema ! Ce programme de la Fondation VodaCom Congo vise à autonomiser cent (100) femmes vivant avec handicap dans la ville de Kindu. Il a été lancé ce mercredi 30 août 2023 dans la salle Saint-Joseph de la Procure du diocèse catholique de Kindu. Devant le Gouverneur ad intérim du Maniema, cent femmes ont reçues chacune un kit complet pour faire tourner une petite activité génératrice des revenus. 

Selon Mme Jessica Mputu, la chargée d’éducation et santé au sein de la Fondation VodaCom Congo, outre la formation subie par ces femmes vulnérables, le Kit leur remis est constitué d’un fonds de démarrage évalué à 275 dollars américains, d’un téléphone portable à système androïd, d’un parasoleil, d’une table, d’une chaine plastique et d’un chasuble pour permettre à ces femmes de devenir autonomes.

"Nous avons lancé depuis l’année 2020 un vaste programme que nous appelons Je suis Cap, un programme qui vise à autonomiser les femmes vivant avec handicap. Nous voulons donc donner à ces femmes des compétences et des ressources nécessaires pour les aider à se développer, nous voulons les aider à briser les barrières que peuvent subir les femmes vivant avec handicap. Elles ont subi une formation en produits et services M-pesa, elles ont reçu les kits de démarrage" a expliqué Jessica Mputu. 

La chargée d’éducation et santé précise que ce programme est national et a déjà secouru plus de six-cents femmes vivant avec handicap dans les provinces du Kongo Central, de l’ex-Katanga, de Kinshasa et aujourd’hui au Maniema. Elle motive le choix de la femme vivant avec handicap par le fait que le progrès d’un foyer passe par elle. 

"C’est la femme qui porte la vie, on dit toujours là où il y a les femmes, elles peuvent construire le pays. Donc on se dit que comme elles tiennent les foyers ce sont ces femmes-là qui peuvent travailler de manière à ce que leurs foyers puissent devenir indépendants" a-t-elle dit avant de préciser que le choix de ces femmes vulnérables sans autres activités et ces dernières bénéficieront d’un suivi permanent dans leurs lieux de travail. 

De leur côté, les bénéficiaires ont tenu à remercier la Fondation VodaCom Congo pour cette assistance qui selon elles, tombe à point nommé. 

"Nous venons remercier sincèrement VodaCom qui nous aide chaque fois avec des intrants comme le parasoleil, le téléphone, une chaise, une table, les fonds de démarrage. Ça va nous permettre d’être autonomes et nous prendre en charge"

Par ailleurs, le Gouverneur ad intérim en a profité pour demander l’utilisation efficiente des matériels reçus par ces femmes auprès de la Fondation VodaCom Congo et d’en investir dans le projet à long terme afin de laisser des traces solides dans leurs foyers.

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On en sait un peu plus sur ce qui se passe dans la prison centrale de Kindu. Enfin, la synergie de la société civile met sur la place publique les données sur les cas de torture et d’autres violations des droits de l’homme dans cette maison carcérale et dont est l’auteur le Colonel Tchelu Ntambwe Vicky. Dans un point de presse animé par cette synergie de la société civile, cette dernière a présenté un nombre de 25 cas de décès dus aux tortures depuis décembre 2021 à ce mois d’août 23. Le dernier cas en date est le décès d’un agent de police de police ENGONI MBOKOLO ce lundi 28 août 2023.

Pour cette synergie cette torture s’applique sous plusieurs formes comme nyama munene, luka tonga, mema pe tambwisa train, pompages, mema mokili mema Congo, kasakasa, kuvurunga ciment et autres. La synergie des structures citoyennes ajoute aussi que les frais communément appelés frais de bougie sont passés de deux cents milles à un millions voire un million cinq-cents milles francs congolais. Comme si cela ne suffisait pas indique la société civile, le Colonel Tchelu Ntambwe Vicky impose à tous les détenus militaires et policiers qui perçoivent encore leurs soldes de lui donner dix milles francs congolais à chaque fois qu’ils sont payés.

"Nous avons enregistré 25 cas de mort, 15 blessés, nous avons constaté aussi des personnes dont l’argent est extorqué, confisqué par exemple tous les détenus militaires et policiers sont en train de donner au responsable du pavillon militaire, dix milles francs de leur salaire à la fin de chaque mois. L’auteur de tout ça dans les enquêtes, il s’agit d’un réseau mais l’élément principal si pas l’instigateur c’est le Lieutenant-Colonel Tchelu Ntambwe Vicky. La situation de détenus sur le plan sécuritaire et corporel se détériore d’avantage" explique Me Stéphane Kamundala, Président de la société civile forces vives du Maniema.

Ladite synergie révèle aussi que cet officier sème l’insécurité dans la ville de Kindu et organise des missions de vol à mains armées dans les domiciles des habitants en y retirant des militaires et policiers de la prison et les équipe. Face à toutes ces situations, les structures de la société civile qui promettent des actions leur reconnues par la constitution demandent aux autorités de déplacer cet officier dans une autre prison.

"Nous demandons dans le cadre de cette synergie qui nait spontanément que toutes les autorités compétentes trouvent la solution immédiatement en suspendant, en arrêtant et même en remplaçant ce Lieutenant-Colonel par un autre. Faute de quoi nous allons mener, la constitution nous l’autorise, autant d’actions pour atteindre l’objectif qu’on se fixe et qu’on s’assume actuellement" a conclu Me Stéphane Kamundala.

Signalons que cette synergie est constituée par la Société Civile forces vives, l’ONG Haki za Binadamu, le CDJP, la nouvelle société civile du Congo, la nouvelle dynamique de la société civile, le bureau des inspecteurs des droits de l’homme et autres.

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Plusieurs fils de la Communauté LEGA de la Province du Maniema ont pris la décision de se lancer dans la course pour soit, les élections présidentielles, soit les législatives nationales, provinciales ou encore aux élections locales. Certaines opinions pensent que c’est le résultat d’une division qui existerait au sein de cette communauté plus populaire à Kindu, chef-lieu de la province du Maniema. 

Opinion non partagée par Me Aloise Kithinga Kanyama, fils de la communauté LEGA et candidat aux législatives nationales et provinciales. Selon lui, sa communauté n’a jamais été divisée malgré les improvisations et les mensonges de certains intrus dans cette communauté. 

"Je tiens à vous informer que ma communauté LEGA n’est pas divisée. Il y a certains virus qui n’ont jamais été fils non seulement du Maniema mais qui n’ont pas un passé dans la ville de Kindu qui s’improvisent et qui pensent qu’avec les mensonges, ils peuvent diviser une communauté si organisée" a précisé Aloise Kithinga Kanyama.

Ce candidat de la Convention des Démocrates Rénovateurs "CDER" croit que la sagesse LEGA interviendra en dénichant les personnes hostiles originaires d’autres provinces qui veulent semer cette confusion au sein de la communauté.

"Nous croyons à la sagesse des notables de notre communauté et vont comprendre que ceux qui viennent diviser ne viennent pas du Maniema, ceux qui viennent diviser n’ont pas un passé ici. Et pour qu’ils s’installent ici ils doivent détruire ceux-là, soit qui ont passé dans cette ville soit, qui sont les ayant-droit. Moi, je n’ai jamais discriminé les autres communautés" a-t-il ajouté.

Aloise Kithinga Kanyama conclu par marteler sur son appartenance à la communauté LEGA, dans la province du Maniema et indique qu’il est et restera au service de toutes les communautés.

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La Fondation Joël Musafiri, déjà connue dans la province du Maniema, vient désormais d'être installée dans le Territoire de Kibombo au sud de la province. Connue pour ses multiples réalisations en faveur de la population, la Fondation Joël Musafiri reste déterminée à réduire la misère du peuple Maniemien en général et celui de cette entité en particulier. 

L'annonce de son installation a été faite par Prince Ketoka, Conseiller Spécial du PCA de la Fondation Joël Musafiri à l'occasion du séjour de Joël Musafiri dans cette partie de la province du Maniema. Devant une foule immense réunie pour la circonstance, Mr Prince Ketoka a expliqué que leur fondation poursuit quatre (04) grands objectifs. C'est notamment la santé, l'éducation, le microcrédit ainsi que l'entretien et la réhabilitation de quelques axes routiers menant vers les chefferies.

Pour la santé, la Fondation Joël Musafiri se fixe pour mission d'équiper les structures sanitaires en matériels médico-sanitaires.

"Dans notre territoire, vous trouverez d'autres chefferies où les centres de santé sont sans matelas. La Fondation Joël Musafiri va faire un état de lieu des centres de santé non équipés en matelas et lits d'accouchement et on étudiera comment y remédier" a fait savoir Prince Ketoka, Conseiller Spécial de Joël Musafiri. 

Un accent particulier sera aussi mis sur l'éducation dans l'ensemble du Territoire. La Fondation Joël Musafiri se fixe pour se faire, cet objectif afin d'apporter un soutien, si petit soit-il, aux écoles qui ne réunissent pas les conditions d'accueil des élèves. 

"Nous allons répertorier quelques écoles et nous les doterons des tôles et bancs pour que nos frères continuent à étudier dans des meilleures conditions" a-t-il ajouté. 

La Fondation Joël Musafiri veut ensuite muser sur l'entrepreneuriat en prônant sur le microcrédit. Il s'agira ici, de donner la possibilité aux habitants ayant des petites activités économiques d'emprunter un montant bien déterminé qu'ils retourneront sans intérêt. 

"On te donnera par exemple 100$ pour te motiver dans ton activité et on t'accorde une échéance avant de commencer à rembourser ton emprunt par palliers et cela sans aucun intérêt. Voilà pourquoi j'encourage les jeunes et les mamans, on vous donnera cet argent pour votre émergence. Ne soyez pas distraits. Vous devez être propulsés dans vos activités". 

Et enfin, la Fondation Joël Musafiri veut se concentrer dans la réhabilitation et l'entretien des routes vers les chefferies à commencer par la route qui mène vers la chefferie des BAINA inaccessible depuis plusieurs années.

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Le Président du Conseil National de la Jeunesse "CNJ/RDC" reste déterminé à en découdre avec le chômage des jeunes de la République Démocratique du Congo. L'Ambassadeur Me ATIBU KATAMEA Nathanaël continue à toquer de gauche à droite et auprès des sociétés et entreprises installées dans son pays pour que ces dernières créent des emplois en faveur des jeunes. 

C'est dans ce cadre que le numéro 1 du Conseil National de la Jeunesse a conduit une importante délégation de sa structure auprès de la Société Kin Motors pour un partenariat win-win. Séduit par les opportunités que propose Kin Motors au profit de la jeunesse, Me ATIBU KATAMEA Nathanaël indique que sa démarche vise à répondre à la vision du Chef de l'État celle de la création de plus de quarante milles emplois au profit de la jeunesse. 

Ainsi, la délégation du CNJ a eu un tête à tête avec le Directeur de Marketing de Kin Motors avant d'aller discuter avec le responsable numéro 1 de cette société en RDC. Des explications et opportunités ont été données au CNJ/RDC et dont Kin Motors se dit prête à accueillir ces jeunes qui voudront travailler en son sein. 

Au sortir de l'audience, Me ATIBU KATAMEA Nathanaël a lancé un appel vibrant à tous les jeunes de la RDC à ne pas croiser les bras et s'adonner au travail. Pour rappel, Kin Motors est une société de rassemblage de véhicules automobiles en RDC.

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La Société Civile forces vives du Maniema "SOCIMA" dénonce des cas "graves de violence" et "tortures" qui se font dans la prison centrale de Kindu et dont serait hauteur un certain Colonel dénommé Vicky. Révélations faites par Me Stéphane Kamundala, Président de cette structure citoyenne ce mardi 22 Août 2023 dans une interview accordée à la presse de Kindu. 

"La situation dramatique et chaotique que connaissent actuellement les prisonniers. Dans la prison centrale de Kindu, on constate la montée de violences et des tortures. Nous avons deux pavillons, le pavillon des civils et celui des militaires mais il se fait malheureusement que du côté militaire qui est gardé par le Lieutenant-Colonel Vicky, on est en train de torturer sérieusement les gens. Il vous souviendra que les enquêtes de la société civile forces vives avaient commencé avec la mort d’un policier qui était OPJ au parquet secondaire de Kindu qui, dans un espace de 4 jours avait subi des tortures terribles qui avaient entrainé sa mort 3 jours après sa libération" a dit Me Stéphane Kamundala.

Le numéro un de la SOCIMA révèle aussi que ce même militaire, le Lieutenant-Colonel Vicky serait auteur de l’insécurité dans la ville. Ce dernier serait en train d’utiliser d’autres policiers en prison, en les dotant d’armes et minutions pour organiser des cas de vol à mains armées. 

"Nous avons des informations sûres et réelles que le Colonel Vicky se permet par moment et par endroit de prendre des policiers et même militaires en détention, les amener chez lui et la nuit ils opèrent avec sa bénédiction et le lendemain il les retourne dans la prison" a-t-il ajouté. 

Face à ce genre de bévues et pour y mettre fin, la Société Civile Forces Vives du Maniema recommande à cet effet aux tenants du pouvoir de déférer cet officier dans une autre prison.

"C’est pourquoi, la Société civile forces vives du Maniema, au regard des éléments en sa possession contre le Colonel Vicky recommande à ceux qui ont le pouvoir, c’est-à-dire les autorités compétentes de le changer et de l’envoyer ailleurs parce qu’il est l’auteur des tortures terribles que connaissent nos frères qui sont en détention. Nous recommandons au Directeur de la prison centrale de mettre fin à l’histoire de deux capita dans la prison centrale de Kindu" a conclu Me Stéphane Kamundala en promettant de déposer toutes les preuves que détient la SOCIMA auprès des autorités.

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Le village KABAKABA dans le Territoire de Lubutu au Nord du Maniema est en train de se vider de sa population. Cette alerte est de la Société Civile Forces Vives du Maniema "SOCIMA". D’après le Président de la SOCIMA Me Stéphane Kamundala, cette situation se justifie par la présence massive des militaires venus de Kisangani pour venir sécuriser la société minière de Lubutu SOMIL.

"Aujourd’hui, à l’heure où je vous parle, les habitants de KABAKABA, un village situé à 15Km de Lubutu centre sont en train de fuir leurs ménages, leurs résidences à cause de la présence massive des militaires venus de Kisangani et qui sont venus protéger les sites de la Société Minière de Lubutu SOMIL en sigle en violation flagrante du code et du règlement minier" a expliqué Me Stéphane Kamundala.

A lui de s’interroger sur le pourquoi de cette forte militarisation d’un site minier pour une société qui dure déjà plus de quinze ans et qui fonctionne sans un cahier des charges. La SOCIMA pense qu’il mérite que l’attention des autorités soit fixée sur cette situation. 

"Comment une société peut faire 15 ans en train d’exploiter sans jamais signer le cahier des charges. Je pense que les autorités du pays doivent regarder avec beaucoup plus d’attention cette situation parce que demain ou après-demain on risque de vivre la situation de Salamabila parce que tout le monde reste indifférent. Comment toute une population peut abandonner son village parce que les militaires sont largués pour torturer et venir faire la guerre avec la population comme si on était au front au Nord-Kivu ?" conclu Me Stéphane Kamundala.

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Le village KABAKABA dans le Territoire de Lubutu au Nord du Maniema est en train de se vider de sa population. Cette alerte est de la Société Civile Forces Vives du Maniema "SOCIMA". D’après le Président de la SOCIMA Me Stéphane Kamundala, cette situation se justifie par la présence massive des militaires venus de Kisangani pour venir sécuriser la société minière de Lubutu SOMIL.

"Aujourd’hui, à l’heure où je vous parle, les habitants de KABAKABA, un village situé à 15Km de Lubutu centre sont en train de fuir leurs ménages, leurs résidences à cause de la présence massive des militaires venus de Kisangani et qui sont venus protéger les sites de la Société Minière de Lubutu SOMIL en sigle en violation flagrante du code et du règlement minier" a expliqué Me Stéphane Kamundala.

A lui de s’interroger sur le pourquoi de cette forte militarisation d’un site minier pour une société qui dure déjà plus de quinze ans et qui fonctionne sans un cahier des charges. La SOCIMA pense qu’il mérite que l’attention des autorités soit fixée sur cette situation. 

"Comment une société peut faire 15 ans en train d’exploiter sans jamais signer le cahier des charges. Je pense que les autorités du pays doivent regarder avec beaucoup plus d’attention cette situation parce que demain ou après-demain on risque de vivre la situation de Salamabila parce que tout le monde reste indifférent. Comment toute une population peut abandonner son village parce que les militaires sont largués pour torturer et venir faire la guerre avec la population comme si on était au front au Nord-Kivu ?" conclu Me Stéphane Kamundala.

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Ce vendredi 18 août 2023, le Président ad intérim du Conseil National de la Jeunesse, l'Ambassadeur Me ATIBU KATAMEA Nathanaël a été face aux Présidents des ligues des jeunes des partis politiques de la plateforme politique dénommée Union Sacrée de la Nationale "USN". La rencontre s'est tenue à Kinshasa, capitale de la RDC au siège de cette structure représentative des jeunes de la RDC. 

Me ATIBU KATAMEA Nathanaël et ses hôtes ont échangé autour de la "cohésion nationale et de paix entre jeunes en RDC". Des assises qui s'inscrivent dans le cadre de la collaboration entre le Conseil National de la Jeunesse et les jeunes de Partis politiques. À l'occasion, le patron de la jeunesse RD Congolaise a expliqué à ses invités de fonctionnement de sa structure qui est apolitique et un organe technique du gouvernement placé sous la tutelle du ministère de la jeunesse, initiation à la nouvelle citoyenneté. 

Pour l'Ambassadeur Me ATIBU KATAMEA Nathanaël, le CNJ a pour missions de représenter, coordonner, encadrer et accompagner les organisations des jeunes dans le pays. Il traite avec tout le monde sans s'immiscer dans les affaires internes. D'ors et déjà, Me ATIBU KATAMEA Nathanaël face à ses interlocuteurs, a insisté sur l'unité de tous les jeunes afin de donner la majorité au Chef de l'État pour son nouveau mandat. 

De leur côté, les Présidents des ligues des jeunes des partis politiques de l'USN, par le biais de leur porte-parole, ont fait savoir qu'ils mouillent tous leurs maillots pour l'intérêt de la jeunesse et du Chef de l'État. Ces derniers ont émis le vœu de travailler en collaboration avec le CNJ/RDC en insistant sur l'exemplarité des jeunes qui portent les couleurs politiques. Ainsi, dans l'ensemble, tous les participants se sont convenus de travailler en privilégiant l'unité dans la diversité.

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Les différents coins de la ville de Kindu ont commencé à être éclairés par la Fondation Omana Bitika Pascal. Cette structure dote plusieurs quartiers de différentes communes des lampadaires pour éclairer ces parties du chef-lieu de la province du Maniema. Selon Me Fulgence Watanga, Secrétaire Générale de la FONDABI qui annonce l’information, ceci entre dans le cadre de la lutte contre l’insécurité dans la ville. 

"Pour le moment dans la commune d’Alunguli nous sommes en train d’installer des lampadaires sur demande des populations de ces contrées-là vu qu’à Alunguli il n’y a pas assez d’éclairage public. La population a fait appel à la Fondation Omana Bitika Pascal pour que l’éclairage soit installé en vue de pallier à la situation sécuritaire dans la ville et la commune d’Alunguli parce qu’il y a eu beaucoup des cas de vol à mains armées, nos jeunes filles ont été violées dans des ruelles" a expliqué Me Fulgence Watanga.

Ce dernier indique que cet acte est déjà posé par la FONDABI dans le bloc du plateau dans la commune de Mikelenge et bientôt dans le quartier Basoko au bloc RVA, cela juste après les travaux qui sont en train d’être exécutés dans la commune d’Alunguli où les axes menant vers Kasongo et Kalima sont concernés. Par ailleurs le Secrétaire Général de la Fondation Omana Bitika Pascal invite les populations bénéficiaires à garder ces matériels en bon père de famille. 

"Que la population puisse se prendre en charge en gardant en bon père de famille ce don de la Fondation Omana Bitika Pascal parce que c’est elle la bénéficiaire. Elle doit veiller en ce qu’il n’y ait pas des cas de vol et de destruction. Nous savons que certaines personnes ne peuvent pas voir cet acte d’un bon œil, tous les ennemis du développement de notre Kindu doivent être surveillés par cette population-là" a-t-il conclu. 

Pour rappel, cet énième acte de charité intervient une semaine après le paiement par la Fondation Omana Bitika Pascal des factures de soins de santé aux femmes ayant accouché par voie basse et haute et internées à l’hôpital du fonds social de Kindu mais aussi à l’hôpital général de référence de Kindu.

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Les malheurs ayant frappé quelques communautés et familles dans la Commune rurale de Kalima ne laissent pas indifférent Dr Jérôme Munyangi Wa Nkola, fils du coin. Il s'agit précisément de la Communauté Shi vivant à Kalima qui a perdu un de ses membre ce weekend ainsi que l'association des vendeurs d'essence qui a perdu Mr Kilauri Carlos. 

Ce fils digne se joint aussi à la célébration de vingt (20) ans de vie sacerdotale de Mr l'Abbé Célestin de la paroisse martyrs de Baganda de Kakutya. Dr Jérôme Munyangi compatit tout de même avec les habitants du village Kakozwa dans le groupement N'sange qui sont confrontés à une énième épidémie de choléra. 

Face à toutes ces situations, le surnommé "Jogoo wa mungini" a dépêché ses équipes pour y apporter ses petites assistances à la communauté Shi, auprès de l'association des vendeurs d'essence, aux habitants du village Kakozwa et auprès de l'Abbé Célestin. 

Les bénéficiaires disent ne pas savoir à quel Saint se vouer et remercient abondamment leur bienfaiteur Dr Jérôme Munyangi Wa Nkola. Ces derniers promettent de l'accompagner dans son combat politique et le hisser au plus haut niveau car disent-ils, c'est un homme qui parle peu mais avec beaucoup des réalisations sur tous les plans.

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La Société Nationale d'Assurance, SONAS Maniema n'a pas dérogé à son rendez-vous de chaque jeudi. Comme pour ce jeudi 10 Août 2023, elle a procédé à l'indemnisation de trois cas en automobiles qui ont connu des accidents en juin et juillet derniers. Il s'agit ici de Stéphane Bantu, Dieudonné Binyongo et Assumani Witanene Dewi. 

Le premier par exemple, son véhicule a connu un accident le 30 juin dernier, l'engin du deuxième a connu un accident en date du 19 juillet 2023 tout comme pour Mr Assumani Witanene Dewi, son véhicule a connu un accident le 09 juillet 2023. Tous à l'unanimité ont été indemnisés ce jour et cela sous une joie immense. 

"[...] Mon véhicule a connu un accident avec mon chauffeur. Et comme le véhicule était assuré, nous avons eu le temps d'informer notre assureur qui s'est dépêché. Nous, nous avons engagé des dépenses pour prendre en charge les victimes, nous avons fourni toutes les dépenses effectuées et voilà et aujourd'hui on nous a restitué ce montant d'argent qui a été dépensé [...] Étant assuré à la SONAS, j'étais obligé de venir ici pour déclarer cet accident. Et voilà aujourd'hui on nous a appelé pour le remboursement de toutes les dépenses que nous avons effectuées. La promptitude avec laquelle la SONAS a traité le dossier, c'est dans moins d'un mois depuis qu'on a connu cet accident, ce qui nous met à l'aise [...] Pour moi, assurer son engin est tellement important. Assurer son engin c'est se sécuriser soi-même y compris cet engin pour que pendant l'accident, la SONAS t'aidera un jour et te remboursera ce que tu as perdu pour l'assurer" ont expliqués les indemnisés. 

De son côté, le Cheffe d'agence de la SONAS/Maniema indique ce sont ces trois cas qui étaient dans les tiroirs de son bureau. Tout en se félicitant de la célérité qu'à pris le traitement de ces dossiers, Mme Viviane Bendera confirme que l'assurance est une mutualité. 

"Quand notre trésorerie nous le permet, nous assistons en totalité nos requérants comme c'est le cas aujourd'hui où parmi les 3 sinistrés, deux ont reçu la totalité tandis que l'autre a eu un acompte en attendant qu'un élément puisse être ajouté dans son dossier; mais en cas de vache-maigre (difficulté financiere), nous faisons toujours un effort temps soit peu pour respecter l'objet social. Ce n'est plus une utopie au Maniema." a expliqué Mme Viviane Bendera. 

La patronne de la SONAS Maniema renchérit dans le sens de donner conseil aux conducteurs qui se mécomportent sur la chaussée parce qu'ils détiennent l'assurance. 

"Ce que la SONAS fait ce n'est pas la Caritas ni le Saint-Nicolas moins encore le Père-Noël. Quand vous êtes assuré, vous ne devez pas vous comporter en route comme si vous étiez seul parce que vous êtes assuré. Ce n'est pas ça l'assurance quand bien même c'est une protection, c'est une garantie et c'est une sécurité. Vous devez respecter le code de la route, d'éviter d'être ivre..." a-t-elle conclu. 

Un appel à la mobilisation de tous les propriétaires et tenanciers des engins pour les assurer afin de s'offrir une garantie.

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Après les incidents survenus samedi 06 Août 2023 dernier au siège du Conseil National de la Jeunesse en sigle "CNJ" où des jeunes badauds recrutés par William Mukambila s’étaient permis de s’attaquer au Ministre de la Jeunesse le Dr Yves Bunkulu en visite au sein de cette structure des jeunes, le bureau exécutif du CNJ est allé sauver les meubles auprès du Ministre. 

La délégation a été conduite par Me Atibu Katamea Nathanaël, Président ad intérim du CNJ/RDC. Sur place, la représentation des jeunes RD Congolais s’est pliée devant le ministre fondant en larmes pour l’arracher son pardon. C’est ce qu’à indiquer Daniel Mukendi, chargé de communication du CNJ RDC. 

"Il a été question pour nous d’échanger avec lui autour des questions relatives aux différents événements qui se sont déroulés la semaine passée. Et la première chose pour nous, il s’agissait bien entendu de présenter d’abord les sincères excuses face à ce qu’il y a eu lors de la descente du Ministre. Des images qui n’ont pas vendues positivement la jeunesse congolaise" a expliqué Daniel Mukendi. 

D’une pierre deux coups dit-on, le bureau CNJ/RDC a condamné ces événements qui ont tant déshonoré son image et celle de la jeunesse avant de discuter avec le Ministre sur les chronogrammes des activités prévues durant ce mois d’Août 2023. 

"Nous condamnons ces actes parce qu’il va falloir exactement respecter une autorité qui est membre du gouvernement et nous disons que les gens ne reprennent plus parce que l’autorité de tutelle mérite notre respect et notre maturité à son égard. Nous avons également échangé avec le Ministre autour de cette question qui concerne les activités au cours de ce mois d’août pour la jeunesse congolaise et nous avons remercié le Chef de l’Etat à travers le Ministre pour le succès retentissant des jeunes aux jeux de la francophonie" a poursuivi Daniel Mukendi. 

Pour la petite histoire, William Mukambila, Président du CNJ avait été suspendu par le Ministre Yves Bunkulu. Ce dernier est allé en justice contre cette décision et aurait été réhabilité par la justice. Malheureusement pour lui, il n’avait pas attendu la notification du ministre de tutelle pour reprendre son poste. Et ce dernier s’est plutôt amené avec des badauds pour forcer les portes des bureaux du CNJ/RDC, ce qui lui a valu une nouvelle suspension.

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48 heures après sa réhabilitation par une décision de la justice pour qu'il reprenne ses fonctions de Président du Conseil National de la Jeunesse, William Mukambila se voit de nouveau suspendu par le Ministre National de la jeunesse le Dr Yves Bunkulu. Le patron de ce portefeuille a pris cette décision le 02 Août 2023 et dont la notification de cette décision du Ministre a été faite au concerné ce vendredi 04 Août courant par le Secrétariat général de tutelle.

Dr Yves Bunkulu a au même moment ouvert une action disciplinaire à l'endroit de William Mukambila. Dans sa notification, le Secrétariat Général mentionne que l'intérim du Président du CNJ/RDC suspendu sera assuré par Me ATIBU KATAMEA Nathanaël, Vice-président en charge des Finances de cette structure de la jeunesse RD Congolaise. 

Cherchant à creuser les motifs qui auraient poussé le Ministre à prendre cette décision, plusieurs sources concordantes proches du ministère renseignent qu'après sa réhabilitation par la justice, William Mukambila s'est permis de faire un forcing pour accéder à son bureau sans qu'il ne soit notifié par le Ministre de tutelle. Ce dernier se serait fait accompagner par une foule de badauds et Kulunas pour forcer l'accès aux bureaux en détruisant les cadenas. 

Pour la petite histoire, William Mukambila n'est pas à son premier forfait. L'on se poserait la question de savoir, quelle attitude la jeunesse de la RDC peut-elle apprendre de la personne qui la représente si celui-ci se met à violer les dispositions constitutionnelles pour satisfaire à son égo ? Wait and see disent les anglais !

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OMANA BITIKA Pascal, Vice-ministre au plan, en séjour de travail au Nord-Kivu a été reçu ce mercredi 26 juillet 2023 pendant les heures vespérales par la notabilité LEGA venue de tous les quatres Territoires de l'espace LEGA et vivante à Goma. Ces derniers sont originaires des Territoires de Pangi, Shabunda, Mwenga et Walikale. 

Une soirée riche en émotions entre un fils et ses parents. Occasion pour la notabilité LEGA de remercier le Chef de l'État Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo d'avoir nommé un de ses fils à la tête du Vice-ministère de plan. D'une pierre deux coups, la même notabilité a tenu à bénir son fils OMANA BITIKA PASCAL qui se distingue de plus en plus dans son travail quotidien aux côtés du Président de la République. Il a été demandé au numéro 2 du Ministère du plan de ne pas décevoir la confiance placée en lui par le premier des Congolais. 

Ému par l'accueil et tous les conseils de ses parents, OMANA BITIKA Pascal a promis de suivre à la lettre tous ces conseils et ce, à l'intérêt de toute la nation Congolaise. Par ailleurs, le Vice-ministre du plan n'a pas manqué de remercier les organisateurs de cette réception combien significative pour et qui restera gravée dans son mémoire. Par la même occasion, cet élu du Maniema a lancé un appel à l'unité du fils LEGA qui doit voir en premier l'intérêt commun de l'espace. "Rien ne sert à nous diviser car nous n'irons pas loin mais en restant soudés, nous avons la chance d'écrire une histoire ensemble" a-t-il lâché. 

Au sortir de cette réception, plusieurs participants ont rendu hommage à la sagesse qui caractérise leur fils et certains vont jusqu'à lui prédire une carrière politique fructueuse au profit du pays.

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Prosper Bin Abeli, Directeur Provincial de l'Office des Voies de Desserte Agricole "OVDA" indigné par les accusations qu'il qualifie de "mensongères" distillées par deux activistes de droits de l'homme. Il s'agit là de Mr Chrispin Muyololo Ndariloko, Coordonnateur du Bureau des Inspecteurs de Droit de l'Homme "BIDH" et de Mr Yango Katchelewa qui serait membre d'Asadho. 

Selon le patron de l'OVDA, le premier aurait évoqué, par voie de média, une somme de 315 milles dollars américains qu'aurait reçu l'OVDA Maniema auprès du FONER entre 2020 et 2021. Tandis que le second a avancé un chiffre de 733 millions 808 milles dollars américains reçu par ce service de l'État pour un projet de réhabilitation des routes de dessertes agricoles et que celui-ci n'a jamais été exécuté.

Faux, rétorque Prosper Bin ABELI qui parle des sorties médiatiques de provocation qui visent non seulement à décourager les partenaires de l'OVDA mais aussi de ternir l'image de ce service Étatique. Tout en qualifiant ces informations fournies par les deux précités de "ramassées et sans précisions", le numéro de l'OVDA met en garde contre toute personne qui tenterait de propager des fausses "rumeurs" sur son service. Pour lui, toute personne qui voudrait bien avoir des informations précises sur l'OVDA devra passer à ses bureaux au lieu de spéculer.

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Le diocèse de Kasongo s’est offert des nouveaux Prêtres, six au total. Ces derniers viennent d’être ordonnés ce dimanche 16 juillet 2023 au stade de la paroisse martyrs de Baganda dans la Commune Rurale de Kalima. Parmi ces nouveaux prêtres, un missionnaire y figure. Il s’agit exactement des diacres devenus prêtres dont Mateso Mugambibwa Vincent, Jean-Pierre Kilungulungu, Mathias Zigihika Nyandwi, Ernest Mululi Muzombo, Vincent-Vircus et Nicolas Shabani Kalama. 

Et pour réussir l’organisation de cette grande cérémonie présidée par l’Evêque du diocèse Monseigneur Placide Lubamba Ndjibu, plusieurs enfants du Territoire de Pangi, de Shabunda et de Kabambare y ont mis la main dans la poche. Parmi eux se trouve Dr Jérôme Munyangi Wa Nkola, Conseiller au collège Santé et bien-être à la Présidence de la République, natif du Territoire de Pangi et fervent catholique de la paroisse Baganda. Celui-ci, bien qu’étant absent de la cérémonie, ce fils tant aimé de l’église universelle a envoyé une enveloppe consistante pour aider les organisateurs. 

"C’est un grand événement qui se passe chez moi, dans ma paroisse. Même si, pour raison d’empêchement lié au travail, je ne suis pas présent mais j’ai tenu quand-même à y participer d’une manière ou d’une autre. Je ne saurais pas vous dévoiler le chiffre car même la Bible dit, ce que la main droite donne, la main gauche ne peut pas le savoir ou être au courant. Nous avons fait ce qu’on pouvait à notre niveau" a expliqué ce chercheur Congolais. 

Sur place, lors de son speech, l’Abbé Curé de la paroisse Baganda qui a reçu l’événement a remercié toutes les mains qui ont rendu facile l’organisation de cette ordination facile. 

"Je remercie Dieu de nous avoir réuni ici et l’acceptation de l’Evêque pour que ma paroisse puisse accueillir cette rencontre. Je remercie tous les sponsors qui nous ont aidés à rendre facile l’organisation de ces assises. Nous recevons tous les enfants de Pangi et chez nous vous êtes tous les bienvenus. C’est pourquoi nous adressons nos remerciements à l’Honorable Docteur Jérôme Munyangi Wa Nkola, Nkola Agro qui a amené son assistance depuis la veille de l’organisation de cette ordination. Il nous a apporté une enveloppe consistante, que DIEU lui rende ceci au centuple" a dit l’Abbé Curé de la paroisse Baganda.

Pour rappel, ces diacres ordonnés à ce jour Prêtres sont des paroisses martyrs de Baganda de Kakutya, d’autres de Shabunda, de Kabambare et de Kasongo. Plusieurs présents leur avaient remis en terme des cadeaux par les fidèles ainsi que leurs paroisses respectives.

Deck'son Assani Kamango, Directeur des publications

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Désormais, la population de la Commune d'Alunguli peut aisément organiser les cérémonies funèbres. Cette dernière vient d'être dotée d'un corbillard neuf. Ce don est du Président du Conseil d'administration de la Fondation qui porte son nom. Pour Mr WITANENE DEWILLY, il a été motivé par la souffrance que subissent ses frères et sœurs de cette municipalité lors des deuils dans leurs familles. 

La cérémonie de remise et reprise de ce corbillard a eu lieu ce jeudi 13 juillet 2023 dans la même commune entre le Coordonnateur Provincial de ladite fondation et le Bourgmestre adjoint faisant office de son titulaire. 

Selon le Coordonnateur Provincial de la Fondation WITANENE DEWILLY, c'est la Fondation qui gèrera cet engin et fournira tout le nécessaire pour son bon fonctionnement. 

"Le corbillard sera sous la gestion de la Fondation WITANENE constituée de la population d'Alunguli. Et c'est la même Fondation qui va assurer la maintenance, qui va fournir le carburant, le lubrifiant et la réparation chaque qu'il sera nécessaire" a expliqué Mr Polybe SHABANI. 

Le patron de la Fondation WITANENE DEWILLY au Maniema précise qu'il ne sera pas question de payer quoi que ce soit pour bénéficier des services de ce corbillard. Il suffit juste d'un simple contact et fournir les détails sur le lieu d'enterrement.

"On ne paiera pas mais la précision à donner est que le matin ou quelques minutes après avoir constaté le décès, la famille est dans l'obligation de contacter le gestionnaire. Nous avons mis deux numéros de téléphone. Et doit préciser le lieu d'enterrement (cimetière), l'heure de sépulture, comme ça la Fondation va dépêcher le véhicule avec son chauffeur et prendre le corps à l'heure voulue par la famille jusqu'au lieu d'enterrement" a-t-il précisé avant de donner les numéros à contacter qui sont : 0812862635 et 0816904002.

Signalons que cet engin peut transporter jusqu'à deux corps. Retenez en outre que ce corbillard est le tout premier du genre dans cette municipalité.

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Pendant que la population de la Ville de Kindu, chef-lieu de la province du Maniema espérait déjà à une petite accalmie, les cas d'insécurité refassent sur la scène. Plusieurs cas de vols à mains armées ont été enregistrés dans la nuit du jeudi 25 au vendredi 26 mai mais aussi dans la nuit du vendredi 26 à ce samedi 27 mai 2023 dans la ville et particulièrement dans le bloc mission, quartier Kasuku dans la Commune de Kasuku et sur l'avenue Matadi dans la quartier Tokolote dans la Commune de Mikelenge. 

Plus de cinq maisons visitées par ces malfrats qui ont réussi à emporter plus de deux milles cinq cents (2.500$) dollars et plus de deux millions de francs congolais. Des cas de tortures inhumaines et dégradantes, viol et tentative de viol n'ont pas manqué à être commis par ces voleurs à mains armées qui s'introduisent dans ces domiciles comme l'ont témoigné les victimes. 

Par ailleurs, cette resucée de l'insécurité dans la ville pousse plus d'un observateur à se poser des questions sur l'utilité des couvre-feu décrétés par les autorités tant urbaines que provinciales. D'autres encore pensent que ceci est la résultante de la décision portant dissolution des groupes de jeunes d'autodéfense qui luttaient déjà contre ces actes dans les coins de la ville. 

Pendant qu'un couvre-feu de 21h à 5h du matin avait été décrété depuis plus d'un mois, entrecoupé par un autre couvre-feu de 20h à 06h; ces bandits à mains armées parviennent quand-même à s'introduire dans les domiciles de leurs cibles et cela devant un œil impuissant des forces de l'ordre censées protéger la population avec ses biens. Et aux observateurs d'indiquer qu'il est temps que les autorités prennent leurs responsabilités en main car ceci semble être une reprise des cas de vols dans la ville.

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C'est ce samedi 27 Mai, dans la ville province de Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo  que vient de voir jour, une asbl composée des jeunes, sans distinction de race, de tribu non plus du rang social, dénommée "Génération wa milele ni Mungu". 

Plus de vingt ( 20)  jeunes ressortissants de la province du Maniema vivants dans la capitale du pays, ont participé à cette cérémonie d'installation officielle de cette structure des jeunes qualifiée de grande envergure,  qui a été accompagnée par une marche de santé. Ladite marche est parti de la Gare centrale en  passant par la tour de l'ex-SOZACOM vers le Saut de mouton matelas- Royal puis ASSANEF pour aller chuter à NYANGWE MUSHI où une réunion de prise de contact était présidée par Son Directeur Général Chris ngeleza. 

Au menu, il était question de parler sur le bien fondé de  l'installation de cette structure à Kinshasa, pendant que la génération Wa Milele ni Mungu a comme siège à Kindu, chef lieu du Maniema. Pour Chris ngeleza, chaque environnement a ses réalités et il est important de rester unis, soudés, afin que chacun de membre s'en saisisse de la situation de l'autre surtout en cas de difficulté ou opportunité. Mais aussi s'assister mutuellement en cas de nécessité. Ce sont ces principes qui guident notre structure, a lâché le DG de la génération Wa Milele ni Mungu.

"Le principe d'unité et de solidarité doit prouver combien nous sommes une famille, la famille n'est pas que biologique non plus sanguine" a dit Chris ngeleza avant d'aborder l'aspect lié à l'organigramme pour assurer un bon fonctionnement de la génération. 

À l'issue de la réunion, un comité de coordination y a été installé et sera chapeauté par Alexandre Amisi. Celui-ci a été élu à l'unanimité par tous les membres présents. Celui-ci sera secondé par  Madame archilie Mikindo élue financière, et Dieme Aloma s'est vu confier la logistique. D'autres restent à pourvoir. 

Pour rappel, la génération Wa milele ni Mungu tend vers sa deuxième année d'existence.  Au Congo, Elle est chapeautée par Benjamin Katanda dit Aigle Royal qui en est son Président du conseil d'administration secondé par une équipe d'administration. Elle reste encore une génération tellement jeune et reste ouverte  à  tout le monde pour un amour entre fils et filles du Congo en général et de la province du Maniema en particulier. Elle est en outre un groupe apolitique, et n'a aucune vision politique mais réunit les jeunes de tous les tendances confondues.

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Le Maire de la Ville de Kindu a procédé ce jeudi 25 mai 2023 à une ronde centrée sur la visite des travaux d'implantation des panneaux du Programme de Développement Local -145 dans l'ensemble de son entité. 

Les sites du gouvernorat de la province, de la gare centrale de la SNCC, de kambelembele, de Tchomba, de l'aéroport national de Kindu, de l'Assemblée Provinciale du Maniema, bref, tous les quatorze (14) sites ont été visités par l'autorité urbaine et son adjoint accompagné des tous ses trois (3)  Bourgmestres des communes: Kasuku, Alunguli et Mikelenge. 

Après cette ronde, celui-ci a confirmé devant nos reporters sa satisfaction de voir comment les travaux évoluent dans le respect  de la maquette et selon la vision de son initiateur, le Chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi.

Augustin Mulamba a réitéré son soutien jusqu'à la fin de ces travaux dans sa juridiction et en appelle la population à préserver ces patrimoines en bon escient qui font la fierté de la Ville de Kindu

Notez enfin que le taulier de la mairie de Kindu, a aussi visité le dépôt où sont logés les autres matériels de tous les 7 territoires du Maniema.

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Elles ont été des centaines à répondre présentes à cette cérémonie double. C'était tout d'abord l'accueil par ces femmes du Chef de Secteur des BEIA JULES SWEDI MINDO qui vient fraîchement de Kinshasa pour des soins médicaux ensuite une mini-formation sur l'entrepreneuriat en faveur de ces femmes longtemps piétinées par leurs maris. 

Quant à l'accueil de Jules SWEDI MINDO, les femmes ont remis plusieurs biens matériels à ce dernier en signe de compassion pour le moment de maladie qu'il a traversé. Chèvres, poules, manioc, riz et autres lui ont été remis. 

"Nous disons grandement MERCI à DIEU d'avoir guéri notre Chef de Secteur. Il était tellement malade et aujourd'hui il nous revient encore en bonne santé. Qu'il continue à faire du bien en notre faveur et DIEU combattra pour lui" ont-elles dit. 

La mini-formation sur l'entrepreneuriat elle, a été assurée par Madame Daphrose Bitungwa, membre de la Société Civile Forces du Maniema et Entrepreneure. Celle-ci a tout d'abord répertorié toutes les associations féminines de développement dans ces deux groupements dont ZILI dans le Secteur des BEIA et BATOBA dans la chefferie des BABENE, toutes réunies ce lundi à Sabyazo. Ensuite, la formation a consisté à cibler les cultures rentables pouvant permettre le développement de leurs milieux respectifs. 

"Aujourd'hui, il y a certaines cultures qui sont rentables et qui ne durent pas. Outre les initiatives des associations villageoises d'épargnes et des crédits, nous allons aussi faire des champs de maïs, de cacao, et tout ce qui ne dure pas. De prime abord, chaque association va préparer un champ de 50m² puis ensemble nous allons voir ce qu'on peut planter" a dit Mme Daphrose Bitungwa. 

Signalons qu'avant le début de tous ces travaux, Mme Daphrose Bitungwa va descendre dans tous les villages de ces deux groupements pour intensifier la formation au profit de ces femmes. Le Chef de Secteur des BEIA lui, a rassuré de son accompagnement moral, matériel et financier dans l'accomplissement de ce projet combien bénéfique pour la population de ces entités.

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L'insécurité grandissante dans la ville de Kindu préoccupe au plus haut niveau là coalition des trois structures de la Société Civile du Maniema. Il s'agit notamment de la Nouvelle Société Civile Congolaise "NSCC", la Nouvelle Dynamique de la Société Civile "NDSCI" et le Bureau des Inspecteurs des Droits de l'Homme "BIDH". 

Dans un communiqué de presse de ce jeudi 11 mai 2023 signé par ces trois structures, celles-ci adressent un chapelet de recommandations aux autorités pour sortir la ville de Kindu dans cette impasse et ce, avant de condamner les échauffourées qui ont eu lieu samedi 06 et dimanche 07 mai entre les jeunes du bloc 3Z et les forces de l'ordre ayant conduit à la mort de deux jeunes et des dégâts matériels importants.

Elles demandent non seulement aux instances judiciaires compétentes de tirer cette situation au clair, dénicher les auteurs et que la justice soit faite en faveur des victimes mais aussi à l'État d'indemniser les familles éprouvées. Ces trois structures de la société civile demandent ensuite au gouvernement provincial de garder la population et ses biens avant d'en appeler cette population au calme en prêchant la paix et en agissant conformément aux lois du pays. 

Dans leur document parvenu à notre rédaction, la NSCC, la NDSCI et le BIDH demandent en outre au gouvernement provincial d'apaiser la population du bloc 3Z et la permettre de vivre dans la concorde et quiétude tout en demandant la libération inconditionnelle de tous les jeunes qui sont encore détenus après ces échauffourées. 

Et au sujet de l'interpellation du Président de la Société Civile Forces vives du Maniema par les services de sécurité après ces échauffourées, la coalition des structures de la société civile dénoncent les poursuites que subit Me Stéphane Kamundala sans motif valable. 

"Ainsi la coalition demande, qu'il soit mis fin aux poursuites contre des activistes des droits humains qui ne font que leur travail conformément aux lois du pays. Que les autorités cessent avec les menaces à l'endroit des activistes des droits humains, que les autorités respectent les lois du pays surtout en ce qui concerne les libertés fondamentales" peut-on lire sur ce document avant d'inviter les défenseurs des droits humains à ne céder aux menaces et intimidations dont ils sont victimes.

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Après les échauffourées entre les jeunes du bloc 3Z et les forces de l'ordre samedi et dimanche dernier dans la ville de Kindu, le Conseil Provincial de la Jeunesse du Maniema "CPJ/Maniema" sort de son silence et émet son point de vue. 

Dans un communiqué signé par sa Présidente ce lundi 08 mai 2023, cette structure réunissant les jeunes du Maniema se dit consternée par la disparition des jeunes dans la ville lors de ces altercations. Ainsi, Angèle RASHIDI a, par la même occasion, présenté ses condoléances aux familles éprouvées. 

Tout en condamnant l'exagération des forces dans la répression utilisée par les éléments de l'ordre et l'attitude de désobéissance de la jeunesse du bloc 3Z, le CPJ Maniema par le biais de sa Présidente au recommande aux jeunes de se désolidariser de tout mouvement tendant à mettre leur vie en danger. 

"Aux jeunes, de se désolidariser de tout mouvement ou initiative qui mettrait leur vie en danger ou les exposerait à des conséquences néfastes car le développement de notre province dépend de nous les jeunes" a dit Angèle RASHIDI dans son communiqué. 

Mieux vaut prévenir que guérir dit-on, Angèle RASHIDI suggère aux intervenants dans cette situation d'éviter d'inciter à la haine et que les autorités doivent chercher des manières pacifiques pour résoudre des situations pareilles. 

"Aux intervenants à cette situation de nous éviter de messages d'incitation à la haine et à la désobéissance civile car c'est la jeunesse qui en paie le prix. Et aux autorités de chercher des manières pacifiques pour intervenir aux problèmes qui concernent les jeunes car les armes sont pour la guerre pas pour la paix" a insisté Angèle Rashidi. 

Par ailleurs, le CPJ Maniema, interface entre l'État, les associations et mouvements des jeunes sollicite la confiance des autorités dans le but de trouver une solution durable à cette situation qui a trop duré dans le Chef-lieu de la province du Maniema.

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Le compte à rebours commence, la coalition de trois structures de la Société Civile du Maniema vient de lancer ce jeudi 04 mai 2023 l'opération de collecte des signatures au profit d'une pétition initiée par elle afin de dire NON à l'arrivée et au cantonnement de ceux qu'elle qualifie des "récidivistes de la guerre" dans la province du Maniema. 

Il s'agit notamment de la Nouvelle Société Civile Congolaise en sigle NSCC, de la Nouvelle Dynamique de la Société Civile en sigle NDSCI et du Bureau des Inspecteurs des Droits de l'Homme en sigle "BIDH" qui viennent de lancer cette opération. Selon ces structures, ces terroristes ont endormis beaucoup d'âmes et occasionné plusieurs déplacés de guerre et faire dégrader la situation.

"Voilà pourquoi la coalition des structures de la Société Civile revient pour la unième fois, tout en alertant l'opinion nationale qu'internationale <le refus catégorique de l'arrivée et le cantonnement des terroristes du M23 dans la province du Maniema précisément dans la ville de Kindu et ses Hinterlands>" ont lâché le BIDH, la NSCC et la NDSCI dans leur déclaration du lancement de collecte des signatures.

Pendant quelques jours, cette pétition va circuler dans tous les neufs quartiers de la ville de Kindu, les Hinterlands y compris dans les Territoires qui constituent le Maniema. Après la collecte des signatures, signalent les initiateurs, ladite pétition sera déposée à qui de droit afin que ce projet soit retiré car disent-elles, la population du Maniema a la crainte de cohabiter avec ces gens qualifiés de terroristes pour plusieurs raisons et cela en se référant à l'article 157 du code pénal militaire. La NSCC, la NDSCI et le BIDH indiquent qu'ils fondent leur démarche sur pied des articles 23 et 27 de la Constitution de la RDC.

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Le projet de cantonnement des démobilisés du M23 dans la province du Maniema continue à mettre en danger toutes les langues qui le dénoncent. C'est le cas du militant aguerri du mouvement citoyen Lutte pour le Changement répondant au nom de Heradi Mukunda Rostini. Celui-ci a tout d'abord été victime d'une arrestation arbitraire puis des hommes non autrement identifiés continuent à lui visiter chez lui à la maison. 

Au sujet de son arrestation, Heradi Mukunda Rostini aux côtés des autres militants des mouvements citoyens avaient été arrêtés le 24 mars 2023 par l'agence nationale des renseignements en sigle ANR dans la salle des réunions du gouvernement provincial pendant que ces derniers s'étaient rendus voir le Chef de l'exécutif provincial pour avoir d'amples informations sur ce projet de cantonnement. Ainsi, privés de leurs téléphones portables, Rostini et ses camarades ont été relaxés 4jours après leur arrestation soit le 27 mars 2023. 

Puis après son arrestation, Heradi Mukunda Rostini n'a pas respirer un bon air. Ce militant de la LUCHA a continué à subir des menaces de la part des inconnus. Certaines hommes dont leurs origines ne sont pas connues portant des lunettes sombres ont à plusieurs reprises visité son domicile familial. Le 02 avril 2023 par exemple vers 22heures, deux hommes l'ont poursuivi jusqu'à la porte du domicile. 

Puis, le lendemain, un autre a surgit dans la parcelle se faisant passer pour quelqu'un qui cherche le domicile du Directeur Provincial de la Direction Générale des Migrations "DGM". Après qu'il ait été démasqué par ce jeune militant de la LUCHA, l'homme a plié sa queue et rentrer d'où il était venu. Ainsi, Heradi Mukunda Rostini lance un SOS aux organisations de protection des activistes des droits de l'homme de lui venir en aide pour qu'il retrouve sa liberté des mouvements et de circulation.

La Rédaction !

Le 1er mai de chaque année, le monde entier célèbre la journée internationale du travail. La RDC n'est pas du reste. Plusieurs manifestations sont prévues dans des nombreux services étatiques et para étatiques. Tel est le cas du Bureau Technique de Contrôle "BTC", branche du Ministère National des Travaux Publics et Infrastructures.

À cette occasion, Jean-Aimé MAVAR a tenu à souhaiter une heureuse fête à tous les agents de son service technique et ce, avant de rendre hommage au Chef de l'État pour des sacrifices consentis en faveur de la RDC. 

"C'est un grand jour pour tous les travailleurs du pays et particulièrement au premier travailleur qu'est le Chef de l'État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo. Une fière de chandelle aussi à tous les agents du Bureau Technique de Contrôle qui ne cessent d'abattre un travail de titan au profit du pays dans le contrôle de la qualité des infrastructures".

Jean-Aimé MAVAR, se dit déterminé à amener son service très loin et promet de travailler coude à coude avec le Ministre des travaux publics et Infrastructures Alexis GISARO. 

"Nous osons croire que dans cet élan et aux côtés de Son Excellence Mr le Ministre des travaux publics et Infrastructures Alexis GISARO nous ferons en sorte que tous les congolais soient satisfaits avec le service que nous rendons au pays" a-t-il martelé.

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Le pain, un des éléments habituels dans le plat matinal de plus d'un Kindusien risque de disparaitre pour un moment dans la ville de Kindu, chef-lieu de la province du Maniema. Comme c'est le cas pour ce samedi 29 avril 2023, il s'est fait constaté une pénurie criante du pain dans toutes les alimentations de la ville. Et dans deux ou trois alimentations où il y est encore visible, les vendeurs ont décidé tout simplement de hausser le prix. 

Un pain qui coûtait jusqu'hier cinq cents (500) francs congolais se vend depuis ce samedi soir à six cents (600) voire sept cents (700) francs congolais. Celui de mille (1000Fc) francs congolais passe à mille deux cents (1200fc) francs congolais. Le pain de deux milles se négocie désormais entre deux milles trois cents (2300fc) et deux milles cinq cents (2500fc) francs congolais. 

Les tenanciers des alimentations dans la ville de Kindu évoquent ici la carence de farine dans les dépôts de la ville. Les quelques dépôts de farine qui détiennent encore des petites quantités, ont décidé aussi de rehausser le prix du sac. La population de son côté plaide pour une intervention du service de l'économie nationale afin de réglementer cette situation mais aussi aux autorités compétentes de tout faire pour ouvrir les routes provinciales qui relient la province du Maniema aux autres provinces. Nous y reviendrons ! 

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La Nouvelle Société Civile du Congo "NSCC", la Nouvelle Dynamique de la Société Civile "NDSC" et le Bureau des Inspecteurs des Droits de l'Homme "BIDH" lèvent une fois de plus leurs tons pour dire NON au cantonnement des démobilisés du M23 dans la ville de Kindu ou encore dans la périphérie de ce chef-lieu de la province du Maniema. Ces structures citoyennes ont réitéré leur position dans une déclaration commune faite ce samedi 29 avril 2023 dans le cadre de leur coalition. 

Cette coalition des structures de la société civile au Maniema indique que la population exprime la crainte de cohabiter avec les gens qualifiés des terroristes pour plusieurs raisons et ce, selon les dispositions de l'article 157 du code pénal militaire qui définit le terrorisme. 

"Comment comprendre les gens qui ont tué depuis des décennies et qui continuent à tuer du jour le jour les paisibles citoyens soient cantonnés au Maniema ? Cette façon de faire a été rejetée par la population du Maniema et ne permet pas à la population de vivre en toute quiétude depuis l'annonce de cette  macabre décision" peut-on entendre dans leur déclaration. 

Pour ce faire, ces trois structures de la Société Civile lancent l'opération de récolte des signatures pour en constituer une pétition qui sera déposée à qui de droit afin de barrer la route à ce projet. 

"...la coalition annonce la récolte des signatures (PÉTITION) pour dire <<NON>> à l'arrivée et cantonnement de ces récidivistes de la guerre dans la province du Maniema"

Pour rappel, cette unième déclaration vient après une journée ville morte décrétée ce vendredi 28 avril 2023 par la coordination Provinciale de la Société Civile Forces vives du Maniema pour le même motif consistant à boycotter ce cantonnement.

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La Société Civile Forces vives du Maniema "SOCIMA" tape du poing sur la table et refuse catégoriquement le cantonnement des démobilisés du Mouvement du 23 mars en sigle "M23" à Kindu ou aux alentours de cette ville, chef-lieu de la province du Maniema. C'est le Président de cette structure citoyenne du Maniema qui l'annonce ce mardi 25 avril 2023 dans une interview accordée à la presse locale. 

Me Stéphane Kamundala indique que sa structure organise une journée ville morte vendredi 28 avril prochain pour protester contre cette décision prise par les autorités compétentes consistant à cantonner ces terroristes dans la province du Maniema et annoncé par le Chef de l'État. 

"La Société Civile Forces vives du Maniema annonce l'organisation formelle, officielle, inclusive et collective de la journée ville morte contre l'arrivée et le cantonnement des rebelles M23 dans la province du Maniema. Ainsi elle invite toute la population de la province du Maniema d'observer ce mot d'ordre pour qu'on exprime notre mécontentement, opposition à l'arrivée et au cantonnement de ces gens dans notre province" a expliqué Me Stéphane Kamundala. 

Tout en expliquant que cette démarche s'inscrit dans le cadre des dispositions constitutionnelles dont le droit de manifester, Me Stéphane Kamundala souligne que ce cantonnement des démobilisés du M23 au Maniema n'est plus un secret parce que déjà annoncé par le Chef de l'État. Lequel cantonnement aura des conséquences dans la province souligne le patron de la SOCIMA. Il invite à cet effet, tous les Maniemiens à s'aligner derrière l'initiative de sa structure citoyenne. 

"En tout cas, nous ne pouvons pas être d'avis que ces gens arrivent parce que nous savons les conséquences de leur présence dans notre province. Nous invitons donc tout le monde de parler le même langage et de montrer au Président et à l'opinion internationale que le Maniema n'est pas disposé à recevoir ces gens parce qu'aujourd'hui ils peuvent être pour le cantonnement alors qu'il y a des agendas cachés" a-t-il insisté. 

Pour rappel, plusieurs couches vives de la province du Maniema ont déjà haussé de leur ton pour dire non à ce projet de cantonnement de ces terroristes. La récente réaction est celle des clergés du diocèse catholique de Kindu.

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La mauvaise qualité des services de réseaux de télécommunication à Kindu, Trop c'est trop s'indigne le parti politique Nouvelle Alliance des Démocrates en sigle "NAD". 

Dans une correspondance du 15 avril 2023 adressée au Maire de la Ville de Kindu, le Président urbain de ce parti politique cher au Patriarche Athanase Matenda Kyelu invite le Maire de la ville à interpeller les responsables de VodaCom, Airtel et Orange pour que ces derniers éclaircissent la population de la ville de Kindu sur la mauvaise qualité de leurs services très remarquée par la population chaque soir. 

"Nous savons que depuis plusieurs mois maintenant, il est devenu presque impossible d'appeler par téléphone à partir d'une certaine heure des après-midi. Nous avons trois réseaux de télécommunication ici chez nous à Kindu. À partir de 16h, 17h, appeler devient un casse-tête" indique Masudi OMARI David.

Et à lui d'ajouter "nous nous sommes dit que c'est un problème important pour la communauté et pour nous parti politique responsable, nous sommes aussi sensibles aux problèmes de la communauté. Le Maire étant issu d'un parti politique de l'Union Sacrée, nous avons jugé utile de le saisir par ce message pour attirer son attention sur cette situation là et suggérer qu'il puisse interpeller ces gens là, les responsables de nos trois réseaux de télécommunication pour qu'ils nous disent ce qui se passe". 

Le Président urbain de la NAD à Kindu pense que dans des moments d'insécurité et de turbulences, la communication est un élément vital dans le quotidien. D'où dit-il, ces réseaux de télécommunication ne savent pas remplir leur part du marché bien qu'ils continuent à vendre les cartes SIM et accroître le nombre de leurs abonnés.

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La Commission Nationale de Prévention Routière "CNPR" s'installe de nouveau dans le territoire de Pangi, province du Maniema. D'intenses travaux liés à cette nouvelle installation de ce service de l'État se font depuis plus d'une semaine par le Chef d'Antenne. Jusque ce lundi 17 avril 2023, le Chef de Travaux Abdoul Emedi Sadi a déployé sur terrain quelques agents pour une sensibilisation auprès des usagers de la route. 

Selon lui, son service se préoccupe plus de la protection de la population et prévenir les accidents. Ainsi, Abdoul Emedi Sadi indique que la première étape pour réussir les missions assignées à son service sera l'identification des utilisateurs de la route avant qu'ils ne soient formés. 

"Nous, nous sommes là c'est pour diminuer les accidents et prévoir comment on peut diminuer ces accidents. On va commencer par la sensibilisation après nous allons identifier les conducteurs, là on aura un nombre réel que nous allons réformer parce que 90% de nos conducteurs ici ne connaissent même pas ce qu'on appelle code de la route qui est une arme utile pour les conducteurs" a-t-il expliqué. 

Le CT Abdoul Emedi Sadi précise que les missions de la CNPR sont différentes à celles de la Police de Contrôle Routier "PCR". Cette dernière ne fait qu'orienter les conducteurs tandis que la CNPR s'occupe de la protection de tous ceux qu'utilisent la chaussée. Il indique à cet effet que la CNPR a quelques redevances à faire payer sur les couches qui font l'objet de ses services. 

"Nous avons dix-neuf redevances mais actuellement nous allons travailler d'abord avec cinq redevances. Nous allons faire payer  l'identification, la surveillance chargement et déchargement, contrôle des parkings, les ateliers de réparation et l'identification des maisons de vente".

Deck'son Assani Kamango, Directeur des publications

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La Fondation Dr MUNYANGI a lancé ce jeudi 13 avril 2023 le projet de reboisement à Lubile. Lubile est un village situé à 45Km au Nord-est de la commune rurale de Kalima dans le Territoire de Pangi au Maniema. Ce reboisement concerne deux hectares a fait savoir le chef de projet et est exécuté sous le financement du Fonds Forestier National en sigle FFN. 

Devant une foule immense de la population du village Lubile et celle venue des villages environnants Lubile, le chef de projet Mr Michel Mwemedi a expliqué la philosophie et le pourquoi de ce reboisement dans le village Lubile. Selon lui, c’est pour lutter contre le réchauffement climatique qui agresse le monde entier. 

 "Le projet de reboisement est un projet financé par le fonds forestier de la République. Nous allons planter 20 hectares au village Lubile. Nous avons cet espace, à Lubile nous allons planter 5 hectares et les villages environnants Lubile mais les terres appartiennent toujours au village Lubile. Nous allons planter l’acacia, nous avons acheté 5 kilogrammes d’acacia, ce sont des essences à croissance rapide pour donner une solution puisque le Congo est une solution pour le réchauffement climatique" a indiqué Michel Mwemedi. 

A lui d’ajouter que ce projet qui sera exécuté pendant douze mois soit d’avril 2023 en avril 2024, emploiera près de cinquante jeunes de Lubile et les villages environnants. Dix d’entre eux seront engagés comme des permanents et quarante en tant qu’agents temporaires. 

"Nous allons effectivement utiliser la main d’œuvre locale, cinquante personnes. Il y aura quarante personnes qui seront utilisées temporairement et dix personnes qui seront permanentes. Je remercie la population de Lubile et tous les villages environnants. Ce projet là c’est notre projet et nous devons nous l’approprier" a conclut le chef de projet de projet. 

Le Chef de village Lubile de son côté, rassure sur la disponibilité d’un espace couvrant 2 hectares et aussi son suivi permanent durant l’exécution dudit projet. Shindano Bweta a invité ses administrés à s’approprier ce projet de reboisement bénéfique pour son entité mais aussi pour la province du Maniema et de la RDC en général.

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Publié par la Rédaction le 22/08/2022

Christelle Mwarabu Faila, Médecin de l'État engagée à l'Hôpital Général de Référence de Kindu, chef-lieu de la province du Maniema serait en danger. Elle vit sous menaces de mort depuis un temps.

D'après les informations fournies par certains membres de sa famille biologique, ce médecin serait portée disparue et sa famille vit sous des fortes inquiétudes. Ces faits arrivent juste après son affectation à l'hôpital général de référence de Salamabila. 

Sans nous en donner les détails, son frère que nous avons interrogé indique que leur sœur aurait reçu les deux dernières semaines des appels et messages téléphoniques de menace de mort et cela provenant des numéros inconnus. À la famille d'insinuer que certains membres des services de sécurité seraient dans le coup ou encore, l'œuvre des éléments du groupe armé Maï-maï Malaika. 

Un appel est ainsi lancé par la famille de cette courageuse médecin qui donne toute sa vie à sauver les vies humaines afin qu'elle soit retrouvée.   Elle se dit être prête à tout donner pour que Dr Christelle Mwarabu Faila soit vite remise à sa famille.

La Rédaction 

Dans un message vocal envoyé à notre rédaction, le Coordonnateur National de la Ligue des Jeunes pour la Défense des Droits de l'Homme en sigle "LJDH" annoncée qu'il vit sous menaces de mort depuis quelque temps. Fabrice Pinganayi évoque le récent cas où des hommes non autrement identifiés ont fait incursion à sa résidence tard la nuit.

Dans son message vocal, Fabrice Pinganayi précise que c'était vers minuit que ces hommes sont venus chez lui pendant qu'il sortait se soulager. Du coup, ces derniers ont éteint toutes les ampoules du dehors de la maison.

"Aussitôt se rapprocher vers la fenêtre j'ai vu un homme devant la fenêtre qui m'a dit en swahili ouvre la fenêtre si tu ne veux pas que nous puissions te tuer. J'ai ouvert la fenêtre et il m'a dit reste de l'autre côté et lui s'est assis sur la chaise au véranda et on a commencé à discuter. Ils m'ont dit, nous venions de sillonner plus de 5 maisons pour chercher ta résidence mais au finish nous venons de voir et on est venu juste voir là où vous habitez" explique Fabrice Pinganayi. 

Puis après, ses bourreaux l'ont expliqué qu'ils venaient juste connaître sa résidence et l'interdire de continuer à parler et à dénoncer les problèmes que traversent la population du Maniema.

"On est pas venu vous tuer mais si vous n'arrêtez pas ce que vous faites, vous serez une cible" ajoute Fabrice Pinganayi avant d'indiquer qu'à part la personne qui discutait avec lui, cinq autres sillonnaient la parcelle avant d'aller tirer des balles dans un autre coin de l'avenue pour créer une diversion. 

Pour rappel, ce unième cas, vient s'ajouter sur trois autres dont Fabrice Pinganayi est déjà victime. Ainsi, il en profite pour lancer un cri de détresse aux autorités compétentes ainsi qu'à tous les activistes des droits de l'homme afin de lui venir en aide et le sécuriser.

La Rédaction 

Désormais les élèves ont trouvé un très bon moyen pour leur encadrement pendant ces vacances de Pâques qui ont démarré depuis samedi 1er avril 2023 dernier. Ils seront désormais encadrés grâce à un nouveau programme que vient de mettre en place la bibliothèque communautaire CLF. Ledit programme s'intitule "Détente pour enfants". 

Selon le Coordonnateur de cette bibliothèque, ce programme s'inscrit dans le cadre d'apprentissage et d'encadrement des jeunes dans la ville de Kindu afin d'accroître l'esprit de la créativité et de la lecture et de renforcer leur niveau d'éducation à travers les activités culturelles et parascolaires. Fabrice Pinganayi indique aussi que c'est pour contribuer au développement intellectuel des enfants pendant les périodes des vacances et détentes. 

Ainsi, Fabrice Pinganayi invite tous les parents de Kindu à envoyer leurs enfants afin de participer à ce programme qui se déroulera en face de la 7è région militaire. Selon lui, les inscriptions débutent ce 03 avril courant et les activités proprement dites démarrent le 04 avril pour se clôturer le 16 avril. L'enregistrement est gratuit pour les enfants de 3 à 5ans et pour les autres catégories, dit Fabrice Pinganayi, il faut une inscription spéciale des parents auprès des responsables de la bibliothèque et ce, pour faire bénéficier à l'enfant un certain nombre d'avantages des activités.

Enfin, la bibliothèque communautaire CLF annonce qu'une autre grande activité est prévue le 23 avril prochain en marge de la journée internationale du livre. Cette activité consistera à l'exposition des livres à l'intention exclusive de la crème intellectuelle de la ville de Kindu et faire découvrir la collection des ouvrages que dispose cette bibliothèque.

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Enfin la position de l'église catholique face au projet de loi sur la Congolité est bien connue. La position de loi dite la loi Tshiani n'obtient aucun soutien de l'église romaine en République Démocratique du Congo.

Sans aller par quatre chemins, le Cardinal Fridolin Ambongo qualifie cette loi initiée par Noël Tshani et endossée par le Député National Nsingi Pululu d'un instrument d'exclusion et de Division. 

"Ce projet de loi, au lieu d'unir le peuple de DIEU dans une seule famille, elle apparaît comme un instrument d'exclusion et de division" a dit le pasteur catholique. 

Il a à cet effet appelé la population et l'église toute entière à rester vigilante face à des telles initiatives qu'il qualifie de dangereuse et qui ne visent que la création des tensions. 

"Je vous invite donc tous à rester extrêmement vigilants par rapport à toutes ces initiatives dangereuses qui n'ont comme l'unique mérite de créer la tension au sein du peuple" a-t-il conclu. 

Signalons par ailleurs que ce projet de loi déjà déposé au bureau de l'assemblée nationale a été aligné comme matière à débattre en plénière pendant cette session ordinaire législative ouverte depuis le 15 mars dernier.

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Le 27 mars de chaque année, le monde entier célèbre la journée internationale du théâtre. Celle de l'année 2023 a été célébrée sous le thème "les co-responsabilités". Dans la province du Maniema en RDC, aucune activité n'a été réalisée pour commémorer cette journée pourtant cette province a plusieurs artistes qui font la comédie ou encore le théâtre et sketch. 

Mais de son côté, l'artiste comédien Chiruza Mansamba, le théâtre ne marche pas bien au Maniema de suite d'un manque d'encadrement et de soutien.

"Aucune activité n'a été organisée en marge de cette journée. Malgré que nous avons toqué un peu partout. Les comédiens et humouristes se mettent à réfléchir sur l'importance de cette journée et même sur l'avenir du théâtre dans notre province. Le théâtre au Maniema va mal et même très mal pour la simple raison que le théâtre n'est pas bien consommé dans notre province, situation qui décourage trop souvent les comédiens et humouristes" a-t-il expliqué à notre rédaction. 

Occasion faisant le larron, l'artiste comédien Chiruza Mansamba de lancer un plaidoyer pour la consommation des produits des artistes locaux. 

"C'est ici pour moi l'occasion de lancer un appel vibrant à la population du Maniema de consommer les œuvres de vos artistes locaux pour les encourager à aller de l'avant. La comédie et les sketchs qui sont produits par vos artistes véhiculent également des messages qui sont utiles pour notre société" a-t-il insisté. 

Et enfin, Chiruza Mansamba demande à ses collègues artistes locaux de ne pas se décourager face à cette situation. Il tend à cet effet, ses mains aux organisations non gouvernementales et au gouvernement provincial à les aider avec des financements pour leurs projets mais aussi d'intégrer la notion de la comédie dès l'école primaire.

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Désormais les femmes de toutes les tendances confondues de la Commune d'Alunguli dans le ville de Kindu, Chef-lieu de la province du Maniema travailleront dans une seule plateforme. Ceci est l'une des grandes conclusions assorties d'une journée de réflexion organisée ce samedi 25 mars 2023 dans la Commune d'Alunguli sous l'égide de l'asbl Dynamique Alunguli pour le Développement en sigle "D.A.D". Cette journée de réflexion s'est déroulée sous le thème :"que faire pour développer et promouvoir la femme de la Commune d'Alunguli ?". 

Cette nouvelle structure des femmes créée sera dirigée par Madame Valence Bigembe pour permettre à ce que les voix de la femme d'Alunguli soient entendues. Selon la Valence Bigembe, depuis plusieurs années leurs voix étaient restées négligées, voilà pourquoi sa structure "D.A.D" a pensé à initier ces assises. 

"Étant une asbl qui vise la promotion du genre et vu les statistiques de la représentativité de la femme qui valent à 5% dans les instances décisionnelles et la marginalisation de cette dernière à tous les niveaux, la D.A.D a jugé bon de chercher un cadre d'échanges avec les femmes leaders de cette entité afin de réfléchir sur cette question et proposer des pistes de solution" a expliqué Valence Bigembe. 

Et à elle d'indiquer que ces pistes de solution pourront permettre le développement des filles et femmes de cette municipalité et un éveil de conscience. 

"Ces pistes de solution pourront permettre à la femme et la jeune fille de la Commune d'Alunguli de se développer pour leur auto prise en charge dans tous les domaines. Nous sommes convaincus que ces assises contribueront à l'éveil de conscience de la femme d'Alunguli marginalisée par toutes les couches de la population dans la province du Maniema" a renchérit Valence Bigembe. 

Enfin, un appel à été lancé à toutes les femmes de la Commune d'Alunguli à capitaliser les résolutions assorties de ces assises pour leur vie future.

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Une nouvelle structure des jeunes en voie d'être installée en République Démocratique du Congo. Il s'agit de "Youth New Image" traduit en français "Une Nouvelle Image des Jeunes". 

Une structure qui se veut purement apolitique, s'installera dans toutes les provinces de la République Démocratique du Congo en particulier, en Afrique et dans le monde entier en général. Déjà pour ce vendredi 24 mars 2023, certaines têtes pensantes se sont rencontrées à l'immeuble Sanois à Royal Gombe dans ville de Kinshasa pour mettre en place des stratégies sur l'installation de cette nouvelle structure ainsi que sa sortie officielle. 

Selon Docteur Cock Barahame, initiateur de Youth New Image, sa structure réunira plusieurs jeunes qui œuvrent dans différents secteurs de la vie et cela sans discrimination aucune. Ce qui justifie dit-il, la présence des ressortissants de sept provinces déjà dans la réunion de ce vendredi. 

Si Trésor Umumbu a représenté la province du Maniema, Kazi Telvin y était pour le compte de Kongo Central. La province du Tanganyika a participé à ces assises par le biais de Mangala Gaël et celle de Haut-Uélé par Muheka Blaise. La province de l'Ituri représentée par TUNDA Serge, celle de Kinshasa par Ciswaka Henoc et Didier Assani et enfin le Haut Katanga par Tchamba Gaston.

Occasion faisant le larron, les participants à cette réunion ont souhaité voir les travaux s'élargir jusqu'aux sous commissions dans seize (16) pour les clôturer en fin mai 2023. Une initiative saluée par ces derniers et qui se disent très déterminés à faire de la sortie officielle de Youth New Image, un grand événement de l'année.

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À cinq jours de la clôture du mois de mars, Mme Stella-Esther Nyota Juma, Secrétaire Nationale en charge de la Défense au sein du parti politique Leadership et  Gouvernance pour le Développement "LGD" dresse un tableau sombre de ce mois dédié à la femme du monde entier. Dans une interview exclusive accordée à notre rédaction, elle indique que les femmes n'ont pas participé aux cérémonies leurs dédiées durant ce mois parce que certaines parties restent occupées par les rebelles. 

"Les mois de la femme tendant en effet à sa fin, le bilan n'est pas fameux à notre humble avis. Du fait que toutes les femmes de la RDC n'ont pas participé aux différentes activités organisées en leur honneur. Notamment celles de l'est, étant donné l'occupation étrangère de cette partie du pays et même le thème national de cette année n'inclut pas les femmes de l'est car comment voulez-vous faire participer cette femme de l'est à l'éducation numérique égalitaire pour son autonomisation pendant que les balles crépitent de partout ?" a expliqué Mme Stella-Esther Nyota Juma. 

Elle ajoute à cet effet que la femme reste la première victime des atrocités qui sévissent dans le pays. Et pour ce faire, Stella-Esther Nyota Juma recommande aux autorités compétentes de veiller à l'application immédiate des accords avec le M23 pour leur retrait. 

"Nous recommandons au pouvoir en place de veiller à l'application immédiate et effective des accords sur le retrait du M23 afin que la population de l'est et la femme en particulier retrouvent leur dignité humaine" insiste-t-elle. 

Chargée des questions liées à la Défense au sein du LGD, Mme Stella-Esther Nyota Juma n'a pas oublié d'aborder la question d'installation d'une base arrière des militaires Angolais dans la province du Maniema et la construction d'un site de cantonnement des éléments du M23 qui accepteront de se rendre aux autorités. Pour elle, ceci est inacceptable. 

"Le fait pour l'armée Angolaise de vouloir installer sa base arrière dans cette province au motif de cantonner les terroristes M23 qui se seront retirés est ambiguë. Parce que jusque-là les raisons du choix du Maniema ne sont pas connues et pourtant la RDC regorge encore des espaces et des forêts non exploitées à ce jour". 

Enfin, la Secrétaire Nationale en charge de Défense au sein du LGD explique que son parti met un accent particulier sur la restauration de la paix dans le pays et la sécurisation de ses frontières.

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La desserte en électricité devient de plus en plus un casse-tête dans la ville de Kindu en particulier et dans la province du Maniema en général. Depuis plusieurs mois, la ville de Kindu, chef-lieu de la province du Maniema est plongée dans le noir parce que non desservie d'une manière régulière en électricité par la Société Nationale d'Électricité "SNEL". 

Face à cette situation qui occasionne des dégâts énormes dans cette ville, le Président ad intérim du Conseil National de la Jeunesse en RDC hausse le ton et demande l'implication du Directeur Général de la SNEL afin de trouver une solution urgente.

"Face à cette situation, nous en appelons à votre implication personnelle afin qu'une solution idoine et urgente soit prise pour permettre l'éclosion de la Ville de Kindu en particulier et de la province du Maniema en général et ce, pour l'honneur du Chef de l'État" a dit Me Atibu Katamea Nathanaël dans sa lettre adressée au DG de la SNEL. 

Et au Président ai du CNJ d'indiquer que cette situation constitue un facteur de la faible industrialisation de la Ville de Kindu et est aussi à la base de l'insécurité dans cette entité sans compter l'absence de plusieurs petites unités de production créant ainsi un taux de chômage élevé chez les jeunes et la pauvreté des ménages. 

"Le noir dans lequel est plongée la ville de Kindu constitue une source réelle de la recrudescence de l'insécurité urbaine et des accidents routiers pendant les heures nocturnes. Les différents rapports de service de sécurité indiquent régulièrement de cas d'agressions et de vols orchestrés par des bandits à main armée dans la ville d'une part et d'autre part, la commission de prévention et de la sécurité routière renseigne que de dizaines voire centaines d'accidents dont 75% la nuit, sont enregistrés chaque année dans la ville de Kindu" a dit Me Atibu Katamea Nathanaël. 

Rappelons que la ville de Kindu est desservie en électricité depuis la centrale hydroélectrique Luuzi Lukulu installée à Kalima (+100Km). Et celle-ci a été construite depuis 1952 par les Belges. Une seule turbine sur trois tourne encore selon la société qui gère cette centrale.

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La desserte en électricité devient de plus en plus un casse-tête dans la ville de Kindu en particulier et dans la province du Maniema en général. Depuis plusieurs mois, la ville de Kindu, chef-lieu de la province du Maniema est plongée dans le noir parce que non desservie d'une manière régulière en électricité par la Société Nationale d'Électricité "SNEL". 

Face à cette situation qui occasionne des dégâts énormes dans cette ville, le Président ad intérim du Conseil National de la Jeunesse en RDC hausse le ton et demande l'implication du Directeur Général de la SNEL afin de trouver une solution urgente.

"Face à cette situation, nous en appelons à votre implication personnelle afin qu'une solution idoine et urgente soit prise pour permettre l'éclosion de la Ville de Kindu en particulier et de la province du Maniema en général et ce, pour l'honneur du Chef de l'État" a dit Me Atibu Katamea Nathanaël dans sa lettre adressée au DG de la SNEL. 

Et au Président ai du CNJ d'indiquer que cette situation constitue un facteur de la faible industrialisation de la Ville de Kindu et est aussi à la base de l'insécurité dans cette entité sans compter l'absence de plusieurs petites unités de production créant ainsi un taux de chômage élevé chez les jeunes et la pauvreté des ménages. 

"Le noir dans lequel est plongée la ville de Kindu constitue une source réelle de la recrudescence de l'insécurité urbaine et des accidents routiers pendant les heures nocturnes. Les différents rapports de service de sécurité indiquent régulièrement de cas d'agressions et de vols orchestrés par des bandits à main armée dans la ville d'une part et d'autre part, la commission de prévention et de la sécurité routière renseigne que de dizaines voire centaines d'accidents dont 75% la nuit, sont enregistrés chaque année dans la ville de Kindu" a dit Me Atibu Katamea Nathanaël. 

Rappelons que la ville de Kindu est desservie en électricité depuis la centrale hydroélectrique Luuzi Lukulu installée à Kalima (+100Km). Et celle-ci a été construite depuis 1952 par les Belges. Une seule turbine sur trois tourne encore selon la société qui gère cette centrale.

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La Fondation DIDINE KOPI poursuit avec des activités liées au mois de mars dédié à la femme du monde. Sous le thème "Éducation numérique égalitaire pour la paix et l'autonomisation des femmes et des filles" la Coordinatrice Nationale de la Fondation DIDINE KOPI a été ce mercredi 15 mars 2023 à l'esplanade de la paroisse de Katako avec plusieurs centaines des femmes venues de plusieurs villages de ce territoire. 

Pour Mme DIDINE KOPI, la réussite de la femme pour la parité doit être un combat permanent en passant par l'éducation de la fille grâce aux nouvelles technologies qui s'imposent à tout le monde. 

"En ce 21è siècle dominé par les nouvelles technologies de l'information et de la communication, l'éducation numérique égalitaire s'impose à tout le monde. C'est ce qui peut faciliter la compréhension et la maîtrise des enjeux pour l'instauration d'une culture de paix durable à travers l'autonomisation de la femme. Il est donc question pour la femme de ne pas croiser les bras car l'éducation numérique ne peut pas être l'apanage du seul sexe masculin" a dit Mme DIDINE KOPI. 

Tout en reconnaissant que les défis sont énormes pour la femme à s'adapter aux nouvelles technologies, la Coordonnatrice de la Fondation qui porte son nom Mme DIDINE KOPI a étayé les avantages de celles-ci avant d'observer une minute de silence en faveur des femmes ayant déjà perdu leurs vies à l'est du pays de suite des troubles multiples. 

Par la même occasion, Mme DIDINE KOPI en a profité pour appeler les femmes à s'approprier du thème de ce mois de la femme avant de les inviter à s'enrôler massivement. 

"Je demande à toutes les femmes qui ne se sont pas encore fait enrôlé d'aller sans plus tarder accomplir leur devoir citoyen auprès de la CENI étant donné que c'est aussi leur droit" a-t-elle conclu.

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En séjour à Kinshasa, capital de la République Démocratique du Congo, le Député Provincial Théophile Buleli Docta, Rapporteur adjoint de l'Assemblée Provinciale du Maniema a reçu en audience le Collectif des Candidats Magistrats ressortissants du Territoire de Kabambare se trouvant à Kinshasa pour une audience. 

Les entretiens ont tourné autour des plusieurs points dont la vie que mènent ces candidats Magistrats à Kinshasa où ils s'y sont rendus pour le contrôle de leurs dossiers et leur formation, la situation actuelle du territoire de Kabambare et autres. 

Les futurs Magistrats ont à cet effet étaler devant leur élu plusieurs problèmes qu'ils traversent depuis leur arrivée à Kinshasa en novembre 2022. Des problèmes liés à leurs logements, restauration, déplacements ; bref, la vie dégradante qu'ils traversent parce qu'abandonnés par l'État Congolais qui leur avait invité dans la capitale pour le contrôle de leurs dossiers ainsi que leur formation. Tout en leur  promettant de plaider en leur faveur auprès des autorités compétentes, l'élu de Kabambare n'a pas tardé à introduire sa main dans la poche pour venir au secours de ses frères. Il leur a, à cet effet, remis une enveloppe consistante dont le contenu n'a pas été révélé à la presse. 

Et au sujet, de la situation sécuritaire de leur territoire, le Député Provincial Théophile Buleli Docta et ses hôtes ont déploré de nouveau les bastonnades dont ont été victimes les jeunes filles ainsi que les femmes. Ils en ont par la même occasion déploré la passivité des autorités tant du niveau provincial que national à résoudre définitivement cette situation. Pour ce faire, un appel à été lancé auprès du Chef de l'État en vue de son implication pour que la paix revienne définitivement dans cette partie de la province du Maniema.

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Désormais, le bureau des Inspecteurs des droits de l'homme "BIDH" s'installe dans la commune d'Alunguli située sur la rive droite du fleuve Congo dans la ville de Kindu. La coordination du comité communal a été installée ce samedi 11 mars 2023 par le Coordonnateur National de cette structure qui milite pour la protection et la promotion des droits de l'homme. 

Le comité de coordination communale aura à sa tête 8 personnes et sera chapeautée par Kangela Mwanga Trésor en tant que Président de cette Coordination. Après son installation, le Président communal du BIDH remercie le Coordonnateur National et indique qu'aucune parcelle de cette municipalité ne peut rester sans un inspecteur des droits de l'homme. 

"...pas une parcelle de la commune d'Alunguli sans  un membre des droits de l'homme. Notre objectif principal est de protéger et promouvoir les droits de l'homme dans la ville de Kindu en général et dans la Commune d'Alunguli en particulier. C'est en grande partie grâce à la connaissance que nous avons reçue dans une formation par le Coordonnateur National du Bureau des Inspecteurs des Droits Humains je cite Mr Chrispin Muyololo Ndariloko, qui par sa volonté a placé sa confiance en notre personnalité pour gérer la coordination du bureau des Inspecteurs des Droits de l'Homme dans cette entité" a indiqué Kangela Mwanga Trésor. 

De son côté, le Coordonnateur National du BIDH a invité les Inspecteurs de sa structure dans cette commune à collaborer avec l'autorité établie. 

"Les inspecteurs des droits de l'homme ne sont pas des opposants de gouvernant mais ce sont des partenaires. Grâce à cette approche des droits de masse, nous sommes à côté de la population, nous sommes la population et dès que nous avons des choses qui ne marchent pas dans la société, la première personne à contacter dans la commune d'Alunguli c'est la Bourgmestre. Il revient à nous comme inspecteurs des droits de l'homme de travailler en collaboration avec l'autorité établie" a conseillé Chrispin Muyololo Ndariloko. 

Signalons que six cents (600) inspecteurs des droits de l'homme sont mis à la disposition de cette coordination communale. Et la cérémonie de ce samedi à consisté aussi à la décoration des nouveaux inspecteurs formés dans la même municipalité.

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Petit à petit la vérité se découvre dans le dossier d' attaque de la foule qui accompagnait Salomon SK DELLA, Conseiller Spécial et Politique de Moïse Katumbi Chapwe lors de son identification et enrôlement le 17 février 2023 à Kindu. Lesquelles attaques ont causé la mort d'un jeune garçon de 25ans, plus de soixante blessés et d'énormes dégâts matériels dont le kit d'enrôlement de la CENI. 

À ce jour, la justice a déjà mis la main sur quinze personnes présumées auteurs de ces troubles. Parmi elles, se trouve Mr COCO ISSA, chargé de sécurité du Gouverneur ad intérim du Maniema. Selon l'avocat Conseil de la partie civile, COCO ISSA a été cité par un autre prévenu du nom de Jack Bauer.

"On a initié une plainte contre inconnu, la justice vous savez que c'est une machine qui a enquêté et a mis la main sur 14 personnes qui sont en détention. Aujourd'hui il y a un des malfrats qui se nomme COCO qui est le chargé de sécurité du Gouverneur qui a été mappé aujourd'hui parce qu'il a été cité par un certain Jack Bauer. C'est parmi les gens qu'on a donné l'argent pour attaquer le Spécial Salomon lors de son enrôlement. Ce Mr a cité COCO nommément qu'il a été comenditaire et sa suite parce qu'il y a plusieurs personnes que ce dernier a cité qui seront invitées d'un moment à l'autre en justice" a expliqué Me Amisi Ngongo Jacques.

À l'Avocat Conseil de la partie civile de préciser que le nommé Jack Bauer aurait cité cinq personnes ayant été à la manette de ces troubles. Me Amisi Ngongo Jacques reste persuadé que ces présumés auteurs seront arrêtés et la justice fera son travail. 

"Je pense qu'avec l'évolution du dossier nous serons informés de tout ce monde là qui a concouru pour attaquer le Spécial. Ce n'est pas moi qui le confirme mais Mr Jack Bauer qui a comparu aujourd'hui devant le Procureur Général près la Cour d'appel du Maniema. C'est ça l'État de droit qu'on est entrain de prôner partout par le Chef de l'État. Aujourd'hui au Maniema, la justice est entrain de traquer les malfrats, les gens qui forment une association des malfaiteurs donc moi ça peut me réjouir" a-t-il conclu.

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Le 8 mars de chaque année la femme du monde entier commémore son émancipation. Et pour ce 8 mars 2023, la commune rurale de Kalima vibre déjà depuis mi-février. Et à l'occasion, la Fondation Dr Munyangi n'est pas restée loin des femmes de Kalima en particulier et celles de Pangi en général. 

Ainsi, un lot important des pagnes à été distribué aux élèves filles de l'Institut Divin Maître de Kakutya, aux sœurs ursulines de la paroisse martyr de Baganda, aux associations féminines de la Commune rurale de Kalima ainsi que celles du village Lubile situé à 45Km au nord-est de Kalima. Le tout sous la satisfaction totale des bénéficiaires. 

"Nous sommes très ravies de pouvoir recevoir ce cadeau pour les futures mères de demain. Sincèrement grand merci à Son Excellence Dr Munyangi pour ces encouragements qu'il ne cesse de nous combler dans notre école ITP DIMA. Nous lui disons merci et demandons à la très Sainte Vierge Marie, elle qui est femme toute faite de l'accompagner" a dit la Sœur Préfet de l'Institut Divin Maître de Kakutya. 

Et comme si cela ne suffisait pas, Dr Jérôme Munyangi Wa Nkola, Président du Conseil d'administration de la Fondation qui porte son nom a envoyé une enveloppe consistante aux femmes catholiques. 

"Nous, mamans catholiques du diaconat Carolo LWANGA ici dans l'axe A, disons merci et les mamans pensaient que leur fils Dr Munyangi sera là mais nous lui disons grandement merci. Nous promettons lui soutenir, seulement qu'il ne nous abandonne pas" a dit la Présidente des mamans catho.

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Depuis près de 48 heures, les affiches et banderoles de Salomon SK DELLA et Moïse Katumbi Chapwe placardées sur des panneaux publicitaires dans les grandes artères de la ville de Kindu sont entrain d'être retirées par des personnes non autrement identifiées sur les panneaux auxquels elles ont été fixées. 

Acte que dénonce la  DISPROMALT CONGO, société qui se charge de la fixation des affiches et banderoles sur les panneaux publicitaires installés dans la ville de Kindu. Dans une interview exclusive accordée à notre rédaction ce jeudi 02 mars 2023, Jules CHUMA MAHESHE, Responsable de DISPROMALT CONGO se dit sidéré de voir ces actes de vandalisme. 

"Je suis sidéré, très touché du fait que depuis que nous avons affiché, il ne cesse de se manifester un acte de vandalisme de la part de la jeunesse droguée envoyée par certaines autorités de cette province mal intentionnées qui font de règlement des comptes contre le client Salomon SK DELLA. Nous avons affiché sur nos supports publicitaires et nous sommes tenus de sécuriser et de garantir aussi à notre client par rapport au produit qu'il a affiché" s'indigne Jules CHUMA MAHESHE. 

Et d'ajouter "le message qui a été affiché appelle à l'enrôlement. En quoi ce message peut indigner une ou plusieurs personnes pour qu'elles viennent déchirer, saboter les effigies ou bâches ? Ce qui me tique ce n'est pas la question Politique mais je regarde beaucoup plus la question commerciale. Nous sommes une société commerciale, nous affichons pour les clients, nous protégeons les clients, nous payons toutes les taxes à tous les services de l'État et curieusement nous venons de constater que plus de cinq effigies ont été sabotées parce que les gens mal intentionnés, les politiciens de cette province ont envoyé des gens drogués pour déchirer les effigies, bâches que nous avons posé sur nos supports publicitaires"

Tout en dénonçant cet acte, la DISPROMALT CONGO promet d'ester en justice les commanditaires. 

"Nous allons poursuivre jusqu'au bout cette affaire et nous allons dénicher les coupables et seront mis devant la justice.  Nous ne  pouvons pas accepter que notre client qui a tout payé, honoré ses factures et qu'aujourd'hui on est pas à mesure de le sécuriser" conclut Jules CHUMA MAHESHE.

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La Société Civile Forces vives du Maniema, SOCIMA a été ce jeudi 2 mars 2023 dans les rues de la Ville de Kindu, Chef-lieu de la Province du Maniema. Des centaines de personnes ont marché pour dire NON à l’insécurité grandissante qui se vit depuis un temps dans la ville où des voleurs à mains armées sèment terreur et désolation au sein des nombreuses familles et volent argent, objets de valeurs, maltraitent les propriétaires des domiciles qu’ils visitent, violent les femmes et commettent des actes de violation des droits humains.

En organisant cette marche, la Société civile forces vives du Maniema a bien voulu interpeller la responsabilité des autorités compétentes à sécuriser la population et ses biens. Après avoir déniché les causes, la structure citoyenne du Maniema a ainsi adressé un chapelet des recommandations. Pour la SOCIMA, il est impérieux que le gouvernement central fasse des cas d’insécurité de Kindu ses priorités en augmentant les effectifs des policiers et commandos et en dotant les services de sécurité des moyens logistiques, matériels et financiers pouvant leur permettre d’attirer la confiance de la population. 

S’adressant toujours aux autorités nationales, la SOCIMA demande à ces dernières de procéder purement et simplement aux changements et mutations de certains membres des services de sécurité car devenus à ce jour des chefs coutumiers et se sont déjà familiariser avec les groupes des malfrats. La SOCIMA recommande par la suite au gouvernement provincial de rendre la gestion de la chose publique orthodoxe pour suppléer aux insuffisances du gouvernement central mais aussi de doter les différents services de sécurité des moyens conséquents pour leur demander des services au rendement satisfaisant. 

Dans son mémo lu devant le Gouverneur ad intérim du Maniema par son Président, la Société Civile continue à exiger aux autorités judiciaires civiles et militaires de sanctionner de façon modèle tout coupable et que le Gouverneur puisse prendre en charge les frais de délocalisation de tous les condamnés vers d’autres prisons du pays pour éviter à la population tous les crimes qu’ils commettent tous les jours. La SOCIMA demande par la suite au chef de l’exécutif provincial de lever la mesure de couvre-feu déclenchée pour toute la durée de l’opération d’identification et d’enrôlement car dit Me Stéphane Kamundala, elle est inopportune et inefficace. 

Enfin, la structure citoyenne demande que soient fermées toutes les maisons de vente des drogues, chanvres, boissons alcoolisées et de tolérance. Il en est de même avec les politiciens qui doivent cesser d’encadrer et d’instrumentaliser les jeunes pour leurs fins politiques et actes barbares et de banditisme. 

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L’insécurité bat son plein dans la ville de Kindu depuis près de trois aujourd’hui. Il ne passe pas une seule nuit sans que des familles soient visitées par des personnes porteuses d’armes. Ces voleurs à mains armées prennent tout ce qu’ils trouvent à leur passage dans les domiciles qu’ils visitent et parfois, tabassent copieusement les propriétaires. 

Et pour dénoncer cette situation, la Société Civile Forces Vives du Maniema, SOCIMA était ce jeudi 02 mars 2023 dans les rues de Kindu. La marche est partie de la cathédrale Saint-Esprit de l’église catholique de Kindu pour chuter au gouvernorat du Maniema où un mémo a été déposé.

Devant le Gouverneur ad intérim, le Président de la structure citoyenne, Me Stéphane Kamundala, a dénombré une dizaine des causes de cette insécurité qui laisse à ce jour des familles pauvres, dépouillées de leurs biens et autres. Sur cette liste, la SOCIMA parle de l’insuffisance des effectifs des éléments de la police nationale Congolaise et des forces armées dans la ville. Mais aussi la dépendance des militaires œuvrant au Maniema de Bukavu, la carence des moyens logistiques nécessaires pour permettre les éléments à rendre efficace et satisfaisant leur travail. 

La SOCIMA ajoute aussi parmi les causes, la démotivation des agents de sécurité, les comportements qualifiés de belliqueux de certains politiciens du Maniema qui entretiennent et instrumentalisent les jeunes de différents blocs et quartiers de la ville de Kindu. La société civile forces vives du Maniema évoque comme causes, les recours par certaines autorités aux militaires condamnés qui sont souvent retirés des prisons pour qu’ils opèrent pendant la nuit puis retournés dans leurs cellules aux petites heures du matin. 

La structure citoyenne déplore aussi la complaisance dans le traitement des dossiers par les autorités judiciaires et l’octroi des libertés provisoires devenu monnaie courante en faveur des criminels de grand chemin. Pour le Président de la SOCIMA, toutes les armes récupérées lors des audiences n’ont jamais fait objet d’une identification pour connaitre leurs origines mais aussi l’existence à Kindu de plusieurs maisons de tolérance et celle de la vente illicite des drogues, chanvres et des boissons fortement alcoolisées.

Et à la SOCIMA enfin, de rappeler que "l’Etat doit alors toujours et partout, sécuriser la population du Maniema et ses biens". Pour rappel, une centaine des personnes venues de plusieurs associations ont pris part à cette marche de protestation.

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Enfin, la marche de la Société Civile Forces vives du Maniema pour dénoncer l'insécurité grandissante dans la ville de Kindu, chef-lieu de la province du Maniema pourrait se dérouler sans une quelconque perturbation. Après lui avoir adressé une lettre d'information de la tenue de cette marche dans les grandes artères de la ville, le Maire de la Ville de Kindu vient d'autoriser que celle-ci se tienne. 

Dans sa lettre d'accusé de réception N°3072/033/MV/KND/N 623/2023, M. Augustin Mulamba, en réponse à la lettre d'information du Président de la SOCIMA, demande aux organisateurs de la marche de rappeler les manifestants à l'ordre. 

"En réponse, je vous demande de sensibiliser les marchants à s'abstenir de tout acte pouvant troubler l'ordre public et porter atteinte aux libertés des autres" peut-on lire sur la lettre du Maire. 

L'Autorité urbaine instruit par la même occasion le Commandant de la Police Nationale Congolaise PNC, District ville de Kindu à prendre des dispositions afin d'encadrer la manifestation. 

Rappelons que la dite marche aura jeudi 02 mars 2023 prochain. Elle a pour objectif de protester contre l'insécurité grandissante qui se vit depuis un temps à Kindu.

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Le bureau du Conseil Provincial de la Jeunesse "CPJ/Maniema" était en tête à tête ce samedi avec le Député National Rashidi Bukanga Rubin dans sa résidence privée située dans la Commune d'Alunguli à Kindu. Plusieurs points ont été débattus lors de cette rencontre. Information livrée par la Présidente ad intérim de cette structure des jeunes du Maniema. 

Selon Angèle Rashidi, parmi les points discutés lors de cette rencontre, le CPJ Maniema est allé tout d'abord féliciter cet élu de Kindu et lui présenter ses civilités. Lui féliciter face au travail abattu par Rashidi Bukanga Rubin au profit de la province du Maniema et de la RDC et qui fait la fierté de la population du Maniema. Le CPJ l'a par la même occasion demandé de continuer dans cet élan. 

"Nous sommes allés lui présenter nos civilités et vives félicitations par le bon travail qu'il ne cesse de fournir à la RDC qui atteste une fierté pour la population du Maniema et lui avons demandé de continuer sur cet élan. Les hommes biens et soucieux de la bienfaisance lui seront très reconnaissants" a indiqué Angèle Rashidi. 

Auteur d'une loi sur la promotion et la protection des peuples autochtones pygmées, le bureau du Conseil Provincial de la Jeunesse a sollicité auprès du Député National Rashidi Bukanga Rubin de travailler avec lui dans la vulgarisation de cette loi. Après leurs échanges, le CPJ s'est dit heureux. 

"Nous étions très heureux de la franche collaboration, signe de la fraternité que nous a réservé l'Honorable Bukanga et l'avons demandé de rester comme toujours, profitable à toutes les 3 communes bien que selon lui, plusieurs actions des terrains soient  souvent bloquées par les politiques" a conclut Angèle Rashidi, Présidente ai du CPJ Maniema.

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L’insécurité dans la ville de Kindu inquiète au plus haut niveau le Député National Rashidi Bukanga Rubin, élu de la Ville de Kindu à la chambre basse du parlement. Des cas des vols à mains armées sont dénombrés chaque jour dans plusieurs quartiers de la ville. Les cas le plus récents sont ceux de la nuit du samedi 25 au dimanche 26 février 2023 dans le Bloc RVA, quartier Basoko dans la Commune de Kasuku. Dans une interview accordée ce dimanche 26 février 2023 à la presse locale, cet élu du peuple tire la sonnette d’alarme et appelle les autorités censées sécuriser la population. 

"Je tire la sonnette d’alarme par rapport à la situation très très très catastrophique qui se passe dans la Commune de Kasuku et même dans la Commune de Mikelenge avec l’insécurité grandissante, le phénomène vols à mains armées mais qui a pris d’autres ampleurs, avec le phénomène viol de nos mamans. C’est une situation très déplorable, très dramatique. Ça m’a fortement choqué, ça continue à me choquer parce que je me dis on ne peut pas arriver à ce niveau là. Nous n’avons jamais connu ces genres de situation ici au Maniema" dit Rashidi Bukanga Rubin.

Le surnommé double brassard indique avoir passé une nuit blanche suite à des contacts permanents qu’il avait avec des femmes du bloc Handicapés qui refusent de passer nuit dans leurs maisons parce craignant d’être violées par les voleurs à mains armées.

"J’ai passé une nuit blanche parce que j’étais en contact permanent avec les mamans de la Commune de Kasuku, bloc handicapés qui ont passé nuit à la belle étoile parce qu’elles estiment qu’elles sont violées systématiquement ce dernier temps par les voleurs à mains armées qui emportent tout et qui violent toutes les mamans, les filles et tout ce qu’ils trouvent comme femmes dans la maison. J’étais en contact avec ces mamans pour essayer de leur donner un peu de confiance bien qu’en réalité elles ne font plus confiance à aucune autorité parce que simplement elles estiment qu’elles sont abandonnées, délaissées".

Le Député Rashidi Bukanga Rubin en a profité par la même occasion pour interpeller les autorités à ne pas être complaisantes face à cette situation que traverse la population depuis quelques mois dans la ville de Kindu.

"Je demande encore une fois, les autorités sécuritaires qui sont ici à Kindu, de cesser d’être complaisantes. S’il vous plaît, chers autorités sécuritaires cessez d’être complaisantes par rapport à la situation de la sécurité que nous traversons ici dans la ville de Kindu. Appelez ces gens qui ont été cités comme auteurs intellectuels d’avoir envoyé l’argent pour que les mai-mai quittent Lokando et venir ici pour empêcher aux autres de se faire enrôler. Qu’ils vous disent, ils ont invité combien des mai-mai ? ces mai-mai se trouvent où ? et vous allez maitriser cette situation. Aussi longtemps que vous ne voulez pas le faire, vous êtes complaisantes envers ces gens là parce qu’ils viennent des gens que vous connaissez, et alors vous êtes entrain de sacrifier toute la population" a-t-il insisté.

Enfin, l’élu du peuple appelle la population à la vigilance. Selon lui, le couvre-feu devra être annulé car il envenime la situation. Cet élu propose par contre que la liberté soit accordée aux jeunes afin que ces derniers sécurisent leurs coins. Par ailleurs, il indique avoir déjà pris des contacts avec certaines autorités de Kinshasa afin que la sécurité soit renforcée dans la ville de Kindu.

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L'insécurité continue à faire parler d'elle-même dans la ville de Kindu. Il ne passe pas une seule nuit sans que les maisons des paisibles citoyens ne soient visitées par des voleurs à mains armées. Ces derniers emportent tout ce qu'ils trouvent sur leur passage dans les maisons qu'ils visitent. Argent, biens de valeur sont pas épargnés et en cas de résistance, les victimes subissent des coups et blessures. 

Les derniers cas en date sont ceux qui se sont déroulés dans la nuit de samedi 25 à ce dimanche 26 février 2023 dans le bloc RVA, quartier BASOKO dans la Commune de KASUKU. Près de 5 maisons ont été visitées par ces malfrats. Ces maisons sont notamment localisées sur l'avenue du Complexe Scolaire Monseigneur BOUVE et aussi sur l'avenue Gunda FM Bis.

Dans leur passage dans ces maisons, ces inciviques ont emporté argent, téléphones mobiles, biens ménagers et autres de valeur. Les victimes lancent à cet effet un cri auprès des autorités compétentes pour que cessent ces actes qui appauvrissent ces familles qui sont déjà pauvres.

Pendant ce temps, la Société Civile forces vives du Maniema "SOCIMA" projette une marche de protestation pour dénoncer cette insécurité grandissante. La marche est prévue pour le jeudi 02 mars 2023 prochain. Elle aura comme point de départ la cathédrale Saint-Esprit de l'église catholique de Kindu pour chuter au Gouvernorat de la province où un mémorandum sera lu et déposé entre les mains du Gouverneur ad intérim du Maniema.

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La marche de protestation contre l'insécurité grandissante dans la ville de Kindu annoncée par la Société Civile forces vives du Maniema reste maintenue pour le jeudi 02 mars 2023 prochain. Dans un communiqué signé ce samedi 25 février par le Président de cette structure citoyenne du Maniema, Me Stéphane Kamundala invite toute la population à se joindre à cette manifestation pour dire NON à cette situation qui ne dit plus son nom dans le Chef-lieu de la province du Maniema. 

"La Société Civile Forces vives du Maniema, SOCIMA en sigle invite tous les habitants de la Ville de Kindu et de ses environs à manifester leur colère contre l'insécurité qu'ils vivent depuis plus de trois mois dans la marche qu'elle organise le jeudi 02 mars 2023 à partir de 9h00" peut-on lire sur le document de la SOCIMA. 

Et d'ajouter "venez-y nombreux pour exprimer notre mécontentement et de demander à la plus haute hiérarchie de trouver le plus tôt possible la solution à ce sérieux problème qui prend des allures inquiétantes chez nous"

La dite manifestation partira de la cathédrale Saint-Esprit de l'église catholique de Kindu et chutera au gouvernorat de la province où un mémorandum sera lu et déposé entre les mains du Gouverneur ad intérim du Maniema. La foule passera sur l'avenue du 4 janvier qui pars de la cathédrale Saint-Esprit vers le rond-point TMB en passant par le rond-point de la DGRAD pour prendre le rond-point de la Sonahydroc puis le rond-point du palais de justice jusqu'au Gouvernorat de province.

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La population de la ville de Kindu sera dans les rues le jeudi 02 mars 2023 prochain. Annonce faite par le Président de la Société Civile Forces vives du Maniema ce jeudi 23 février 2023. Pour Me Stéphane Kamundala, cette marche s'organise pour protester contre l'insécurité qui monte en puissance depuis deux mois dans le Chef-lieu de la province. 

"Les cas de l'insécurité qu'on observe depuis deux mois dans la ville de Kindu inquiète pour le moment au plus haut point la Société Civile Forces vives du Maniema. C'est chaque jour qu'on reçoit les coups de fil qui déterminent la visite des personnes armées qui violent les femmes, dépouillent la population de ses biens, essaient de terroriser les différentes personnes" a motivé Me Stéphane Kamundala. 

Tout en déplorant le fait que les autorités provinciales que nationales n'arrivent pas à s'approprier cette question d'insécurité qui grandit chaque jour à Kindu, le Président de cette structure citoyenne ne comprend pas la corrélation qui existe entre le couvre-feu nocturne décrété par le Conseil provincial de sécurité pour sécuriser les opérations d'identification et d'enrôlement qui se déroulent la journée. 

"Nous sommes entrain de vivre des mesures prises par l'autorité urbaine où il décrète le couvre-feu qui aura pour durée la période de l'enrôlement. Et pour la Société Civile, c'est quel lien l'autorité urbaine peut-il établir entre le couvre-feu et la période de l'enrôlement ? D'ailleurs l'enrôlement se passe la journée et le couvre-feu c'est à partir de 21heures. Étant donné que la population du Maniema en a marre, pas plus tard qu'hier dans le quartier 3Z, dans le quartier RVA, on a vécu beaucoup des cas d'insécurité. Trop c'est trop !" a renchérit Me Stéphane Kamundala. 

Pour rappel, plusieurs cas de vols à mains armées sont répertoriés dans différentes avenues de la ville de Kindu. Les malfrats opèrent parfois dans cinq ou dix maisons dans un même quartier et cela sans l'intervention de la police. Cette marche de la SOCIMA aura pour point de chute, le gouvernorat de la province où un mémorandum sera déposé auprès du Gouverneur ad intérim.

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Le forum pour la paix, la cohésion et le développement du Maniema tenu le 14 et le 15 Février dernier produit de plus en plus des résultats positifs. Les fils et filles du Maniema ont décidé d'enterrer la hache de guerre et regarder vers une même direction pour le développement de leur province. 

Ces derniers, qui vivaient hier comme des chats et souris mais depuis la tenue dudit forum, ils ont décidé de constituer un seul corps. C'est le cas de Emmanuel Ramazani Shadary, Augustin Matata Ponyo Mapon et Salomon Kalonda Idi Della dit SK DELLA. 

Ces trois hommes politiques qui ont décidé de créer un triumvirat sont plus souvent visibles l'un à côté de l'autre soit l'un dans la résidence de l'autre. Même si rien n'a filtré sur ce que ces trois grands leaders du Maniema ont discuté, mais en tout la soirée de ce mercredi 22 février 2023 a été plus spéciale. Tout d'abord avec la visite de SK DELLA à la résidence de son frère Augustin Matata Ponyo Mapon. Et les deux ont décidé de faire le pied jusqu'à la résidence d'Emmanuel Ramazani Shadary pour un huit-clos de plus d'une heure. 

Geste qui continue à susciter la joie de plusieurs enfants du Maniema. Certains pensent même que c'est un grand pas pour le développement de cette province et appellent d'autres politiques de mettre en application les résolutions de ce forum qui a des effets positifs.

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Les réactions continuent à tomber après les échauffourées créées par les jeunes du quartier BASOKO le jour de l’identification et l’enrôlement de Salomon Kalonda Idi Della dit SK DELLA le vendredi 17 février 2023 dernier. La dernière en date est celle de l’Evêque du diocèse catholique de Kindu. Monseigneur François Abeli Muhoya qui déplore ces actes de barbarie ayant conduit au mort d’homme et des blessés, indique que toute personne qui aime la province du Maniema et se reconnait étant fils ou filles de cette province se retrouve dans le forum et s’en approprier ses conclusions. 

"Le forum en lui-même n’a pas un caractère contraignant du point de vue légal ou juridique non. Il a plutôt un caractère contraignant du point de vue moral. C’est-à-dire, qui aime la province du Maniema, qui se reconnait réellement comme fille et fils du Maniema, qui veut vivre avec ses frères se retrouve très bien dans ce forum. On voudrait bien que chacun puisse s’approprier les résolutions afin de bâtir ensemble notre vivre-ensemble, notre vivre en communauté" explique ce prélat catholique.

Le pasteur de l’église catholique pense que ce qui est arrivé à Basoko est dû à certaines gens qui refusent de s’approprier le forum et ses résolutions.

"Nous pensons que si ces genres des choses sont arrivés c’est parce qu’il y a des gens qui ne se sont pas approprier ou qui ne veulent pas s’approprier ce forum. Parce que justement dans le forum on a beaucoup insisté sur l’instrumentalisation des jeunes, sur la figure du leader, sur le respect de différence dans la diversité. Nous sommes en démocratie, la démocratie accepte l’autre dans ses contradictions. Et c’est qui est arrivé à Basoko est très révoltant. De plus en plus, les langues se délient et on se rend compte que c’est quelque chose qui avait été préparée et devait plutôt se passer pendant les deux jours d’organisation du forum comme pour dire qu’on en veut pas, on doit faire échouer, on doit saboter" dit Mgr Abeli Muhoya.

Enfin, l’homme de Dieu indique que la province du Maniema n’appartient à personne mais elle appartient à ses fils et à toutes ses filles et demande que la chance soit donnée à tout un chacun de compétir. Il conclut par le souhait de voir s’installer réellement un vrai Etat de droit et que les auteurs de ces désastres soient poursuivis et punis pour prévenir d’autres dégâts lors des élections proprement dites.

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Des personnes inconnues se sont introduites dans la concession du Député National élu de la Ville de Kindu Rashidi Bukanga Rubin. La concession est située dans la Commune d’Alunguli sur la route menant vers Kalima. Ces dernières, qui s’exprimaient en Lingala, seraient venues pour enterrer des objets jusque-là non connus. 

"C’était le samedi 18 février que j’ai été informé alors que j’étais dans l’avion pour prendre mon vol et venir chez nous à Kindu. C’est en ce moment là que les gardiens de ma concession qui est située à 4km de la route vers Kalima, m’ont informé qu’il y avait un mouvement suspect des gens qui sont venus avec des motos transportant des sacs et qui étaient entrain d’enterrer des choses dans ma concession" a-t-il expliqué. 

A l’Honorable Rashidi Bukanga Rubin d’indiquer que les gardiens ont tenté interroger ces inconnus mais ils ont été chassés et ont été obligés d’abandonner. Il précise avoir alerté au même moment la Bourgmestre de la Commune d’Alunguli pour qu’elle puisse dépêcher une équipe sur place et enquêter sur ces faits mais malheureusement, s’inquiète cet élu du peuple, il n’a jamais eu d’échos et craint à un montage pour chercher à nuire à sa personne.

"Je demande encore une fois de plus aux services de sécurité de tout faire pour tirer au clair cette situation parce que c’est déplorable quand-même qu’on puisse constater qu’il y ait des montages dans ce sens pour nuire inutilement aux gens simplement parce qu’on veut se faire une position politique. Est-ce que ce n’est pas un complot qu’on est entrain de monter pour que demain l’on vienne dire qu’on a découvert des armes ou des minutions dans ma concession ? Parce qu’on connait comment ça fonctionne dans cette province depuis un temps, on connait les montages qui sont entrain de se préparer jour et nuit contre tout celui qui veut faire quelque chose ici au Maniema" a insisté Rashidi Bukanga Rubin. 

Enfin, le surnommé double brassard alerte toutes les autorités nationales pour qu’elles trouvent des solutions urgentes à cette situation.

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Le Bureau des Inspecteurs des Droits de l’Homme "BIDH", Coordination de la Province du Maniema très en colère contre les conclusions de la mission de quelques heures du Ministre National des Droits Humains à Salamabila dans le Territoire de Kabambare au Sud du Maniema. 

Dans une interview accordée à notre rédaction, le Coordonateur du BIDH regrette que Fabrice Puela conclut qu’à Salamabila, il n’existe pas des violations des droits de l’homme et pourtant très récemment, les jeunes filles et femmes venaient d’être bastonnées par les éléments mai-mai Malaika dirigés par Sheikh Kabala Selemani.

"Le Ministre qui n’a même pas fait une journée à Salamabila et qui n’a même pas utilisé aucune méthode ni technique pour dénicher les cas de violation des droits de l’homme peut dire qu’à Salamabila il n’existe pas des violations des droits de l’homme or les bastonnades des femmes ne sont plus à démontrer. Grave encore le Ministre ne s’est même pas fait accompagné par les élus de ce coin tant nationaux que provinciaux alors représentants de ce peuple" a dit Chrispin Muyololo Ndariloko.

Le BIDH qualifie ainsi la mission de Fabrice Puela à Salamabila d’un non évènement et la considère d’un voyage touristique et non de droits de l’homme. Par ailleurs cette structure demande au gouvernement central et à l’ONU la constitution d’une commission mixte.

"C’est pourquoi le BIDH demande la descente sur terrain d’une commission mixte composée du ministère des droits humains, des structures des droits de l’homme crédibles et du caucus des Sénateurs et Députés Nationaux élus du Maniema. A la population du Maniema en général et celle du Territoire de Kabambare, à ne pas prêter l’oreille aux déclarations du Ministre Fabrice Puela qui a fait le tourisme dans le Secteur de Salamabila, zone aurifère" a conclut Chrispin Muyololo Ndariloko, Coordonateur du BIDH Maniema.

Pour rappel, après sa mission de deux heures à Salamabila, le Ministre Fabrice Puela des droits humains s’est adressé à la presse. Et dans son interview, ce dernier a indiqué que l’Autorité de l’Etat existe bel et bien à Salamabila et qu’il n’existe aucune victime des actes de bastonnade dont plusieurs personnes lui ont parlé.

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Le Ministre des Droits Humains Fabrice Puela  séjourne dans la province du Maniema depuis la semaine dernière. Celui-ci s'est rendu aussi à Salamabila dans le Territoire de Kabambare pour s'enquérir de la version réelle des cas des bastonnades dont ont été victimes les filles et femmes de ce coin du Maniema par les éléments maï-maï Malaika dirigés par Sheikh Kabala Selemani. À son retour, Fabrice Puela a indiqué devant la presse que la situation sécuritaire est stable et il n'y a eu des cas de bastonnade. 

C'est ce qui suscite la colère de la Société Civile Forces vives du Maniema "SOCIMA". Dans une interview accordée à la presse ce mardi 21 février 2023, son Président dit que sa structure considère la version du Ministre des Droits Humains de mensongère et parle d'une visite de promenade du Ministre et non de la recherche de la vérité sur cette situation. 

"La société civile forces vives du Maniema considère sa version de mensongère étant donné qu'il n'y a pas eu des vraies enquêtes qu'il aurait eu à mener dans la province du Maniema. La société civile forces vives du Maniema estime que Son Excellence Puela est venu en visite de promenade et non pas pour la recherche de la vérité de la situation qui s'est passée à Salamabila" a dit Me Stéphane Kamundala. 

Et au Président de la SOCIMA d'ajouter "il est arrivé au Maniema, dans la ville de Kindu le 15, il venait de passer au Maniema 5 jours pour ne faire que quelques deux heures à Salamabila pourtant sa mission officielle était de se rendre à Salamabila pour s'enquérir des faits qui s'y sont passés il y a peu et qui ont l'objet de la tension de la communauté internationale" renchérit Me Stéphane Kamundala. 

Le Président de la SOCIMA persiste en affirmant que l'autorité de l'État n'existe pas à Kabambare et le Ministre ne pouvait pas le constater car ayant passé ses deux dans un meeting. La SOCIMA l'accuse aussi d'avoir travaillé à vase clos sans donner l'occasion aux autres structures citoyennes ni aux femmes le temps de lui dire la vérité.

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Un camion de marque "FUSO" pour aider la population de Kindu dans le transport lors des cérémonies funéraires. Ceci l'imam Chef d'entité islamique du Maniema, le Sheikh Idi Swaleh Manusura qui met à la disposition cet engin en vue d'aider les habitants de Kindu. 

Selon lui, les cimetières de Kindu s'éloignent de plus en plus de la ville et pour aller enterrer les gens, nombreux sont ceux qui restent aux lieux des deuils même s'ils en ont besoin d'aller voir là où reposent les âmes de leurs proches pour l'éternité. 

"Je pense que vous constatez ce dernier temps, seul un petit nombre des personnes vont aux cimetières lors des enterrements. Ceux qui restent aux lieux des deuils ne restent pas volontairement mais c'est parce qu'ils manquent le transport. Et surtout que les cimetières s'éloignent de plus en plus de la ville, voilà pourquoi nous venons de mettre ce camion à la disposition de tout le monde" a expliqué le numéro 1 des musulmans du Maniema. 

Sheikh Idi Swaleh Manusura précise que cet engin est à la portée de tous et sa location est gratuite. 

"Nous ne demandons absolument aucun franc à toute famille qui veut l'utiliser. Notre chauffeur est là à leur disposition. La famille qui vient solliciter le service de cet engin n'aura rien à débourser en terme d'argent. Nous mettons aussi gratuitement le carburant pour lui permettre de quitter le lieu du deuil jusqu'au cimetière pour un aller-retour" a-t-il précisé. 

Ajoutons que cet engin stationne au siège de la mosquée de la modernité près du stade Joseph Kabila de Kindu.

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Un camion de marque "FUSO" pour aider la population de Kindu dans le transport lors des cérémonies funéraires. Ceci l'imam Chef d'entité islamique du Maniema, le Sheikh Idi Swaleh Manusura qui met à la disposition cet engin en vue d'aider les habitants de Kindu. 

Selon lui, les cimetières de Kindu s'éloignent de plus en plus de la ville et pour aller enterrer les gens, nombreux sont ceux qui restent aux lieux des deuils même s'ils en ont besoin d'aller voir là où reposent les âmes de leurs proches pour l'éternité. 

"Je pense que vous constatez ce dernier temps, seul un petit nombre des personnes vont aux cimetières lors des enterrements. Ceux qui restent aux lieux des deuils ne restent pas volontairement mais c'est parce qu'ils manquent le transport. Et surtout que les cimetières s'éloignent de plus en plus de la ville, voilà pourquoi nous venons de mettre ce camion à la disposition de tout le monde" a expliqué le numéro 1 des musulmans du Maniema. 

Sheikh Idi Swaleh Manusura précise que cet engin est à la portée de tous et sa location est gratuite. 

"Nous ne demandons absolument aucun franc à toute famille qui veut l'utiliser. Notre chauffeur est là à leur disposition. La famille qui vient solliciter le service de cet engin n'aura qu'à acheter seulement le carburant point barre" a-t-il précisé. 

Ajoutons que cet engin stationne au siège de la mosquée de la modernité près du stade Joseph Kabila de Kindu.

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NYOKA LONGO, un jeune âgé d'au-moins 25ans a été lâchement abattu le vendredi 17 février 2023 dernier par des jeunes instrumentalisés du quartier BASOKO qui se sont attaqués à la foule qui accompagnait M. Salomon Kalonda Idi Della dit SK DELLA lors de son identification et enrôlement au centre d'inscription et d'enrôlement basé à l'École Primaire Mamboleo. 

Le défunt a été lapidé par des pierres et autres par ses bourreaux après avoir raté leur cible qui était le Conseil Spécial et Politique de Moïse Katumbi Chapwe. Ces jeunes se réclamant du groupe MAPROKO basé à BASOKO ont par la même occasion causé des dégâts matériels et humains énormes. Plus d'une soixantaine de personnes blessées lors de ces échauffourées. 

Décédé vendredi, NYOKA LONGO a été inhumé le samedi 18 février dernier. SK DELLA, surnommé affectueusement la main de DIEU par ses admirateurs, s'est personnellement rendu à la résidence familiale pour consoler la famille de l'illustre disparu. Sa gerbe de fleurs en main et  larmes aux yeux pour avoir perdu un grand militant de son parti politique, SK DELLA est resté inconsolable devant la dépouille mortelle de NYOKA LONGO. 

Tout en pleurant avec la famille, SK DELLA s'est amené avec une enveloppe importante dont le contenu n'a pas été révélé à la presse. Pour la famille, ce geste du Haut Représentant de Moïse Katumbi est un réconfort moral. 

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Salomon Kalonda Idi Della dit SK DELLA s'est enrôlé ce vendredi 17 février 2023 à l'École Primaire Mamboleo du quartier BASOKO, Commune de Kasuku à Kindu. Mais pendant son enrôlement, des jeunes instrumentalisés de ce coin de Kindu ont procédé par des jets de pierre et troubles à l'ordre public causant d'énormes dégâts humains et  matériels. 

Le premier bilan non  officiel parle d'un mort,  plusieurs blessés, des maisons détruites et biens ménagers et de valeur emportés par ces jeunes instrumentalisés. Parmi les biens détruits, on peut citer aussi les matériels d'identification et d'enrôlement des électeurs de la Commission Électorale Nationale Indépendante CENI installés dans cette école.

Pour le Conseil Provincial de la Jeunesse "CPJ/Maniema", ces actes sont à déplorer et font la honte de la province. La Présidente ad intérim de cette structure des jeunes déplore à cet effet l'attitude de la jeunesse qui se laisse jusqu'à ce jour manipulée pourtant cette manipulation ne profite à personne. 

"Cette situation est déplorable, cette situation fait honte pour la province. Je me dis, nous sommes dans quel État ? L'enrôlement n'a pas commencé qu'au Maniema, n'importe qui a droit de s'enrôler. Si Mr Salomon SK DELLA s'est porté garant à remplir son devoir en tant que citoyen, pourquoi lui en vouloir ?" se questionne Angèle Rashidi, Présidente ai du CPJ/Maniema.

Et à Angèle Rashidi d'ajouter "ce que je déplore c'est l'attitude de la jeunesse. La jeunesse devait se différencier, se démarquer de cette manipulation politicienne qui ne nous profite en rien. Nous déplorons cette main noire qui est derrière cette jeunesse et nous disons que la jeunesse devrait prendre conscience de son avenir. L'avenir de demain c'est dans la jeunesse". 

Par la même occasion, la patronne du Conseil Provincial de la Jeunesse se dit désolée de voir ce genre d'actes se produire à quelques heures du lancement du processus d'identification et d'enrôlement des électeurs. Elle appelle par ailleurs les jeunes à une prise de conscience et à être conséquents de leurs actes. 

"J'appelle la jeunesse à la prise de conscience, nous devons être conséquents de nos actes, de notre avenir car l'avenir de demain nous appartient. C'est nous qui allons faire d'eux des Députés, tout ce qu'ils voudront et c'est déplorable cette situation. Nous le décrions de vive voix" a conclu Angèle Rashidi.

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Le Forum pour la paix, la cohésion et le développement des fils et filles du Maniema ouvert ce mardi 14 février 2023 se clôturera ce mercredi 15 Février 2023 tel que programmé par les organisateurs. 

Déjà pour ce premier jour, cinq exposés ont eu lieu par différents orateurs désignés selon les thématiques. Après ces exposés, des groupes de travail ont été répartis, chacun avec une thématique bien spécifique qui devra détailler les pistes de solutions pour arriver à instaurer la paix, la cohésion entre les fils et filles du Maniema mais aussi permettre le développement de cette province.

Ces travaux devraient se clôturer ce mercredi 15 Février par un rituel symbolique à la tribune centrale de Kindu. Malheureusement hélas, la Mairie de Kindu refuse d'octroyer aux organisateurs cet espace public. C'est ce qu'on peut lire dans un document signé par les organisateurs. 

"Le comité d'organisation du forum pour l'unité, la cohésion et le développement des fils et filles du Maniema...informe tous les participants et le public en général que contrairement au programme prévu pour la  clôture dudit forum ce mercredi 15 Février 2023 à la tribune de Kindu par le rituel symbolique de pardon mutuel, de réconciliation et de cohésion retrouvée ; tous les travaux se poursuivront au même endroit c'est-à-dire au site Lwama I. Cette décision fait suite à la décision que venait de nous annoncer la Mairie" indique le document des organisateurs. 

Pour rappel, le Gouverneur ad intérim, ses Ministres provinciaux, le Maire de la Ville de Kindu, son adjoint et les Bourgmestres des communes de Kasuku et Mikelenge et leurs adjoints ont boycotté les assises durant ce premier jour.

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Le forum pour la paix, la cohésion et le développement des fils et filles du Maniema s'est ouvert ce mardi 14 février 2023 à Kindu, chef-lieu de la Province du Maniema. Ces assises se tiennent dans une des salles de l'université de KINDU dans le quartier Lwama. 

Plusieurs fils et filles ont répondu présents à ce rendez-vous organisé par les communautés du Maniema, les représentants de tous les territoires du Maniema et les confessions religieuses sous le présidence de l'Évêque du diocèse catholique de Kindu Mgr François Abeli Muhoya Mutchapa. Par ailleurs, il se constate aussi plusieurs absences remarquables dans la salle. 

Le plus grand absent à cette rencontre c'est notamment le Gouverneur ad intérim du Maniema. Afani Idrissa Mangala tout comme tous ses Ministres moins encore le Maire de la Ville de Kindu ou les Bourgmestres des communes de Kasuku et Mikelenge ont décidé de boycotter ce rendez-vous de la recherche de la paix, la cohésion et la réconciliation des fils et filles du Maniema. 

Du côté des politiques, vingt et un (21) Députés Provinciaux sont absents, un seul se trouve dans la salle. Sur le douze (12) Députés Nationaux élus du Maniema, deux ont répondus présents au forum dont AMISI LUPIA Patrick et NDJOLOKO TAMBWE Bathé. Les dix autres absents, certains se seraient excusés auprès des organisateurs apprend-t-on. 

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La chaleur de la tenue du forum pour la paix, la cohésion et le développement des fils et filles du Maniema se fait sentir dans la ville de Kindu avec l'arrivée de plusieurs invités de ces assises. C'est le cas de Madame DIDINE KOPI, Coordonnatrice de la Fondation qui porte son nom. 

Dans une interview accordée ce lundi 13 Février 2023, DIDINE KOPI apprécie l'idée d'organiser ce forum et indique qu'elle attend beaucoup de celui-ci. C'est notamment dit-elle, des solutions qui vont sortir le Maniema de l'impasse. 

"J'ai une très bonne appréciation parce qu'il s'agit de quelque chose qui va aider notre province à décoller. C'est que j'attends personnellement est qu'il y ait des résolutions valables pour aider notre province à aller de l'avant.  Ces solutions doivent concerner la paix et l'unité dans notre province" a dit DIDINE KOPI. 

Tout en restant optimiste que les résolutions assorties de ce forum pourraient changer le Maniema, Madame DIDINE KOPI annonce au même moment, elle va se faire enrôler à Kindu dès l'entame de l'opération d'identification et d'enrôlement des électeurs, laquelle opération sera lancée le 16 février prochain. Elle invite à cet effet la population à un enrôlement massif. 

"J'appelle tous les fils et filles du Maniema à aller se faire enrôler parce que la carte là, ce n'est pas seulement pour voter. C'est d'abord une pièce d'identité pour tout le monde. Donc tout le monde est censé aller se faire enrôler pour d'abord avoir la pièce d'identité et puis le reste après" a ajouté DIDINE KOPI. 

Par ailleurs, cette fille du Maniema a invité les femmes à ne pas se négliger mais plutôt d'oser en montrant leurs ambitions. Mais quant à elle-même, DIDINE KOPI a indiqué qu'elle se prononcerait au moment opportun.

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Il se tiendra à Kindu du 14 au 15 Février 2023, un forum pour la paix, la cohésion et le développement des fils et filles du Maniema. Ces assises réuniront tous les fils et filles de cette province qui vont discuter sur comment développer le Maniema. 

Déjà à Kindu, Chef-lieu de la province pour prendre part à ces assises, Mme ALINE MULAMBA, Coordonnatrice de l'asbl Association Kindu Yetu "AKY asbl" pense que ce forum est une chance et un atout à capitaliser pour le redécollage de la province du Maniema. 

"Si nous nous retrouvons présentement à Kindu c'est pour répondre à l'invitation nous adressée par les organisateurs du forum sur la paix, la cohésion et le développement des filles et fils du Maniema. À travers ce forum, on va asseoir des bases pour que la province puisse redécoller. Parce que à voir au jour d'aujourd'hui, sincèrement il y a un recul par rapport à il y a peu. Les avancées que nous avons connues il y a une dizaine d'années sont en pleine régression. Et ce forum c'est non seulement une chance mais c'est un atout que nous devons capitaliser pour faire bouger les choses et les faire avancer au niveau de la province" dit la Coordonnatrice de AKY asbl. 

ALINE MULAMBA décourage à cet effet tous ceux qui veulent ternir l'image de ces assises en les politisant. Selon elle, il faut faire confiance aux organisateurs. 

"Je pense que nous devons faire confiance au comité organisateur. Je vois bien qu'à la tête il y a les confessions religieuses ainsi que la représentation du pouvoir coutumier et même celle de 7 Territoires. Politiser , je ne pense pas et j'invite les autres à faire confiance aux organisateurs" a renchérit ALINE MULAMBA. 

Enfin, elle signale qu'elle se fera aussi enrôler à Kindu lors de l'opération d'identification et d'enrôlement des électeurs qui débute d'ici le 16 février prochain. Pour elle, c'est une façon de donner l'opportunité à la Province d'ajouter des sièges et donner la chance la province d'avoir des bons dirigeants.

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Alors qu'il tenait tant à participer au forum pour la paix, la cohésion et le développement des fils et filles du Maniema qui va se tenir du 14 au 15 Février prochain, le Député National, élu de la Ville de Kindu Rashidi Bukanga Rubin ne saura plus y prendre part. L'élu du peuple à la basse chambre du parlement l'a fait savoir ce dimanche 12 février soit 48heures avant la tenue de ces assises. 

Rashidi Bukanga Rubin justifie son absence à cette grande rencontre des enfants du Maniema par la mise en vigueur de la loi sur la protection et la promotion des peuples autochtones pygmées dont il est l'auteur. Selon lui, cette mise en vigueur est prévue le 14 février soit 3 mois depuis la promulgation de cette loi par le Chef de l'État. 

"Nous soutenons l'activité qui est organisée du 14 au 15, le forum sur la paix, l'unité,  la réconciliation et le développement des enfants du Maniema. C'est une très très bonne activité que nous saluons, nous l'avons toujours encouragée. Actuellement ça tombe très mal parce que vous êtes sans ignorer que la loi sur la protection et la promotion des droits des peuples autochtones pygmées qui avait été promulguée le 14 novembre 2022, devra entrer en vigueur trois mois plus tard, et donc ça tombe le 14 février. C'est le jour même du lancement officiel du forum" explique l'Honorable Rashidi Bukanga Rubin. 

L'élu regrette par ailleurs son absence à cette grande messe car il est appelé à organiser la cérémonie de la mise en vigueur de ladite loi à Kinshasa devant plusieurs hautes personnalités. Il indique néanmoins avoir contacté les organisateurs pour leur faire part et signale qu'il sera représenté à ces assises. 

"Je suis vraiment désolé que ça puisse coïncider avec la même date que le début du forum. C'est pour cela même que j'ai contacté Son Excellence Mgr François pour lui dire que j'étais vraiment désolé, j'aurais vraiment bien voulu participer à cette rencontre physiquement. Nous sommes de cœur et je serai valablement représenté" a conclu Rashidi Bukanga Rubin tout en promettant de mettre en application toutes les recommandations qui sortiront de ces assises.

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Le Pape François vient de clôturer son séjour papal de quatre jours en République Démocratique du Congo.  Le souverain pontife, a à l'occasion de son séjour à Kinshasa, mené plusieurs activités à Ndolo, au stade des martyrs, à la cathédrale Notre Dame mais aussi à la Nociature. 

Le Conseil National de la Jeunesse "CNJ" félicite à cette occasion le gouvernement congolais ainsi que le Chef de l'État pour avoir arraché la visite du numéro un de l'église catholique en RDC mais aussi la sécurisation et la réussite de l'organisation de différentes activités menées par le Pape. Pour le CNJ, c'est une preuve du dynamisme de la diplomatie et la remise sur les rails de la RDC sur l'échiquier mondial. 

Tout en félicitant les jeunes pour leur participation massive et leur attitude de non-violence durant toutes les activités papales, le Président ad intérim du CNJ invite ces derniers à bâtir un avenir meilleur parce qu'ayant tous les atouts. 

"J'invite par ailleurs tous les jeunes Congolais, sans discrimination aucune, à un engagement républicain pour bâtir ensemble un avenir meilleur car nous en avons les atouts et croyez-moi nous sommes sur la bonne voie. Nous devons briser nos clivages, se passer de toute manipulation et éviter toutes formes d'anti-valeurs" exhorte Me Atibu Katamea Nathanaël. 

Parlant effectivement de l'occasion, le patron du Conseil National de la Jeunesse de la RDC condamne l'attitude de certains politiciens qui auraient manipulé certains jeunes pour bloquer les messages du Pape à atteindre l'opinion. 

"Je condamne fermement l'attitude de certains politiciens congolais en mal de positionnement qui ont recruté un petit nombre de jeunes dans le but de désorienter l'opinion du message de paix, de l'unité et de la réconciliation apporté par le Saint-Père au peuple Congolais. En voulant perturber la rencontre du Souverain pontife avec la jeunesse au stade des martyrs, les paroles du Pape François ont trouvé leur place et confirment qu'il y a des ennemis de la République qui veulent se jouer de la Jeunesse pour continuer à faire régner la terreur et la violence en RDC bien que cela n'est d'aucun impact visible..." a renchérit Me Atibu Katamea Nathanaël. 

Enfin, le Président ai du CNJ remercie toute la jeunesse et le Ministre de la Jeunesse Yves Bunkulu pour la mobilisation.

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L'asbl la Génération Wa Milele ni Mungu célèbre ce samedi 4 février 2023 sa toute première année d'existence. Plusieurs activités y sont prévues selon les responsables de cette structure qui réunit les jeunes de Kindu en particulier et ceux de la province du Maniema en général. Déjà, en prélude de cette célébration, deux grandes activités ont précédé celles prévues le samedi prochain. 

Ces deux grandes activités sont notamment une marche de santé organisée à Kindu  dimanche 28 janvier dernier sur les grandes artères de la ville. Une centaine de jeunes a pris part à cette manifestation qui a annoncé l'anniversaire de cette asbl. Et pour ce jeudi 02 Février 2023, Benjamin Katanda, Président du Conseil d'administration de cette asbl s'est fait accompagner des membres de sa structure tour à tour à l'hôpital général de référence de Kindu et à l'orphelinat Dine D'or. Il a été question d'aller apporter une assistance à ces vulnérables a expliqué le PCA de la Génération Wa Milele ni Mungu. 

"Nous leur avons apporté un lot important des vivres frais, de boisson et des gâteaux que nous avons mangé avec ces enfants de l'orphelinat Dine D'or. Il était aussi question d'assister les femmes qui ont accouché. Nous avons payé les factures d'hospitalisation, question pour nous de leur permettre à suivre aisément les soins" a expliqué Benjamin Katanda dit Aigle wa Mabawa. 

Le PCA de cette asbl motive ces gestes caritatifs par l'amour, l'unité, la paix que prône sa structure envers les jeunes mais aussi aux personnes vulnérables et ceci s'inscrit aussi dans le cadre de la vision de la Génération Wa Milele ni Mungu. 

"La vision de notre structure c'est de réunir tous les jeunes et mobiliser toutes les ressources afin de promouvoir la culture au profit de la jeunesse, l'excellence de celle-ci. Nous devons laisser des empreintes et faire profiter de notre savoir à tous nos membres et à tout celui qui voudra en profiter" a-t-il renchérit. 

De leur côté, les bénéficiaires de ces actes de grande générosité ont fait savoir qu'ils ne savent avec quel mot remercier leurs bienfaiteurs. Certaines accouchées ont même promis de donner le nom de cette asbl à leurs nouveaux-nés. Et à directrice de l'orphelinat Dine D'or de rendre des hommages respectueux au PCA Benjamin Katanda et son équipe pour cet acte tout en leur demandant de continuer à assister son orphelinat qui a traverse des moments difficiles.

Le PCA lance à cette occasion un appel à d'autres jeunes de le  rejoindre afin d'unir les idées et booster la province dans un autre stade de développement. Signalons que plusieurs activités culturelles sont au rendez-vous pour ce samedi à l'hôtel Espace Shadary. Il s'agira des concerts musicaux et autres.

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L'an 2022 a pris fin et une nouvelle année (2023) commence. Des associations et autres structures continuent à faire des bilans de leurs actions de l'année finissante. C'est le cas ici de la Fondation De Willy installée à Kindu, Chef-lieu de la province du Maniema. 

Dans une cérémonie d'échange des vœux organisée ce samedi 28 janvier 2023 dans la commune d'Alunguli située à la rive droite du fleuve Congo à Kindu, le Coordonnateur Provinciale a fait savoir que plus 75% des activités prévues pour l'année finissante ont été réalisées. Polybe Shabani parle de la réhabilitation des routes de dessertes agricoles ou encore l'aménagement des sources d'eaux potables. 

"Nous pouvons estimer, selon nos prévisions, le nombre des réalisations à plus ou moins 75%. Et ces réalisations sont souvent focalisées sur l'entretien des routes, l'aménagement des sources d'eaux, les forages et la construction des puits et l'entraide entre les membres". 

Polybe Shabani indique que l'extension de sa structure est l'une des priorités pour l'année 2023 qui commence dans toute l'étendue de la province du Maniema mais aussi d'autres grands travaux dont ceux consistant à construire le pont Kange de la commune d'Alunguli. 

"L'année 2023 comme nous l'avions promis, d'abord nous étendre sur l'ensemble de la province du Maniema et ensuite la construction du pont Kange qui est notre cheval de bataille depuis notre installation officielle en juillet dernier". 

Le Coordonnateur Provincial de la Fondation De Willy Mabela appelle à cet effet tous les fils et filles du Maniema à l'amour et l'entraide. Signalons que plus de six cents (600) membres en règle avec leurs cotisations ont répondu présents à cette cérémonie d'échange des vœux qui s'est tenue dans l'ancienne église Saint-Paul de catholique.

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Trente (30) femmes dont l'âge varie entre trente (30) et cinquante (50) ans ont obtenu leurs brevets de participation à la formation d'alphabétisation. Celles-ci, inscrites au centre pilote d'alphabétisation de Binumbi ont suivi pendant cinq (5) mois des leçons sur comment lire, écrire et compter. Binumbi, est un village situé à 45km de la ville de Kindu sur la route Kindu-Kalima dans le Secteur des BEIA, groupement MEYA dans le Territoire de PANGI. 

La cérémonie de défense de leurs travaux de rédaction , la proclamation et la remise des brevets a eu lieu ce samedi 28 janvier 2023 à Binumbi. Pour ces femmes, c'est est une satisfaction car elles ont appris à lire, à écrire et à compter. Elles remercient pour cette occasion le Chef de Secteur des BEIA Jules SWEDI MINDO.

"J'ai 50ans, aujourd'hui je sais lire, écrire et compter. Je dis merci au Chef de Secteur SWEDI MINDO" a fait savoir Maria Kabuka, l'une parmi les apprenantes. 

Présente à la cérémonie, la Cheffe de Division Provinciale du genre, femme, famille et enfant a, non seulement félicité le Chef de Secteur des BEIA pour cette initiative supervisée par sa Division mais Régine Kapunga Sifayao a fait savoir que la majorité des femmes du Maniema restent à ce jour analphabètes. 

"En général, la province du Maniema nous avons beaucoup de femmes analphabètes. Il y avait plus de 80 femmes  qui ont dit qu'elles vont commencer l'alphabétisation et nous les avons suivies étape par étape. Les femmes savent déjà lire, écrire, elles connaissent déjà distinguer les lettres et c'est avec ces femmes là que nous pouvons maintenant continuer dans d'autres groupements de ce Secteur". 

Et au Chef de Secteur des BEIA Jules SWEDI MINDO de préciser que ce centre pilote n'a bénéficié d'aucun appui et a fonctionné sur fonds propres du Secteur. Il a par ailleurs promis que cette initiative va s'étendre dans d'autres groupements de son entité. La communauté locale de Binumbi par contre félicite cette initiative et demande sa pérennisation.

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Le Pape François est attendu ce mardi 31 janvier 2023 en République Démocratique du Congo via la ville de Kinshasa, capitale du pays. Le souverain pontife arrive en RDC pendant que ce pays traverse une crise provoquée par une guerre à l'est. 

Dans un communiqué signé ce lundi 30 janvier 2023 par son Président ad intérim, le Conseil National de la Jeunesse "CNJ" remercie et félicite la détermination du Prince de l'église catholique et pense que cette visite de Jorge Mario Bergoglio dit François est une occasion pour prier en faveur de tous les Congolais et permettra le retour de la paix dans la partie est du pays. 

"Le Conseil National de la Jeunesse remercie le Saint-Père pour la concrétisation de sa promesse de visiter la RDC et de prier pour tout le peuple Congolais et surtout pour le retour de la paix dans la partie Est. C'est au nom de toute la jeunesse Congolaise que nous lui souhaitons la bienvenue" peut-on lire dans le document de Me Atibu Katamea Nathanaël. 

Par ailleurs, le CNJ, dans son communiqué félicite le Chef de l'État et toutes les institutions pour leurs efforts consentis dans l'organisation de cet accueil. 

"À cette occasion, le Conseil National de la Jeunesse félicite le Président de la République et Chef de l'État Son Excellence Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo et toutes les institutions pour les efforts déployés pour la qualité de l'organisation de haut niveau en vue d'accueillir dans les bonnes conditions en RDC le Saint-Père". 

Pour ce faire, tous les jeunes du pays sont invités à préparer un accueil chaleureux au numéro un de l'église catholique et participer à toutes les activités qu'il organisera durant son séjour dans le pays de Fatshi.

"En outre, le Conseil National invite la jeunesse Congolaise dans sa diversité de prendre toutes les dispositions utiles pour réserver un accueil chaleureux au Saint-Père et de participer massivement à toutes les activités y relatives dans une attitude de discipline, de cohésion et de paix" a conclu le patron de la jeunesse Congolaise Me Atibu Katamea Nathanaël dans son communiqué.

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William Mukambilwa, Président du Conseil National de la Jeunesse en RDC est suspendu de ses fonctions. Décision prise par le Ministre de la Jeunesse, Initiation à la Nouvelle Citoyenneté et Cohésion Nationale dans un arrêté du 20 janvier 2023 dernier et notifié ce mardi 24 janvier courant et dont notre rédaction est tombée sur les copies. Yves Bunkulu suspend William Mukambilwa pour plusieurs griefs renseigne son document. Le Ministre de tutelle reproche le Président du CNJ suspendu l'usurpation de pouvoir, faux et usage de faux, l'indiscipline et l'insubordination. 

Pour Yves Bunkulu, William Mukambilwa avait élaborer en date du 15 septembre 2022 l'ordre de mission et le déposer à l'Ambassade de l'Italie en RDC pour une mission en Italie, France, Belgique pourtant seul le Ministre ayant la jeunesse dans ses attributions a le pouvoir d'émettre un ordre de mission. William Mukambilwa a aussi signé en date du 13 janvier dernier, une note circulaire qu'il a adressé aux Ministres provinciaux de la jeunesse pour suspendre la tenue des assemblées générales électives des conseils provinciaux de la jeunesse. 

Les charges de faux et usage de faux pèsent sur le Président suspendu pour avoir pour avoir imité la signature et utilisé le nom de son Vice-président en charge des Finances Me Atibu Katamea Nathanaël dans un document en faveur de certains membres n'appartenant à aucune structure du CJN. À en croire Yves Bunkulu, la gestion de William Mukambilwa était caractérisée par l'indiscipline. Le désordre indescriptible de la date du 30 novembre 2022 pendant la rencontre entre le Chef de l'État et la jeunesse n'a pas épargné le Président du conseil national de la jeunesse en RDC. 

Ainsi, tout en le suspendant de ses fonctions, le Ministre de la Jeunesse ouvre une action disciplinaire en l'endroit de William Mukambilwa et désigne Me Atibu Katamea Nathanaël, Vice-président en charge des Finances pour jouer momentanément le rôle du Président du Conseil National de la Jeunesse en RDC. 

Signalons que Me Atibu Katamea Nathanaël est un chevronné des mouvements des jeunes. Avec son expérience de haut niveau, cet Avocat a été tour à tour Président du parlement des jeunes du Maniema et Président du Conseil Provincial de la Jeunesse du Maniema puis Président du Bureau National du Parlement, Commissaire Régional du Parlement des jeunes dans 6 provinces,... Cet Ambassadeur de la paix avait représenté le pays aux assises du sommet sur les futurs dirigeants Africains qui s'étaient tenus à Addis-Abeba.

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La Dynamique Alunguli pour le Développement "DAD" est une nouvelle association sans but lucratif qui vient d'être créée par certains jeunes soucieux du développement de la commune d'Alunguli dans la ville de Kindu. C'est à travers une marche de santé qu'à eu lieu la sortie officielle de cette asbl ce dimanche 22 janvier 2023 dans cette municipalité. 

Selon sa Coordonnatrice, sa structure existe depuis 2021 mais sa sortie officielle traînait de suite de l'absence des documents officiels pouvant lui permettre de fonctionner. La D.A.D est née pour offrir un lieu d'échange, de collaboration et de promotion des fils et filles de la Commune d'Alunguli en améliorant les conditions de vie des habitants de cette municipalité, indique Valence Bigembe. 

D'où, ses missions consistent à lutter pour la bonne gouvernance, lutter contre toutes formes de violences des droits humains, encadrer les filles-mères et jeunes désœuvrés, aider et préparer les jeunes Alungulistans à réussir'eur leadership, fonder les foyers heureux, promouvoir la conservation et l'utilisation durable de biodiversité, valoriser les savoirs locaux, réhabiliter les infrastructures sociales de base ainsi que la promotion du genre. Et pour réussir cette mission, la Coordonnatrice compte s'appuyer sur tous les organes de son asbl ainsi que des autorités. 

"Au gouvernement provincial, de considérer et appuyer la DAD dans ses œuvres, d'impliquer et considérer la population d'Alunguli dans l'exercice de ses fonctions. Aux autorités communales, d'accompagner la DAD dans ses œuvres, d'impliquer la DAD dans ses activités et dans la gestion de la Commune d'Alunguli" dit Valence Bigembe. 

Elle conclut par demander aussi l'accompagnement du Conseil provincial de la jeunesse "CPJ" et d'y installer un comité sectionnaire communal de cette structure des jeunes de la province du Maniema. Enfin, la D.A.D sollicite un terrain vide auprès de la Bourgmestre pour y ériger son bureau.

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C'était dans la nuit du 18 au 19 janvier 2023 dernier que la résidence du Professeur Alphonse Sabiti, l'actuel Secrétaire Général Académique de l'Institut Supérieur de Commerce a été incendiée par des personnes jusque-là non identifiées. 

Située sur le boulevard Joseph Kabila près du petit marché Tchomba, cette résidence bien clôturée a commencé à prendre feu dans son côté droit avant de toucher l'autre côté. Et cela sans aucune intervention des services attitrés. 

Selon le Prof Alphonse Sabiti, le garçon qui assure la garde dormait dans sa chambre puis d'un coup, et dérangé par la chaleur, est sorti prendre de l'air à la véranda. D'ici, et cela après une heure, celui-ci verra le feu entrain de gagner toute la maison. Des dégâts sont énormes signale Prof Alphonse Sabiti. 

"Nous n'avons rien récupéré. Ce feu d'origine criminelle a pris toute la maison. Nous ne savons pas d'où est-il venu. Nous pensons que les enquêtes nous donneront d'amples précisions" a dit la victime. 

Signalons que pour l'heure, aucune interpellation n'est signalée quant à ce. La victime, le Professeur Alphonse Sabiti lance un SOS aux autorités afin que les auteurs de cet acte criminel soit découverts et punis selon la loi.

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Ce grand enseignant, Professeur des Universités est un grand artisan congolais dans la formation des Professeurs d'Universités. D'aucuns pouvaient se poser la question de savoir qui est-il réellement ? À cette question, notre rédaction est allée fouiller plusieurs documents qui détaillent cet homme. Ressortissant du Territoire de PANGI au Maniema et originaire de la localité Musenge, le Prof Alphonse Masandi Milondo est né à Kalima de Père Milondo Henri et de Mère Feza Anne. 

Le Prof Alphonse Masandi Milondo est devenu Docteur en Sciences Pédagogiques en 2007 à l'université de Kisangani (UNIKIS) et ce, après son diplôme d'études supérieures à la même université en 2005. Il est Licencié en Pédagogie à l'UNIKIS, c'est ici même où ce dernier à obtenu son diplôme de graduat dans la même filière. Et tous ces diplômes, signalons-le, le Prof Alphonse Masandi Milondo les obtenait avec les mentions distinction  et grande distinction.

Auteurs de plusieurs sujets de recherche, ses domaines sont notamment la psychométrie, l'Edumétrie, la psychologie de l'évaluation scolaire, l'élaboration et l'évaluation des programmes de formation, la formation et l'encadrement des adultes ou l'andragogie, l'évaluation des apprentissages et des programmes scolaires mais aussi la planification de l'enseignement. Professeur d'Universités, Alphonse Masandi Milondo assure des cours dans tous les cycles universitaires et supérieurs. C'est notamment des cours comme les questions spéciales de psychologie  et de statistiques au 3è cycle, les questions approfondies de statistiques au 2è cycle ou encore la statistique descriptive au 1er cycle et plusieurs autres disciplines.

Des articles et des livres, oui, sont aussi à mettre dans sa gibecière. Auteur de près de quatre livre à ce jour et des innombrables articles de recherche. Professeur Alphonse Masandi Milondo, a un parcours professionnel riche. Ce dernier a déjà occupé plusieurs postes dans l'enseignement et dans les cabinets politiques. Il a été tour à tour doyen de la faculté de Pédagogie et de Didactique des Disciplines à l'UPN ou encore Conseiller au ministère de PTNTIC en charge de l'économie numérique, Conseiller en charge de la décentralisation, stabilisation et intégration au ministère du plan pour ne citer que ces quelques postes parmi tant d'autres. 

Bourré d'expérience grâce à des multiples formations reçues, à ce jour, il est Secrétaire Général de la Nouvelle Alliance des Démocrates en sigle "NAD", parti politique d'Athanase Matenda Kyelu, ancien Ministre des Finances de la RDC et Député du Territoire de PANGI. Il est aussi membre fondateur de cette formation politique.

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Reporté sur décision du conseil provincial de sécurité, le Forum pour la paix, la cohésion et le développement aura enfin lieu en Février prochain. Ces assises se tiendront du 14 au 15 Février 2023. Et ce, après la levée par le Gouverneur ad intérim de la décision du report de cette messe. Annonce faite ce mardi 17 janvier 2023 à la presse par l'Évêque du diocèse catholique qui  préside le comité d'organisation dudit forum.

"Comme vous le savez, aussitôt annoncé, le forum pour la paix avait été reporté sur décision de l'autorité provinciale. Et ici, je voudrais annoncer que la mesure a été levée par les autorités provinciales c'est ainsi que le comité organisateur a pensé reprogrammer la tenue du forum du 14 au 15 Février 2023. Et par rapport à cela, donc c'est l'invitation qui est lancée à toutes les filles et fils du Maniema qui vont recevoir les invitations de pouvoir venir chez eux pour cette grande messe qui va parler de l'unité, de la cohésion et du développement de notre province" a expliqué Mgr François Abeli Muhoya.

Et au prélat catholique, Président du comité d'organisation de ce forum de préciser que les termes de référence de ces assises sont déjà établis et il ne sera pas question de discuter sur un quelconque individu ou parti politique mais plutôt du Maniema. 

"Nous avons établi les termes de référence du forum qui a pour objectif l'unité, la cohésion et le développement de fils et filles du Maniema. Il n'y aura pas d'espace pour parler d'un individu, d'un parti politique, pour le règlement des comptes. Il s'agit de projeter notre vivre ensemble dans cette province. Qui peut avoir des appréhensions par rapport à cet aspect là, n'a qu'à se tranquilliser, on ne parlera pas politique, il ne s'agit pas d'un débat politique, il s'agit d'une assemblée citoyenne et ce qui nous préoccupe c'est d'arriver si possible c'est de toucher les cœurs des fils et filles du Maniema afin de promouvoir l'unité, la cohésion et le développement de cette province" a renchérit le pasteur catholique. 

Rappelons qu'avant son report, quelques invitations étaient déjà distribuées aux participants. L'Évêque François Abeli Muhoya précise que ces dégâts logistiques seront réparés par les mêmes fils et filles du Maniema. À lui de conclure que l'ampleur de cette messe restera la même malgré son report.

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Il s'est ouvert ce dimanche 15 janvier 2023 à Kinshasa à l'auberge Kapondo située dans la commune de la N'sele la conférence nationale annuelle des Scouts de la République Démocratique du Congo. Ces assises se tiennent sous le thème "tous ensemble pour l'innovation managériale de la fédération des Scouts de la RDC". 

La Province du Maniema fait partie des provinces participantes à cette messe de Scouts du pays et est représentée par deux dirigeants de ce mouvement. Il s'agit exactement du Président du comité provincial le Chef de Travaux Marcel Lungi et Djunga Bora Rémy, Commissaire Provincial des Scouts du Maniema. 

Aussitôt ouverte, ces Ambassadeurs du Maniema ont profité pour présenter les problèmes de leur province de provenance. Ainsi, ils ont plaidé pour que les Scouts du Maniema prennent aussi part au Jamboree international qui aura lieu en Corée du Sud mais aussi aux évènements Africains et enfin au Jamboree national qui se déroulera à Bukavu, Chef-lieu de la province du Sud-Kivu au mois d'août prochain. 

Réagissant à ces préoccupations, le  Commissaire Général des Scouts en RDC a donné sa promesse ferme de réagir favorablement à la demande des Ambassadeurs du Maniema et ce, avant qu'ils ne bénéficient les félicitations de l'équipe nationale pour leur collaboration franche avec le Gouverneur ad intérim de leur province qui a permis le bon déroulement des activités des Scouts du Maniema.

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Quatre-vingt tôles (80), c'est l'assistance en tôles de la Fondation DIDINE KOPI à l'église Catholique de la Paroisse Virgo Fidelis située au quartier Basoko dans la commune de Kasuku à Kindu et qui a connue il y a près d'une semaine un incendie ayant causé des dégâts énormes.

La remise de cette dotation est intervenue ce samedi 14 janvier 2023 entre une délégation de la donatrice et l'Abbé responsable de ladite paroisse. Mathieu Assumani, Directeur de cabinet de la Coordonnatrice, membre de la Fondation, représentant personnel de la donatrice et chef de la délégation indique que sa Cheffe a été éprise de chagrin quand elle avait appris l'incendie de cette église. 

"Nous voici devant l'église Catholique de Basoko où nous sommes entrain de remettre plus ou moins 80 tôles, le don donné par Mme DIDINE KOPI sous l'entremise de sa sa fondation qui porte son nom. L'église a connue un petit souci d'incendie et de notre côté, Mme DIDINE KOPI a été touchée et elle voulait bien aider ou assister l'église Catholique qui avait connue cet incendie" a expliqué Mathieu Assumani. 

Dans un autre cadre, la même fondation a été vers Katako. Sur place, la Fondation DIDINE KOPI par le biais de sa Coordinatrice et voyant l'état de délabrement très avancé, a décidé de réhabiliter manuellement ce tronçon. 

"Nous nous sommes dirigés vers Katako, à l'entrée de Katako la route est vraiment dans un état critique où Mme a jugé bon de réhabiliter cette route moyennant le cantonage manuel. Elle a déjà donner les moyens pour que ces travaux commencent dès aujourd'hui" a ajouté Mathieu Assumani. 

Des oeuvres caritatives n'en finissent pas à la Fondation DIDINE KOPI, celle-ci compte aussi construire la tombe du défunt Secrétaire de Chefferie des Bangengele. À Mathieu Assumani de conclure que toutes ces actions s'inscrivent dans le cadre de sa générosité de Mme DIDINE KOPI envers ses frères et sœurs du Territoire de Kailo en particulier et du Maniema en général.

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Les enfants de la Province du Maniema devraient se retrouver du 11 au 12 janvier courant pour parler de la paix, la cohésion et le développement de leur province. Une initiative de toutes les communautés de la province, les confessions religieuses et les responsables des territoires présidée par l'Évêque du diocèse catholique de Kindu. 

Malheureusement, elle venait d'être suspendue par le Conseil provincial de sécurité sous prétexte de l'incapacité de celui-ci à couvrir sécuritairement ces assises et une délégation du gouvernement central diligentée pour enquêter sur une marche des épouses des militaires. C'est ce qui suscite la colère du Député National Rashidi Bukanga Rubin. Cet élu de Kindu se dit désolé de voir le Gouverneur freiner une telle initiative qui devrait aborder les questions cruciales de la province et la sortir de l'impasse. 

"Je suis totalement désolé d'apprendre cela. Notre province est parmi les provinces qui sont les plus enclavées. Chez nous rien ne va. Je le dis à tout moment. Ce système là ne va pas favoriser l'émergence de notre province du Maniema au contraire on est entrain de nous sacrifier. La preuve est là. Aujourd'hui qui peut aller à Kibombo avec sa voiture ? Même pour arriver à moto c'est difficile. À Kasongo, à Kabambare, même à Alunguli, le pont Mangobo qui était coupé il y a quelques mois, on est même pas à mesure de l'entretenir" s'exclame l'élu.

À lui d'ajouter que ces assises étaient une opportunité pour les enfants du Maniema de discuter sur ce qui freine le développement de leur province. Pour cet élu du peuple, la population comprend maintenant que système actuel et ses animateurs sont  contre le changement. 

"Peut-être qu'on pouvait se dire cotisons chacun 100Fc pour entretenir tel tronçon comme ça ça pourrait permettre qu'il y ait des denrées alimentaires qui arrivent mais Mr le Gouverneur ai refuse. Je suis entrain de voir le système qui est entrain de se faire contre ma province. Les gens m'ont élu pour plaider leurs causes, parler à leurs noms, lorsque ça ne va pas je ne dois que parler. Je suis vraiment désolé surtout du manque du respect à l'égard de Monseigneur François Muhoya" a-t-il conclu.

De son côté, le Gouverneur ai, lors d'une interview avec sa cellule de communication ce vendredi, Afani Idrissa indique que le forum n'a pas été annulé mais plutôt reporté suivant la décision du conseil provincial de sécurité et bientôt cette mesure sera levée.

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Le Coordonnateur National de la Dynamique SK DELLA pour le développement en sigle "DSKD" vient de séjourner à Goma chef-lieu de la province du Nord-Kivu à l'est de la RDC. Durant son séjour, Me Michel Okanda en a profité pour une toute première séance de travail avec l'équipe de coordination de cette structure depuis l'installation de celle-ci à Goma. Le patron de la DSKD s'est attelé à sensibiliser ses hôtes sur l'idéologie de la DSKD et la planification de la bataille électorale programmée durant cette année.

S'exprimant après la rencontre, les membres de la Coordination Provinciale se sont dit satisfait du contenu enrichissant et la communication de leur Coordinateur National. 

"On a continué à sensibiliser et à comprendre l'idéologie qui se trouve derrière la DSKD mais aussi commencer à planifier par rapport à ce qui se pointe à l'horizon, les affaires électorales mais aussi comment est-ce que la DSKD doit se préparer pour faire ce qu'elle est appelée à faire notamment nourrir notre maison mère qui est Ensemble pour la République" a expliqué le Président de la Coordination Provinciale DSKD Nord-Kivu. 

Ces derniers ont alors réitérer leur loyauté envers le Président Initiateur de la DSKD qu'est Salomon Idi Kalonda Della dit SK DELLA ainsi qu'à Ensemble pour la République du Président Moïse Katumbi Chapwe. 

"Nous avons réussi à nourrir les esprits sur les échanges de ce matin. Nous avons bien compris que celui qui est membre de notre asbl la DSKD est d'office membre de Ensemble pour la République. Nous, la Coordination Provinciale du Nord-Kivu, lui promettons notre soutien et nous allons travailler pour qu'on arrive au résultat final. Les membres des équipes sont tous mobilisés pour cette cause et nous lui rassurons la victoire" disent-ils à l'unanimité. 

Juste après son passage à Goma, le Coordonnateur National de la DSKD s'est rendu à Kindu, Chef-lieu de la Province du Maniema où il séjourne jusqu'à ce jour. L'agenda de Me Michel Okanda affiche plusieurs activités s'inscrivant dans le cadre des préparatifs de l'arrivée du Président Moïse Katumbi Chapwe et qui se  fera accompagné de son Conseiller Spécial et Politique Mr SK DELLA. Ces deux personnalités auront à visiter plusieurs territoires.

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Les Forces vives réunies au sein de la Société Civile de la Province du Maniema vont présenter leur ral bol ce jeudi 17 novembre 2022. Ces dernières projettent une marche dans les rues de la ville de Kindu, Chef-lieu de la Province. 

Pour le Président de la Société Civile Forces vives du Maniema, cette marche aura deux motifs. Le premier consiste à dénoncer l'agression de la République Démocratique du Congo par le Rwanda sous couvert du M23 et  deuxièmement c'est pour montrer le soutien de la population du Maniema aux Forces armées de la RDC qui se battent pour protéger l'intégrité du pays. 

Me Stéphane Kamundala précise que ladite marche aura pour point de départ le rond-point du cinquantenaire sur le boulevard Joseph Kabila. Tous les manifestants seront habillés en jupe ou pantalon de couleur noire, chemise ou blouse de couleur blanche et bandeau de couleur blanche à la tête. Les marchants se dirigeront ensuite vers le rond-point de l'école officielle en passant par le palais de justice puis la Sonahydro. Ils emprunteront ensuite  l'avenue du 4 janvier en passant par le rond-point DGRAD puis la CNSS avant d'aller chuter à la tribune centrale de Kindu.

À la tribune, un mémorandum sera lu par Me Stéphane Kamundala, Président de la SOCIMA puis sera remis aux mains du Ministre Provincial de l'intérieur faisant office du Gouverneur ai qui promet aussi de prendre part à cette manifestation. À cet effet, Me Stéphane Kamundala lance un appel à toutes les couches de la population à prendre massivement part à cette manifestation pour montrer que le Maniema s'indigne de cette agression et dit soutenir ses forces loyalistes.

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Des messages circulent depuis la mi-journée sur les réseaux sociaux particulièrement les groupes WhatsApp de la Province du Maniema et signé par Me Alexandre Kahambwe en qualité de Secrétaire Général de l'asbl Fondation BITIKA, structure proche et de soutien aux actions du Député Provincial OMANA BITIKA Pascal en lieu et place de Me Kuzinda Watanga Fulgence, Secrétaire Général statutaire de cette asbl. 

Contacté par nos reporters pour avoir sa version des faits, Me Kuzinda Watanga Fulgence dit être prêt à jeter l'éponge mais fustige la manière de son remplacement qui n'a pas respecté la procédure administrative.

"Je suis prêt à jeter l'éponge mais je fustige la manière cavalière dont mon remplacement a été fait car je suis entrain de l'apprendre sur les réseaux sociaux seulement. Je n'ai pas été consulté, il n'y a aucun Procès verbal de l'assemblée générale dans laquelle je devrais participer" déplore Me Kuzinda Watanga Fulgence.

Ainsi, le SG statutaire de la FONDABI parle d'une anarchie qui ne dit mot. Il demande par ailleurs au nouveau SG de lui contacter pour la remise et reprise ainsi que la passation du pouvoir. 

"De cette unième anarchie qui ne dit mot, je demande au SG désigné aux réseaux sociaux de me contacter pour lui remettre les insignes et faire la passation de manière civilisée. Ayant la tête sur mes épaules avec un bilan largement positif dans mon actif, je lui souhaite aussi bon mandat" renchérit-il.   

Par ailleurs, Me Kuzinda Watanga Fulgence demande à la population de ne rien polémiquer sur ce sujet et appelle tout le monde à accompagner le nouveau SG en attendant les formalités administratives d'usage conformément aux statuts et règles régissant l'asbl FONDABI.

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Les filles leaders formées par le Fonds pour les Femmes Congolaises en sigle FFC venues de Complexe Scolaire BOUVE et Institut de Kindu, deux écoles installées dans la ville de Kindu plaident auprès des chefs coutumiers pour le changement des pratiques néfastes discriminatoires à leur égard et à la femme.

Elles l’ont dit dans une note technique de plaidoyer présentée ce samedi 29 Octobre 2022 auprès du Chef de la Collectivité Chefferie des Bangengele du territoire de Kailo ayant représenté les autres chefs coutumiers à ces assises. La cérémonie s’est déroulée dans la salle des réunions de l’asbl SAFI située sur avenue Léon Mununga dans la ville de Kindu. 

Dans leur document, ces filles se basent sur les instruments juridiques internationaux, régionaux et sous régionaux de promotion et de protection des droits des femmes et des enfants. Ainsi, elles disent NON aux mariages précoces et forcés, réclament les droits à l’héritage familial et le droit d’accès à la terre. Exclues de ces quelques aspects de leur vie, les filles leaders sollicitent des Chefs coutumiers.

Exclues de ces quelques aspects de leur vie, les filles leaders sollicitent l’intégration dans les plans de travail des Chefs coutumiers la vulgarisation des instruments juridiques pour accroitre la connaissance des décideurs et toute la population en la matière en vue de faire valoir les droits de la femme et fille et promouvoir ainsi un environnement égalitaire.

Les complices du FFC financées par l’UNPA veulent en outre que les Chefs coutumiers responsabilisent leurs conseillers spéciaux composés des hommes et femmes pour accompagner les familles dans la gestion des dossiers de mariage, de l’héritage et d’accès à la terre conformément à la loi. Enfin, elles demandent à ce que soient mobilisés les autres chefs non représentés aux assises du jour et leurs collaborateurs et partager le message de plaidoyer. 

De leur côté, les Chefs coutumiers disent prendre acte de ce plaidoyer et promettent d'impliquer d'autres Chefs coutumiers et leurs collaborateurs pour que ce plaidoyer produise des résultats positifs.

Signalons que cette note de plaidoyer intervient après un mémorandum déposé par ces filles leaders auprès des autorités politico administratives ainsi que judiciaires la semaine derrière pour solliciter l’installation d’une cellule pouvant réprimer les actes des violences sexuelles et celles basées sur le genre.

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Il s’est ouvert depuis ce samedi 29 Octobre 2022 à Addis-Abeba en Ethiopie, un sommet sur les futurs dirigeants Africains. Ces assises réunissent plusieurs couches venues de tous les pays membres de l’Union Africaine. La République Démocratique du Congo est représentée à cette rencontre par Me ATIBU KATAMEA Nathanaël, Vice-président du Conseil National de la Jeunesse.

Pendant trois jours et sous le leadership d’Abiy Ahmed, Premier Ministre d’Ethiopie, ces assises tourneront sur le thème "Une Afrique Intégrée". Panafricaniste, croyant en des solutions africaines aux problèmes africains, ayant aussi la compréhension élargie des valeurs africaines, de l’histoire de l’OUA/UA Me ATIBU KATAMEA Nathanaël a été désigné par le Ministère National de la Jeunesse de la RDC pour représenter le pays.

"Je suis venu représenter le pays au sommet international sur les futurs dirigeants africains qui se tient à l’Union Africaine. Nous sommes à l’Union Africaines. Les objectifs sont bien connus. Nous sommes entrain de partager les valeurs africaines, de l’histoire de l’organisation de l’Union Africaine aujourd’hui devenue U.A" explique Me ATIBU KATAMEA Nathanaël. 

Et à lui d’ajouter "Nous réfléchissons aussi sur comment nous, en tant que futurs dirigeants, nous pouvons avoir l’idéologie de la promotion de la culture Africaine. Notamment, en nous inspirant des Pères panafricains comme Nelson Mandela, Patrice Emery Lumumba, Uhuru Kenyatta et les autres. Ceux-là qui se sont battu pour une Afrique forte, unie, développée, Autonome et indépendante. A part ces aspects, beaucoup des sujets seront développés aujourd’hui, demain et le lendemain".

Signalons que plusieurs pays ont diligenté à ces assises, leurs Ambassadeurs, Ministres, Premiers Ministres et Consules. Mais la République Démocratique du Congo elle, s’est fait représenter par Me ATIBU KATAMEA Nathanaël. 

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La Centrale hydroélectrique LUUZI LUKULU de la Commune rurale de Kalima court depuis quelques années plusieurs dangers. Ces dangers consistent soit à la destruction de ses matériels soit la destruction de ses barrages. Construite depuis plus de 70 ans, la Centrale hydroélectrique LUUZI LUKULU de Kalima est à ce jour dans un état très défectueux. 

Pas plus tard que dans la nuit de jeudi 27 au vendredi 28 octobre 2022, un groupe de huit (08) personnes venaient d'être appréhendées par les éléments de la police des Mines au niveau du barrage n°1 dénommé (B1). Ces malfrats, étaient outillés avec des détonateurs, explosifs, marteaux et autres matériels pouvant leur permettre de détruire ce barrage ainsi que la centrale hydroélectrique pour chercher les trésors cachés. Selon, le responsable de la Police des Mines de Kalima, ces bourreaux avaient déjà réussi à détruire une partie et ce groupes est constitué aussi des enfants de Kalima  

"Ils avaient déjà détruit une partie pour faire dévier les eaux dans la forêt voilà pourquoi on avait pas du courant à Kalima. Parmi eux, il y a un mécanicien qui est réparateur des motos, aussi un autre est fabriquant des chaises, il y a aussi un pasteur de l'église Jésus vérité. Ces sont les enfants d'ici et d'autres sont venus de Kindu" a expliqué le Lieutenant-Colonel Kilomo à nos collègues de Radio Nyota ya Asubui de Kalima. 

Cet officier indique par ailleurs que c'est pour la quatrième fois que ces malfrats cherchent à tout prix détruire cette centrale à la recherche des trésors cachés mais sans succès. 

Après leur audition, ces malfrats ont blanchi toutes les autorités politico administratives ainsi que celles de Société Aurifère du Kivu et du Maniema "SAKIMA" qui étaient soupçonnées d'être à la base de cette besogne. La police promet à cet effet, de continuer la traque pour mettre hors état de nuire ces malfaiteurs.

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Le programme "PO NA CONGO" a été lancé ce samedi 22 Octobre 2022 courant dans la ville de Kindu, province du Maniema. La cérémonie a eu lieu dans la salle des réunions de Safina House de l'église Anglicane basée dans la Commune de KASUKU sur le boulevard Joseph Kabila. 

Tout est parti d'une marche de santé organisée sur quelques artères de la ville de Kindu par les membres de cette nouvelle structure naissante. À en croire ses organisateurs, PO NA CONGO poursuit une seule vision qui est celle d'écrire une histoire de gloire et de dignité pour le Congo. Outre cette vision, PO NA CONGO repose sur quatre valeurs de base dont l'engagement, responsabilité, l'auto-prise en charge et l'unité.

Plusieurs activités sont alors programmées par cette structure regroupant les jeunes engagés du Maniema. C'est notamment, les conférences, les cafés citoyens, les concours, les forums dans les quartiers ainsi que les tribunes d'expression populaire. Mais aussi des émissions télévisées, radiophoniques, des concerts et expositions artistiques ainsi que des rencontres de partage avec les groupes sociaux.

Selon le Coordonnateur Provincial du programme PO NA CONGO, la cérémonie de ce jour avait aussi pour but d'éveiller la conscience des jeunes. Selon John KAKANDU, son organisation est parti du constat selon lequel face au blocage du développement de la province et du pays, il fallait que la jeunesse puisse se réveiller afin d'écrire une histoire de gloire et de dignité. 

Pour rappel, PO NA CONGO réunit les mouvements citoyens, les journalistes, les jeunes leaders, les ONGs de défense des droits de l'homme.

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Des jeunes engagés venus des associations des jeunes leaders, des mouvements citoyens et de leaders communautaires décident de se réunir et constituer une nouvelle structure au profit de la défense des intérêts de  la République Démocratique du Congo. Il s’agit là du programme "PO NA CONGO". Le lancement dudit programme aura lieu ce samedi 22 Octobre 2022 dans la salle Safina House de la ville de Kindu. 

Ensemble, ces jeunes veulent écrire une histoire de gloire et de dignité pour le Congo, éveiller la conscience et l’engagement citoyen. Selon les organisateurs, il est encore possible de pousser la jeunesse, relève de demain, à une conscience collective afin de protéger les intérêts de la République Démocratique du Congo. 

Outre la caravane qui lancera ces activités, de la tribune centrale de Kindu jusque dans la salle Safina House en passant par le palais de justice, le rond-point du cinquantenaire ; dans la salle, il sera question de palper d’aborder quelques notions sur l’action citoyenne. 

Ensuite interviendront des explications nettes, précises et claires du programme "PO NA CONGO" aux participants par les organisateurs avant de chuter par une photo de famille et un repas. Plusieurs personnalités, organisations, structures, mouvements citoyens et couches vives du milieu sont invités à prendre part à cette manifestation vu son impact.

Deck'son Assani Kamango, Directeur des publications

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Un nouveau scrutin pour doter la province du Maniema des nouveaux Gouverneur et Vice-gouverneur est programmé pour ce mardi 18 octobre 2022. Selon le calendrier de la Commission Electorale Nationale Indépendante, la campagne électorale débute dès ce vendredi 14 et se clôture le 16 Octobre 2022. 

Dans une interview exclusive accordée à la presse de Kindu ce jeudi 13 octobre 2022, le Président de la Société Civile Forces Vives du Maniema "SOCIMA" remercie le Chef de l’Etat et la CENI pour avoir publié ce calendrier. Pour mettre Stéphane Kamundala, sa structure a longtemps voulu que le Maniema quitte le régime d’intérim, heureusement dit-il, le cri de sa structure est entendu.  

"Grande a été la joie de la société civile de recevoir le calendrier fixant les élections du Gouverneur et du Vice-gouverneur dans la province du Maniema en date du 18 de ce mois. La Société Civile forces vives du Maniema présente tout naturellement ses sincères remerciements au Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi pour avoir entendu le cri d’alarme de la Société Civile qui a longtemps pleuré pour avoir un gouverneur élu et sortir du régime d’intérim" a dit Me Stéphane Kamundala. 

Et à lui d’ajouter "la SOCIMA félicite à cet effet la Commission Electorale Nationale Indépendante qui, malgré les différentes spéculations et tergiversations venait de sortir un calendrier bien précis, expéditif et qui permet dans un bref délai au Maniema d’avoir des nouvelles autorités élues et légitimes". 

Par ailleurs, la structure citoyenne du Maniema condamne tout acte qui proviendrait de n’importe qui dans le but de bloquer, tirer à longueur ou encore retarder ledit scrutin. 

"La SOCIMA désapprouve et condamne et aura condamné avec la dernière énergie tout acte de qui proviendra-t-il qui sera de nature soit à bloquer la tenue de ces élections longtemps attendues soit à les rétarder ou à les tirer à longueur inutilement".

Me Stéphane Kamundala invite enfin la jeunesse à ne pas se laisser instrumentalisée par les candidats et les Députés Provinciaux à faire un choix judicieux au profit de la population.

Deck'son Assani Kamango, Directeur des publications

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