Près de deux semaines après leurs démissions dans leurs partis politiques, Me Martin Faray et Mr Jean Wakengela sortent de leur silence et fixent l'opinion sur les motivations à quitter leurs anciens partis politiques dont le LGD de Matata Ponyo pour le premier et le MSR/FCC pour le deuxième. 

Dans une interview exclusive animée conjointement, ces deux nouveaux membres du parti de FIFI MASUKA et proches du Vice-ministre du plan indiquent avoir été attirés au sein de FIDEC par l'idéologie.

"J'étais dans le parti connu sous le nom du LGD mais en vertu de ma liberté j'ai décidé délibérément de démissionner. Je l'ai fait en toute quiétude et je me suis assumé sans aucun penchant et j'ai dit que je puisse rejoindre A24. Ma première motivation était celle d'adhérer à la vision du Chef de l'État qui à mon humble avis se bat pour redorer l'image de ce pays sur tous les plans malgré la conjoncture. J'ai compris que dans le gouvernement actuel nous avons un digne fils de la province connu sous le nom de Omana Bitika Pascal qui a été promu comme Vice-ministre au ministère de plan. Ce geste louable posé par le Président de la République devrait faire voir que la jeunesse est considérée par le pouvoir en place en plaçant l'un des nôtres à ce ministère" a expliqué Me Martin Faray.

Et pour Jean Wakengela Kantamba d'indiquer "J'ai passé mon temps dans mon ex-parti politique et aujourd'hui je viens adhéré officiellement. J'ai adhéré par idéologie. Aujourd'hui, lorsque je cite Son Excellence Omana Bitika Pascal, je soutiens sa candidature, nous ne serons pas des challengers dans une même circonscription électorale, je viens soutenir sa candidature pour que nous puissions ravir l'unique siège dans la ville de Kindu. Jeune soutient jeune! Loin de moi une question d'intérêt, je suis dans ce regroupement politique pour parler de l'intérêt de notre nation. On ne vient créer une équipe autour de l'Honorable BITIKA, il y a eu déjà une équipe qui travaillait. Nous venons seulement apporter un plus pour que nous puissions évoluer dans l'ensemble" a-t-il fait savoir. 

Ces nouveaux membres du parti politique FIDEC, tout en lançant un appel à une forte mobilisation derrière la candidature de leur leader Omana Bitika Pascal, ces derniers promettent de mouiller leurs maillots pour le compte de leur nouvelle famille politique.

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La Société Nationale d'Assurance, SONAS Maniema n'a pas dérogé à son rendez-vous de chaque jeudi. Comme pour ce jeudi 10 Août 2023, elle a procédé à l'indemnisation de trois cas en automobiles qui ont connu des accidents en juin et juillet derniers. Il s'agit ici de Stéphane Bantu, Dieudonné Binyongo et Assumani Witanene Dewi. 

Le premier par exemple, son véhicule a connu un accident le 30 juin dernier, l'engin du deuxième a connu un accident en date du 19 juillet 2023 tout comme pour Mr Assumani Witanene Dewi, son véhicule a connu un accident le 09 juillet 2023. Tous à l'unanimité ont été indemnisés ce jour et cela sous une joie immense. 

"[...] Mon véhicule a connu un accident avec mon chauffeur. Et comme le véhicule était assuré, nous avons eu le temps d'informer notre assureur qui s'est dépêché. Nous, nous avons engagé des dépenses pour prendre en charge les victimes, nous avons fourni toutes les dépenses effectuées et voilà et aujourd'hui on nous a restitué ce montant d'argent qui a été dépensé [...] Étant assuré à la SONAS, j'étais obligé de venir ici pour déclarer cet accident. Et voilà aujourd'hui on nous a appelé pour le remboursement de toutes les dépenses que nous avons effectuées. La promptitude avec laquelle la SONAS a traité le dossier, c'est dans moins d'un mois depuis qu'on a connu cet accident, ce qui nous met à l'aise [...] Pour moi, assurer son engin est tellement important. Assurer son engin c'est se sécuriser soi-même y compris cet engin pour que pendant l'accident, la SONAS t'aidera un jour et te remboursera ce que tu as perdu pour l'assurer" ont expliqués les indemnisés. 

De son côté, le Cheffe d'agence de la SONAS/Maniema indique ce sont ces trois cas qui étaient dans les tiroirs de son bureau. Tout en se félicitant de la célérité qu'à pris le traitement de ces dossiers, Mme Viviane Bendera confirme que l'assurance est une mutualité. 

"Quand notre trésorerie nous le permet, nous assistons en totalité nos requérants comme c'est le cas aujourd'hui où parmi les 3 sinistrés, deux ont reçu la totalité tandis que l'autre a eu un acompte en attendant qu'un élément puisse être ajouté dans son dossier; mais en cas de vache-maigre (difficulté financiere), nous faisons toujours un effort temps soit peu pour respecter l'objet social. Ce n'est plus une utopie au Maniema." a expliqué Mme Viviane Bendera. 

La patronne de la SONAS Maniema renchérit dans le sens de donner conseil aux conducteurs qui se mécomportent sur la chaussée parce qu'ils détiennent l'assurance. 

"Ce que la SONAS fait ce n'est pas la Caritas ni le Saint-Nicolas moins encore le Père-Noël. Quand vous êtes assuré, vous ne devez pas vous comporter en route comme si vous étiez seul parce que vous êtes assuré. Ce n'est pas ça l'assurance quand bien même c'est une protection, c'est une garantie et c'est une sécurité. Vous devez respecter le code de la route, d'éviter d'être ivre..." a-t-elle conclu. 

Un appel à la mobilisation de tous les propriétaires et tenanciers des engins pour les assurer afin de s'offrir une garantie.

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Les voix ne cessent d'être levées pour dénoncer l'arrestation arbitraire dont reste victime Salomon Kalonda Idi Della dit SK DELLA, Conseiller Spécial de Moïse Katumbi Chapwe depuis plus de 70 jours. La dernière est celle d'un panel des experts de la Société Civile exprimée dans un communiqué signé le 07 Août, rendu public ce mercredi 09 Août 2023 et dont une copie déposée à notre rédaction. 

Dans ce document, le panel des experts de la Société Civile ne comprend pas pourquoi Salomon Idi Kalonda continue à croupir à Ndolo alors qu'il n'y a pas des preuves tangibles à sa charge, en plus de l'absence d'un procès équitable. Ce qui pousse ce panel à conclure que "l'arbitraire trône sur la justice". 

Cette structure citoyenne qui milite pour le respect des droits de l'homme rappelle que toutes les accusations fabriquées contre SK DELLA n'ont jamais été solides et n'ont jamais tenu face à la vérité des faits. Le port d'arme dont il serait reproché, celle-ci appartenait au garde du corps du Sénateur Augustin Matata Ponyo et quant aux audios avec les responsables du M23, il était plutôt question des relations sportives datant. Et pour les militaires commis à la sécurité de sa résidence de Lubumbashi, il les a obtenu légalement et à travers la hiérarchie militaire.

Et au panel des experts de la Société Civile de poursuivre dans son communiqué que, les critiques du Chef de l'État sur le pouvoir judiciaire méritent d'être prises en considération en commençant par le cas SK DELLA qui affecte négativement le pouvoir judiciaire. Cette structure recommande par ailleurs au pouvoir judiciaire de d'accorder une liberté à SK DELLA, à défaut ça sera un risque de faire croire à l'opinion qu'il s'agit d'un acharnement politique et non la poursuite pour des faits infractionnels.

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